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> Les sous-hommes existent, Georges Frêche les a rencontrés !

14 février 2006, 15:02

Frêche n’en est pas à son coup d’essai, voici un florilège de ses "dérapages", si on peut ainsi qualifier une façon de faire de la politique...

Un jour, des fidèles qui lui manifestaient leur mécontentement se sont fait rabrouer : « Taisez-vous, je suis le chef de la communauté musulmane. » (19/6/2003)
http://www.minorites.org/article.php?IDA=970

« L’islam a ceci de particulier qu’il mélange le religieux et le politique. A ce titre il n’est pas intégrable dans la République. » (19/6/2003)
http://www.minorites.org/article.php?IDA=975

"le maire PS de Montpellier Georges Frêche (..) traite les imams d’« analphabètes » et compare les filles voilées à des malades atteintes des oreillons" (9/10/2003)
http://www.minorites.org/article.php?IDA=965

Le seul exemple avéré de scrutin au cours duquel le vote musulman a pu jouer un rôle est la défaite de Georges Frêche aux législatives de 2002. Le maire de Montpellier avait déclaré à propos des femmes voilées : "Elles doivent avoir les oreillons." Pendant toute la campagne électorale, des jeunes femmes voilées l’ont poursuivi avec des pancartes. Une association musulmane, le Comité de réflexion et d’innovation (CRI), lui a mené la vie dure. Au bout du compte, M. Frêche a perdu l’élection à 226 voix près. (19/04/2004)
http://www.minorites.org/article.php?IDA=1351

Ce qu’on pourrait appeler le système Frêche consiste en un contrôle du culte musulman poussé jusqu’à la caricature. Maire sans interruption de 1977 à 2004, il a multiplié les déclarations à l’emporte-pièce. Le 9 février 2002, au cours de l’inauguration d’un centre funéraire musulman, il assène : "Le représentant des musulmans, il n’y en a qu’un, c’est moi ! Il n’y a pas plus de communauté harkie que de communauté marocaine ou algérienne. Ici, ce n’est pas eux qui décident." La déclaration fait scandale. Les représentants des harkis quittent la salle.
http://www.minorites.org/article.php?IDA=1363

« J’espère qu’il sera meilleur que l’autre abruti » : c’est en ces termes que Georges Frêche, président de la région Languedoc-Roussillon et de Montpellier-agglomération, a commenté l’élection du successeur de Jean-Paul II. Georges Frêche aurait également déclaré, en parlant du nouveau pape d’origine allemande et du bombardement de Dresde par les Alliés pendant la Seconde guerre mondiale : « C’est dommage, ils en ont loupé un. » (26/04/2005)
http://www.minorites.org/article.php?IDA=8541

« Nous sommes des gens de gauche respectables. Nous travaillons, nous militons et nous ne sommes pas des abrutis comme le prétend Georges Frêche. Mais nous sommes aussi catalans et nous tenons à le rester » (10/10/2005)
http://www.minorites.org/article.php?IDA=12331

LE PROJET de création, à Mont pellier, d’un musée de la présence française en Algérie est-il déjà condamné ? Sur place, en tout cas, la municipalité voudrait désormais se donner le temps de la réflexion avant de prendre le risque de raviver les plaies de l’histoire. L’idée de ce musée a été émise il y a quinze ans par le socialiste Georges Frêche, tonitruant maire de la ville jusqu’en avril 2004. Pour lui, il s’agissait de mettre en valeur les apports de la présence française en Algérie de 1830 à 1962. Une manière de rendre hommage au passé des rapatriés d’Afrique du Nord, ses compagnons de toujours, qui pèsent aussi 20% de l’électorat local. (07/11/2005)
http://www.minorites.org/article.php?IDA=12883

Des déclarations du Président (PS) du conseil régional Languedoc-Roussillon, Georges Frêche, qualifiant mercredi de "gugusses" les parlementaires socialistes ayant proposé l’abrogation de l’article de loi sur les rapatriés et les harkis, ont suscité quelques remous à Montpellier.
Pendant l’interruption de séance, puis après la reprise des débats, M. Frêche a entonné le chant colonial "C’est nous les Africains qui revenons de loin". Le leader du Front national, Jean-Claude Martinez, lui a alors proposé une déclaration commune sur la vision de la présence française en Algérie.
A la fin du couplet, le leader régional du FN, Jean-Claude Martinez, applaudit : "Bravo Frêche ! Et s’ils te virent, tu sais que tu as toujours une bonne soupe de côté au FN." (01/12/2005)
http://www.minorites.org/article.php?IDA=13457

François Loncle, l’un des députés qui, avec le président du groupe Jean-Marc Ayrault, ont défendu l’abrogation de la disposition controversée, s’est déclaré "étonné que Georges Frêche, qui fut par ailleurs un excellent maire, bénéficie de la protection constante de François Hollande et de la direction du PS". "J’attends que, dans ces circonstances, le premier secrétaire prenne ses responsabilités", a ajouté le député fabiusien, interrogé par l’AFP. (02/12/2005)
http://www.minorites.org/article.php?IDA=13503

Le président du Languedoc-Roussillon, ancien maire de Montpellier pendant vingt-sept ans, est taxé depuis longtemps de mégalomanie. Mais cet ancien maoïste est aussi sujet à des dérapages verbaux et à des prises de position qui en font bondir plus d’un au sein même de sa majorité de gauche. (23/12/2005)
http://www.minorites.org/article.php?IDA=13894

En octobre 2005, Midi Libre était privé de publicité et d’annonce par le président de région, dans des conditions qu’analyse l’article que nous publions ci-dessous, paru en novembre 2005 dans le n°5 de L’Accroche, « Le journal indépendant de Montpellier ». (Acrimed)
Un an sans publicité ni annonces légales. C’est la sanction qu’a annoncée le président de région et de l’agglo, à l’encontre du quotidien régional. Quant aux médias locaux, ils se sont bien gardés d’informer, en détails, leurs lecteurs sur cette décision.
http://www.acrimed.org/article2239.html