J’ai lu le récit d’Émilie Carles, puis je suis allé randonner plusieurs semaines de suite, à quelques années d’intervalle, à Névache. Et j’ai relu à plusieurs reprises son livre. Je suis entré dans son récit, connaissant mieux les lieux dont elle parle, les villages et hameaux de cette magnifique vallée, qu’elle a sauvée de la folie des humains.
J’ai fini par « tomber » amoureux de cette vallée, si bien que j’y retourne fréquemment, sans me lasser, et tout ça grâce à Émilie Carles, sans qui, la vallée telle qu’elle est, aurait disparu. Quel désastre ça aurait été.
J’ai lu le récit d’Émilie Carles, puis je suis allé randonner plusieurs semaines de suite, à quelques années d’intervalle, à Névache. Et j’ai relu à plusieurs reprises son livre. Je suis entré dans son récit, connaissant mieux les lieux dont elle parle, les villages et hameaux de cette magnifique vallée, qu’elle a sauvée de la folie des humains.
J’ai fini par « tomber » amoureux de cette vallée, si bien que j’y retourne fréquemment, sans me lasser, et tout ça grâce à Émilie Carles, sans qui, la vallée telle qu’elle est, aurait disparu. Quel désastre ça aurait été.