> Un Indien à la présidence de la Bolivie - 180 ans plus tard, la fin de la colonisation ?
28 décembre 2005, 14:07
Il me semble qu’il ne faut pas confondre l’aspiration de tout un peuple à vouloir vivre décemment, et la prise de pouvoir d’un représentant d’un parti, parce qu’il n’est pas une partie de la population, et ne saurait engager une politique qui va dans le sens des aspirations de tout un peuple, sans prendre le risque d’être renversé par de plus puissants que lui. Allendé, qui n’était pourtant pas un révolutionnaire, a été abattu par des services spéciaux à la solde du capitalisme US. Et le chef d’Etat brésilen d’aujourd’hui ne sait pas faire d’autre politique que celle que lui dictent les puissances internationales.
En gros, il faudrait cessé de se leurrer, et de reprendre l’hypothèse qu’une révolution sociale est un programme qu’il reste encore à étudier. http://destroublesdecetemps.free.fr
Il me semble qu’il ne faut pas confondre l’aspiration de tout un peuple à vouloir vivre décemment, et la prise de pouvoir d’un représentant d’un parti, parce qu’il n’est pas une partie de la population, et ne saurait engager une politique qui va dans le sens des aspirations de tout un peuple, sans prendre le risque d’être renversé par de plus puissants que lui. Allendé, qui n’était pourtant pas un révolutionnaire, a été abattu par des services spéciaux à la solde du capitalisme US. Et le chef d’Etat brésilen d’aujourd’hui ne sait pas faire d’autre politique que celle que lui dictent les puissances internationales.
En gros, il faudrait cessé de se leurrer, et de reprendre l’hypothèse qu’une révolution sociale est un programme qu’il reste encore à étudier.
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