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Opération désintox : vérités et mensonges sur les vaccins anti-Covid

2 septembre 2021, 17:14, par pierrot

l’humanité répète les données de l’AFP pour cette institution toute donnée critique et soit de la fake news ou du complotisme mais helas pour elle des données scientifiques sont disponibles sur toute la planète il n’y a pas que l’europe ou encore mieux la france qui détient la vérité scientifique

Tous les chiffres présentés proviennent de sources reconnues.

QUATRIÈME VAGUE

Alors, nouvelle vague ou fin de vague ?

Si on analyse certains indices, on peut prévoir avec un peu d’avance ce qui va se passer.

Voici des courbes qu’on peut facilement trouver sur l’Internaute

Elles sont très parlantes.

On peut voir que les taux de positivité et d’incidence semblent sur un plateau,comme prêts à redescendre.

Cependant, le R effectif (il indique combien de personnes quelqu’un de contaminé infecte) a fait une descente spectaculaire passant de 2,11 à 1,07 :

Est-ce que ce taux est fiable et que dit-il ?

Il suffit de voir l’historique pour comprendre.

J’ai superposé les courbes du R et des nouveaux cas en faisant coïncider les dates.

On constate, lors des précédentes vagues, que les montées et descentes de la courbe du R (en bleu) précèdent celles des nouveaux cas (en orange) d’environ 2 semaines.

Donc si le R diminue aujourd’hui, on devrait constater une baisse des cas dans 2 semaines.

Le pic du R en France se situe vers le 19-20 juillet, donc début août nous aurions dû voir une baisse du nombre de cas.

Nous sommes un peu en retard.

Mais cela peut s’expliquer.

Depuis l’instauration du pass, on teste plus, ce qui proportionnellement augmente le nombre de cas découverts.

Conclusion : dans 4 à 6 semaines on se félicitera de la fin de la vague, grâce à l’augmentation des vaccinations et de la mise en place du pass, alors qu’en réalité, la fin de la vague aura commencé avant, grâce à son cycle normal.

Les affections virales évoluent depuis toujours par vagues :

Regardez la première vague de l’an dernier : un joli pic puis une jolie descente, et ça sans vaccin ni pass !
Le confinement ? Pour la seconde vague, le confinement a démarré le 30 octobre, alors que le R avait commencé sa descente le 24 octobre, avant confinement, comme cette fois sans doute (vérifiez sur l’Internaute).
DELTA : CONTAGIEUX, VIRULENT ?

En ce qui concerne la contagiosité, c’est indéniable, Delta est très contagieux.

Non 1 000 fois plus comme aurait pu le faire croire notre ministre devant les représentants de la Nation en parlant de la charge virale : mais 60% plus qu’Alpha, qui était 30% plus contagieux que le Wuhan.

Au total 2 fois plus contagieux que le Wuhan de la première vague.

En ce qui concerne la virulence, prenons les chiffres d’hospitalisations sur 8 jours :

Nous avons en moyenne 55 décès par jour, pour 8 200 hospitalisations, cela fait 0,7% de décès.

En janvier-février, l’épidémie était en plateau avec 24-25 000 hospitalisations soit 3 fois plus qu’aujourd’hui.

Les décès, eux, étaient sur la période de 400 par jour.

Soit un taux de décès de 0,12%.

Nous avons donc 2,5 fois moins de décès.

Deux causes possibles : soit la vaccination protège, soit le variant est moins virulent.

Comme on nous explique que 85% des hospitalisés sont non vaccinés, nous sommes dans la même situation qu’en janvier février pour les décès chez les malades, à 90% non vaccinés, avec 2,5 fois moins de décès dans cette catégorie de non vaccinés.

C’est donc le variant qui est moins virulent, à moins qu’on nous donne de faux chiffres sur les hospitalisés vaccinés ou non.

EFFICACITÉ DES VACCINS

Dur, dur d’avoir des chiffres fiables.

La France est un pays exceptionnel, où le vaccin est nettement plus efficace que dans n’importe quel autre pays !

Nos dernières statistiques officielles montrent que 85% des hospitalisés sont des non vaccinés.

Nous ne devons pas avoir le même vaccin qu’ailleurs.

Aux US, Fauci, l’éminence grise du covid depuis le début (à la fois Salomon, Delfraissy et Véran) a dit il y a quelques jours qu’avec le variant Delta, vaccinés ou pas, c’est pareil, autant de cas.

Au Portugal, Graça Freitas (madame Salomon du pays) dit que la plupart des décès dus au Covid sont complètement vaccinés.

En Israël on a avoué il y a quelques semaines 39% d’efficacité, voire moins.

En Angleterre, cela fait un moment qu’ils le disent.

En Islande, un des pays le plus vacciné d’Europe, Monsieur Þórólfur (le Salomon local) reconnaît également que la moitié des personnes hospitalisées ont été vaccinées, « la vaccination n’a pas conduit à l’immunité collective que les experts prévoyait ».

Il n’y a guère qu’en France qu’on y croit encore.
A côté de ces discours officiels, quels sont les vrais chiffres ?

Je consulte régulièrement Our Worl in Data, si facile d’accès et si riche.

Voici par exemple la situation dans les pays Européens que l’on suit le plus.

La vaccination, dans ces pays très vaccinés, n’empêche en rien la dernière vague due au Delta.

Le vaccin n’est pas efficace contre ce variant, une troisième dose, solution de plus en plus envisagée ne changera rien sur cette efficacité, pas plus qu’augmenter le nombre de vaccinés.

Seules l’Italie et l’Allemagne, autant vaccinés, sortent du lot.

Pourquoi ? La réponse est plus loin dans cet email.

Amusant, en comparant l’Israël, ultra-vacciné, avec ses voisins, l’Égypte, la Syrie, la Jordanie, très peu vaccinés, on voit que le nombre de cas en Israël explose !

Alors :

Plus de vaccins, plus de cas ?
Moins vaccinés, moins de malades ?

Conclusion : un vaccin est fait pour empêcher la maladie.

Vaccinés contre la tuberculose, variole, tétanos, coqueluche, diphtérie, vous n’attrapez pas la maladie.

Ici, manifestement, vous l’attrapez autant que si vous étiez non vacciné.

Et paradoxalement, on court toujours derrière une immunité collective impossible à obtenir dans ces conditions, pour ceux qui ont un peu de bon sens.

Cette immunité collective était la seule justification à vacciner les jeunes qui n’ont rien à craindre de la maladie.

Alors comme cette raison saute, pour quelle raison médicale, épidémiologique, on continue ?

Qu’on nous le dise.

LA LOGIQUE DU PASS

Quant au pass pour mettre fin à l’épidémie, là encore la France est très forte, il permet :

D’éviter de transmettre une maladie que vous n’avez pas,

À des gens qui sont vaccinés contre cette maladie,

Et qui eux ont le droit d’aller et venir partout contaminer les autres, car porteurs autant que les non vaccinés.

Pour aller sur votre lieu de travail, non vacciné, il vous faut un test, prouvant que vous êtes négatif.

Par contre le vacciné, porteur de pass, n’a pas besoin de test pour travailler, alors qu’il peut être positif et peut vous contaminer.

Contrairement à ce qu’on nous dit, avec le pass, ce n’est pas les non vaccinés qui contaminent les autres, mais les vaccinés qui vont contaminer les autres, vaccinés ou négatifs !

Comprenne qui pourra le raisonnement de nos « élites ».

Pour terminer avec ce pass, :

Le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal affirmait en février que ce pass « n’avait de sens que si on était sûr que les vaccinés ne transmettent pas la maladie »,
Maintenant que l’on sait qu’ils transmettent, virage à 180°, il affirme que ceux qui l’ont cru en février sont des irresponsables !
« L’immunité de groupe est un objectif mythique qui ne sera jamais atteint », selon les responsables du vaccin d’Oxford.

Chez nous, Alain Fisher, monsieur vaccin court encore après ce jour.

Alors pour continuer à vacciner, le discours a changé.

On vous explique qu’il ne vous protège pas, mais qu’il vous empêche d’attraper une forme grave.

VACCINS : MOINS DE FORMES GRAVES ?

C’est ce qu’on nous dit maintenant pour justifier la vaccination, après nous avoir promis qu’on avait 95% de chances de ne pas attraper le virus avec ce vaccin.

Pour se faire une idée, regardons ce qui se passe chez le pionnier, que nos élites citaient en exemple il y a quelques mois : Israël.

Tout d’abord, ils sont en train de nous faire la même vague que l’an dernier avant vaccin, malgré les 2/3 de la population vaccinée, montrant l’inefficacité ou le peu d’efficacité de ce dernier.

Le 5 août, le Dr Kobi Haviv, directeur médical de l’hôpital Herzog à Jérusalem, a déclaré lors d’une interview sur la chaîne 13 TV News, que 95 % des patients hospitalisés pour une forme sévère de Covid, sont vaccinés.

Dimanche 15 août, on comptait 525 patients dans un état grave, 162 de plus qu’une semaine plus tôt.

Parmi eux, 404 ont plus de 60 ans, dont 277 complètement vaccinés.

Si dans ce pays, où il y a plus de vaccinés que de non vaccinés, on trouve en réanimation plus de vaccinés, on peut se poser des questions sur l’efficacité des vaccins sur les formes graves.

Au Portugal, Graça Freitas, directrice de la santé citée plus haut, disait il y a peu dans une interview, que la majorité des victimes qui meurent du covid-19 sont âgées de plus de 80 ans et ont été complètement vaccinées, deux doses, soulignant qu’il s’agissait d’une situation prévisible compte tenu de l’efficacité du vaccin.

Les 7 décès du Lambda en Belgique, vaccinés deux doses, ne vont pas non plus dans ce sens.

Avec le temps, on voit de moins enmoins de différences entre les vagues de l’an dernier sans vaccins, et de cette année, avec vaccins, tant en ce qui concerne les cas que leur gravité.

On peut également voir apparaître une différence entre les pays vaccinés et ceux qui le sont moins, confirmant la sonnette d’alarme que lancent certains spécialistes : le phénomène ADE.

Ce phénomène se nomme en Français le phénomène des anticorps facilitants. Il décrit le développement d’anticorps non neutralisants qui facilitent l’entrée du virus dans les cellules, même celles qui ne possèdent pas le récepteur permettant son entrée.

Ceci peut augmenter l’infectiosité et la virulence du virus.

Le delta chez les vaccinés serait donc plus sévère que chez les non vaccinés ?

En effet, ces données en Israël et aux Seychelles montrent que le delta est virulent, alors que d’autres pays semblent montrer le contraire, avec un variant moins virulent.

On ne peut toutefois pas généraliser.

Il est difficile de se faire une opinion réelle sur les chiffres, en raison des différents facteurs pouvant intervenir en bien ou en mal.

Le temps nous dira ce qu’il en est.

Dernière mise en garde sur l’ADE dans cette étude récente : « la possibilité d’une ADE devrait être étudiée plus avant, car elle pourrait représenter un risque potentiel pour la vaccination de masse au cours de la pandémie actuelle de variants Delta ».

TESTS

Parmi les pays proches, à peu près autant vaccinés, nous avons vus que l’Allemagne et l’Italie avaient beaucoup moins de cas.

Pourquoi ?

Certains vont pouvoir formuler plusieurs explications.

La vérité est peut-être simple, et elle se trouve non dans des théories, mais dans les chiffres.

Ce que j’ai constaté peut remettre en question beaucoup d’hypothèses élaborées depuis 1 an quant aux différences entre pays.

Voici tout simplement, grâce aux données de Our World in Data, la courbe du nombre de tests par habitants : l’Italie teste 3 fois moins que nous, l’Allemagne 10 fois moins.

Plus vous testez, plus vous avez de nouveaux cas déclarés ! Logique.

Conclusion : si vous voulez mettre fin à l’épidémie, ne testez plus, et si vous voulez affoler la population pour justifier des mesures impopulaires, testez plus.

Trêve de plaisanterie, il y a quand même deux choses à souligner :

Premièrement, cela montre que le nombre de cas n’est pas un bon indice pour suivre une évolution tellement il est dépendant du nombre de tests, plus que de la maladie. Il est donc très important de tenir compte du nombre de tests lors de l’analyse des chiffres.

En voyant ces courbes et l’importance du nombre de tests, on peut se demander ce que l’on aurait en testant 100% de la population.

Tous auraient les mêmes courbes. Normal, c’est le même virus.

On constaterait aussi que chaque vague s’éteint quoi qu’on fasse.

J’en reviens toujours à notre première vague, belle cloche sans vaccin ni traitement, avec des indices qui baissaient avant confinement comme expliqué plus haut.

Cela rejoint ce que dit le Pr Raoult qui fait parler son expérience quand il nous dit que chaque vague n’est pas une reprise de la même épidémie, mais est due à un variant différent, il s’agit de plusieurs épidémies successives, non de la même.

Ces courbes semblent le démontrer.

INCIDENTS, ACCIDENTS DES VACCINS

Ici, pour avoir des chiffres fiables des effets secondaires, c’est la cata.

Et quand certains publient les chiffres officiels qu’ils trouvent, ils sont censurés, comme Laurent Mucchielli, chercheur au CNRS.

Même chose sur YouTube, Facebook et Twitter : les chiffres officiels sont complotistes, il ne faut pas les donner, quels qu’ils soient.

Tous les pays ont des chiffres minorés, pour plusieurs raisons.

Les patients ne pensent pas toujours qu’il peut y avoir un lien.

Je vous ai déjà cité ces cancers du pancréas qui flambent juste après vaccin, quelles preuves d’un lien ? Aucun.

Ce jour c’est une amie qui me demande si la dissection aortique de sa mère moins de deux semaines après vaccin est une coïncidence ou non (pour info, 108 enregistrés sur Vigibase, soit sans doute 500 en pratique).

Les autorités rechignent à enregistrer, puis font tout pour ne pas valider, la preuve n’étant jamais formelle.

En Grande-Bretagne, on ne publie plus de chiffres officiels de décès après vaccins, au motif qu’il est difficile de faire la preuve de la cause, et donc que les chiffres ne peuvent être fiables.

Comment s’y retrouver ?

Certains disent qu’on ne remonte aux autorités que 10% des effets secondaires.

Une étude de 2019 parle même de 1%, cela me paraît excessif, je l’évalue autour de 5 par plusieurs recoupements.

De mon côté, il y a 15 jours :

En prenant le nombre de décès déclarés en Grande-Bretagne (1 500) avec une règle de 3,

(En divisant par le nombre d’injections dans le pays, en multipliant par le nombre d’injections dans le monde)

J’arrivais à 70 000 décès dans le monde, 5 fois plus que ceux déclarés dans Vigibase de l’OMS.

Aux USA, la base officielle donnait 6 207 décès dus aux vaccins le 21 juillet.

D’autres sources donnent plus : 6 985 décès le 2 juillet, 11 940 le 30 juillet , et le 6 aout, nous sommes à 12 791 décès ( source, confirmé ici).

Ces chiffres de décès sont-ils sûrs ?

Je suis allé voir sur un site anti-fake, Reuters Fact Check, équivalent de AFP Factuel.

Un article de fin juillet confirme le rapport de 6 207 décès dans le VAERS à la date du 21 juillet, en émettant une réserve que je rapporte :

« Cette déclaration est assortie de réserves on, « La FDA », exige que les prestataires de soins de santé signalent au VAERS tout décès survenu après la vaccination par COVID-19, même s’il n’est pas clair si le vaccin en est la cause.”

Je ne prendrai donc que le chiffre le plus bas, sachant que comme chez nous, tout est fait pour rejeter le maximum de décès sans preuves et non rapportés.

6 207 pour 320 millions de doses injectées à cette date,

(Avec une règle de 3, pour 4,2 milliards de doses injectées dans le monde ( (6207 x 4 200 000 000)/320 000 000))

Cela fait 81 500 décès.

Nous sommes toujours dans le rapport de 1 à 5 avec la base OMS, et de 1 à 10 avec 150 000 décès si on prend les sources citées plus haut dépassant 12 000 décès pour les USA.

Faites le calcul.

Il n’y a pas de raison pour que le vaccin tue plus ici que là, ce sont les mêmes hommes, le même vaccin.

Bientôt ils vont cesser d’enseigner la règle de trois à l’école, car on déclarera que c’est une « opération complotiste ».

Un seul pays semble transmettre correctement, l’Italie, qui transmet 20 fois plus que les autres européens !

La plupart de ces effets sérieux, sont, nous le savons maintenant, le plus souvent dus à des micro-thromboses.

Si on nous a aussi expliqué que le vaccin restait dans le muscle de l’épaule, on sait maintenant que c’est faux.

Ci-joint un document Pfizer, caché au début, qui montre une diffusion dans tous les organes (y compris les gonades -organes génitaux), heure par heure, confirmant bien que le produit passe dans la circulation générale.

On nous dit que la plupart de ces incidents régressent, oui, c’est vrai.

J’ajouterai aussi que beaucoup ne sont pas apparents, et qu’ils sont sans symptômes.

Les micro-thromboses, ces formations de caillots dans les vaisseaux sanguins, sont constantes comme le montre le dosage de D-dimères avant et après.

Maintenant, médicalement, je me pose des questions.

Elles sont microscopiques et touchent tous les organes.

Le poumon en premier on est d’accord.

Si nombre de ses vaisseaux sont bouchés, la pompe cardiaque continuera à débiter, mais va peiner pour aspirer dans les artères pulmonaires,

Quel sera l’état de la pompe qui fonctionne dans ces conditions anormales dans 20-40 ans ?

Même chose après myocardites : si vous perdez 5-10% de muscle cardiaque, qui ne se régénère pas, à 70 ans vous ne verrez rien tout de suite, ce n’est pas grave,

Mais si vous êtes jeune, comment sera votre cœur dans 20-40 ans ?

Insuffisance cardiaque ? Nécessité d’une greffe ?

Même chose pour les glomérulonéphrites (vaisseaux sanguins dans les reins) maintenant explorées par l’EMA : si vous perdez 5-10% de votre fonction rénale, à cause de petits vaisseaux sanguins bouchés,

Vous ne verrez rien tout de suite, mais dans 20-40 ans ?

Dialyse ? Greffe ?

Tous les organes possèdent des micro-vaisseaux et sont donc sujets aux micro-thromboses.

Personne ne peut vous dire le taux de cellules abîmées et les conséquences sur le long terme, et je ne fais que me poser la question.

BÉNÉFICE/RISQUE

Enfin ne faudrait-il pas revoir la notion de bénéfice/risque ?

En effet, on peut évoquer cette notion quand le vaccin vous protège à 95%.

Mais que devient ce facteur bénéfice/risque, quand il ne marche pas sur un variant ?

Un mathématicien vous dira que la balance bénéfice/risque s’inverse !

Elle doit être évaluée en fonction de l’efficacité réelle et durable, alors qu’aujourd’hui elle n’est établie que dans l’hypothèse de 100% d’efficacité définitive.

La notion de durabilité doit aussi être introduite, car quel est ce rapport si le produit a 0 efficacité à 6 mois ?

Que devient le risque pour un bénéfice égal à zéro ?

Gérard Maudrux
Source :
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/covid-quelques-chiffres