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21 septembre 2006, 17:32

Et ça, tu ne connais pas ? ...

Quand nous en serons au temps des cerises
Et gai rossignol et merle moqueur
Seront tous en fête
Les belles auront la folie en tête
Et les amoureux du soleil au cœur
Quand nous chanterons le temps des cerises
Sifflera bien mieux le merle moqueur

Mais il est bien court le temps des cerises
Où l’on s’en va deux cueillir en rêvant
Des pendants d’oreilles
erises d’amour aux robes pareilles
Tombant sous la feuille en gouttes de sang
Mais il est bien court le temps des cerises
Pendants de corail qu’on cueille en rêvant

Quand vous en serez au temps des cerises
Si vous avez peur des chagrins d’amour
Evitez les belles
Moi qui ne crains pas les peines cruelles
Je ne vivrai pas sans souffrir un jour
Quand vous en serez au temps des cerises
Vous aurez aussi des chagrins d’amour

J’aimerai toujours le temps des cerises
C’est de ce temps-là que je garde au cœur
Une plaie ouverte
Et Dame Fortune, en m’étant offerte
Ne saura jamais calmer ma douleur
J’aimerai toujours le temps des cerises
Et le souvenir que je garde au cœur

Pour les ignorants voici ce que dit Wikipédia de cette chanson célèbre (faut tout vous dire !) :

Le Temps des Cerises, 1866
Paroles : Jean-Baptiste Clément
Musique : Antoine Renard

Cette chanson, écrite sous Napoléon III avant la guerre de 1870 et avant la Commune de Paris, a été dédicacée par l’auteur du texte à une infirmière morte lors de la semaine sanglante (fait rapporté par Louise Michel dans son histoire de la Commune). C’est aujourd’hui la chanson la plus connue et incontournable de cette période. Depuis, elle vint à représenter l’idéologie communiste. Par exemple, elle fut, pendant la Seconde Guerre mondiale, un point de ralliement entre communistes, qui étaient persécutés par le régime nazi.

Le Yéti (chantonnant)