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EARTLINGS : Terriens (vidéo très difficile)

27 février 2007, 15:51

’’pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir’’. C’est pas la fin du capitaliste qui va redonner aux humains, la terre qui faisaient manger transformée en autoroutes , ni les empêcher de s’étendre et dévaster les ressources de ce monde. D’ailleurs dans bien des pays non capitalistes ca chauffe au charbon et pour l’énergie ca détourne des rivières inondant et déplancant des millions de personnes détruisant des écosystèmes. On vide sans vergogne nos océans Coustaud l’avait prédi depuis longtemps maintenant ce sont les océans ne captant plus notre pollution car saturés qui rejettent le plus de CO2, ce sont les terres gelées qui fondant en libèrent aussi c’est pas les extraterrestres qui sont coupables mais nous.

C’est vrai c’est pas le fait de manger de la viande puisque la plupart d’entre vous, ça vous est complètement égal si les animaux ont été tués dans la cruauté la plus totale puisqu’ils doivent (selon vous) nous servir quelque soit les conditions. Ça donne une idée comment pour ses semblables ’’l’homo sapiens’’ ne peut pas non plus avoir de la compassion. Avoir de la sensibilité n’a rien à voir avec le coeur à droite ou à gauche. Soyez logiques, je vies dans une petite banlieu au Québec et ca coupe et les citadens veulent leurs petites parcelles d’air propre et ça construit des routes et encore et encore. Des citoyens se sont battus contre l’abus du gouvernement de transformer un parc national en condos. Vous pensez que demain matin, ça va cesser de vouloir s’étendre comme des tentacules dans la moindre parcelle verte. Jamais.

Désolée mais au train où on va, même si je me battrai jusqu’à mon dernier souffle (ce que je ferais sans hésiter) même si vous faites ça aussi, c’est pas suffisant, il faut plus, ca prendrai un changement drastique et au fond cessez de faire les hypocrites vous n’êtes pas prêts. J’affirme même qu’on est rendu presque au non retour, de l’emballement et même si je le sais je vais continuer d’aimer la moindre parcelle de vie.

Bon souper,

Aya