"On parle de pays sous-développé lorsque la situation sanitaire et économique y est très mauvaise".
Mauvaise pour qui ?
Vu la situation, c’est plutôt les prolétaires qui vivent ce sous-développement. Et là, la solution on la connaît.
Je ne crois pas que la bourgeoisie et même les couches supérieures et intermédiaires de la petite-bourgeoisie, aient des craintes à avoir ; sinon, moins que les prolétaires.
Dans les exemples de fleurons industriels que tu cites, ce que nous pouvons/devons craindre, c’est la délocalisation après pillage des technologies. Il faut s’y opposer car c’est une perte sèche d’emplois.
"On parle de pays sous-développé lorsque la situation sanitaire et économique y est très mauvaise".
Mauvaise pour qui ?
Vu la situation, c’est plutôt les prolétaires qui vivent ce sous-développement. Et là, la solution on la connaît.
Je ne crois pas que la bourgeoisie et même les couches supérieures et intermédiaires de la petite-bourgeoisie, aient des craintes à avoir ; sinon, moins que les prolétaires.
Dans les exemples de fleurons industriels que tu cites, ce que nous pouvons/devons craindre, c’est la délocalisation après pillage des technologies. Il faut s’y opposer car c’est une perte sèche d’emplois.