1- un gouvernement de gauche dirigé par Syriza, pourrait donner des idées à tous les peuples européens qui subissent aujourd’hui la politique d’austérité neoliberale et qui paient chaque année, des dizaines de milliards d’euros d’intérêt aux rentiers et aux milliardaires détenteurs des titres de dettes .
2-La victoire de Syriza sera aussi une lourde défaite pour la Commission européenne, Merkel et Hollande et toute la bande.
3- La finance a prédit la « faillite » de la Grèce en cas de victoire de Syriza. La finance oublie qu’un état n’est pas une entreprise, qu’il ne peut pas faire faillite . Celui qui vend les entreprises publiques , les îles grecques et le peuple grecque, c’est Samara et l’actuel gvt neoliberal .
4- Un État peut et doit refuser de rembourser une dette publique qu’il estime illégitime .
5- Comme d’habitude, quand elle a peur, la Finance agit avec ses bulletins de vote, les taux d’intérêts. Le taux d’intérêt exigé par les marchés financiers pour acquérir des titres de la dette grecque à 10 ans s’élevait à 5 % en juin 2013, il est à plus de 9 % fin décembre.
1- un gouvernement de gauche dirigé par Syriza, pourrait donner des idées à tous les peuples européens qui subissent aujourd’hui la politique d’austérité neoliberale et qui paient chaque année, des dizaines de milliards d’euros d’intérêt aux rentiers et aux milliardaires détenteurs des titres de dettes .
2-La victoire de Syriza sera aussi une lourde défaite pour la Commission européenne, Merkel et Hollande et toute la bande.
3- La finance a prédit la « faillite » de la Grèce en cas de victoire de Syriza. La finance oublie qu’un état n’est pas une entreprise, qu’il ne peut pas faire faillite . Celui qui vend les entreprises publiques , les îles grecques et le peuple grecque, c’est Samara et l’actuel gvt neoliberal .
4- Un État peut et doit refuser de rembourser une dette publique qu’il estime illégitime .
5- Comme d’habitude, quand elle a peur, la Finance agit avec ses bulletins de vote, les taux d’intérêts. Le taux d’intérêt exigé par les marchés financiers pour acquérir des titres de la dette grecque à 10 ans s’élevait à 5 % en juin 2013, il est à plus de 9 % fin décembre.