un média, c’est comme une entreprise lambda qui a des clients, des actionnaires (privés ou publics), un PATRON, des fournisseurs, et des salariés et se trouve en concurrence avec d’autres médias.
un média produit de la marchandise. la marchandise se définit par un bien où un service qui teste sa pertinence sur un marché professionnel avec d’autres marchandises équivalentes.
une entreprise pour être viable, se doit de faire du bénef.
fonctionnement de l’entreprise médiatique : comme dans toute entreprise, il y a des grouillots, des manutentionnaires, des techniciens qui prospectent, qui rapportent au petit chef, qui leur rectifie leurs copies (si elles ne sont pas auto-censurées) pour que le travail plaisent au grand chef et au PATRON.
une "contre-vérité" c’est une info
un rectificatif c’est une deuxième info. tout bénéf pour l’entreprise médiatique.
une faute professionnelle pour un journaliste c’est de manquer l’info évoquée par les concurrents.
les journalistes honnêtes n’ont rien à voir avec les cumulards-vedettes qui ont plusieurs employeurs -radio, TV, presse écrite- et qu’on retrouve au dîner du siècle parce qu’ils ont fait leurs études avec des patrons et des élus du "peuple".
quand on aura admis tout celà, on comprendra mieux cette marchandise qu’est l’info.
un média, c’est comme une entreprise lambda qui a des clients, des actionnaires (privés ou publics), un PATRON, des fournisseurs, et des salariés et se trouve en concurrence avec d’autres médias.
un média produit de la marchandise. la marchandise se définit par un bien où un service qui teste sa pertinence sur un marché professionnel avec d’autres marchandises équivalentes.
une entreprise pour être viable, se doit de faire du bénef.
fonctionnement de l’entreprise médiatique : comme dans toute entreprise, il y a des grouillots, des manutentionnaires, des techniciens qui prospectent, qui rapportent au petit chef, qui leur rectifie leurs copies (si elles ne sont pas auto-censurées) pour que le travail plaisent au grand chef et au PATRON.
une "contre-vérité" c’est une info
un rectificatif c’est une deuxième info. tout bénéf pour l’entreprise médiatique.
une faute professionnelle pour un journaliste c’est de manquer l’info évoquée par les concurrents.
les journalistes honnêtes n’ont rien à voir avec les cumulards-vedettes qui ont plusieurs employeurs -radio, TV, presse écrite- et qu’on retrouve au dîner du siècle parce qu’ils ont fait leurs études avec des patrons et des élus du "peuple".
quand on aura admis tout celà, on comprendra mieux cette marchandise qu’est l’info.