"L’expérience de la guerre européenne a montré que rien ne démoralise autant l’ennemi que le bombardement bien fait d’un lieu où sont concentrés les blessés.
Une bombe qui tombe sur un hôpital, c’est l’assurance d’une victoire ou d’une série de victoires. (...)
Un bombardement bien fait sur un hôpital vaut deux combats partiels gagnés. Je préfère que l’on bombarde un hôpital plutôt que d’accomplir un bombardement sur une ville de l’arrière, si importante soit-elle.
Et quand j’ordonne de bombarder un hôpital, cet ordre doit être accompli par-dessus tout et par-dessus tous."
Général Franco, dans ses écrits à l’usage de ses partisans.
"L’expérience de la guerre européenne a montré que rien ne démoralise autant l’ennemi que le bombardement bien fait d’un lieu où sont concentrés les blessés.
Une bombe qui tombe sur un hôpital, c’est l’assurance d’une victoire ou d’une série de victoires. (...)
Un bombardement bien fait sur un hôpital vaut deux combats partiels gagnés. Je préfère que l’on bombarde un hôpital plutôt que d’accomplir un bombardement sur une ville de l’arrière, si importante soit-elle.
Et quand j’ordonne de bombarder un hôpital, cet ordre doit être accompli par-dessus tout et par-dessus tous."
Général Franco, dans ses écrits à l’usage de ses partisans.