Il y a la ligne de Syrisa, la politique qu’il va mener (risque de déception, sans doute).
Mais il y a aussi toute la symbolique derrière cette victoire, et l’impact qu’elle peut avoir, bien au-delà des frontières de la Grèce.
On sort enfin du TINA de Thatcher, une rupture est possible, envisageable, même si elle ne va pas jusqu’à être concrétisée.
La révolution, n’est-ce pas une succession d’étapes sur des temps parfois longs ? Des batailles menées, perdues, avant un éventuel aboutissement ?
C’est comme l’homéopathie : la victoire de Syriza, je ne sais pas si ça fera du bien, mais en tout cas ça ne peut pas faire de mal. Rien à perdre, et sans doute un peu à gagner.
Il y a la ligne de Syrisa, la politique qu’il va mener (risque de déception, sans doute).
Mais il y a aussi toute la symbolique derrière cette victoire, et l’impact qu’elle peut avoir, bien au-delà des frontières de la Grèce.
On sort enfin du TINA de Thatcher, une rupture est possible, envisageable, même si elle ne va pas jusqu’à être concrétisée.
La révolution, n’est-ce pas une succession d’étapes sur des temps parfois longs ? Des batailles menées, perdues, avant un éventuel aboutissement ?
C’est comme l’homéopathie : la victoire de Syriza, je ne sais pas si ça fera du bien, mais en tout cas ça ne peut pas faire de mal. Rien à perdre, et sans doute un peu à gagner.