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Staline le tyran rouge

16 mars 2007, 21:00

Rappelons les faits concernant Lénine et la révolution bolchevique :

Dès l’établissement des bolcheviques au Kremlin, les puissances capitalistes victorieuses de 1918 lancent plusieurs opérations militaires :

le Japon attaque la Sibérie

la Finlande et les USA attaquent l’Oural et la Carélie

la France attaque la Crimée

l’Angleterre et l’Italie attaquent les pays Baltes

l’Angleterre et la Grèce débarque dans le Caucase

les Blancs (princes déchus) s’emparent de la Biélorussie et de l’Ukraine

Tous se liguent contrent Lénine, qui doit improviser la création de son armée.

Dès 1920, les puissances étrangères fatiguent, leur soldats en ont assez des guerres.

"ces rouges contre lesquelles ont nous fait tirer, ce sont des ouvriers et des paysans, comme nous...et ces blancs qu’on doit aider, ce sont des crapules, comme ceux qui nous en font baver depuis 6 ans"

(paroles des marins français se mutinant)

en 1921, les blancs sont écrasés, et la Pologne demande l’armistice

le nombre de mort serait de :

 russes et peuples de la futur URSS : plus de 5 millions

 Pologne : 355 000 militaires

 Angleterre : 170 000 militaires

 France : 200 000 militaires

(chiffres inconnu pour les autres béligérants) "

PUIS :
Staline savait que le seul moyen de contrer les attaques et de se protéger était une industrialisation rapide du pays. Cela a permis la grande victoire sur l’Europe nazie de l’Axe et sur le Japon. N’en déplaise aux historiens capitalistes, l’URSS a assuré la plupart des victoires.

Les sondages montrent que les seniors approuvent l’action de Staline. Ils savent très bien ce que les fascistes de l’Europe comptaient faire avec la race slave.

Sur Staline :
http://www.katardat.org/marxuniv/2002-SUWW2/US2GM/01Pacte.html#guerre

Remercions le communisme de nous avoir débarrassé en grande partie de toute cette racaille y compris en France.

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Sur les conditions de vie en Allemagne de l ‘Est :

« Poussé dans ses retranchements, M. Krenz finit par admettre un « bon côté » de l’Ostalgie : « Les gens de l’Est ont connu deux sociétés, et peuvent donc comparer » – ils sont 17 millions à savoir que la RDA « ne se résume pas à la Trabant ou à la Stasi. Malgré tout ce qui a mal tourné, il y avait du travail pour tous, des logements à bon marché, une santé gratuite et performante... Autant d’acquis qu’ils regrettent ». Célèbre à l’Ouest comme à l’Est, le cabarettiste Peter Ensikat analyse la tendance actuelle comme « une réaction à ce qui s’est passé depuis la chute du Mur ». Les Ossis avaient « tout jeté sans réfléchir ». Ils ne voulaient « que l’Ouest », dont ils ne connaissaient rien, « sauf les publicités à la télévision de la RFA ».

« Puis le cabarettiste lance : « Il était plus facile d’échapper hier aux pressions de la bureaucratie qu’aujourd’hui à celles de l’argent. » Les Ossis se sentent aussi impuissants qu’avant. « On peut bien sûr crier, mais à quoi bon ? » Même le minimum n’est plus garanti...

"Témoignage après témoignage, personne, ou presque, ne se remémore le Mur et la Stasi. Les plus hostiles parlent de « seconde dictature ». Comparaison absurde : le nazisme, avec la guerre, a tué 60 millions d’êtres humains, dont plusieurs millions de « génocidés » – juifs, Tziganes, handicapés, Slaves... Les statistiques de Marianne Birthler impressionnent néanmoins : les 40 millions de fichiers de la Stasi, avec laquelle 2 % de la population collaboraient, mentionnent la moitié des citoyens de RDA. Laquelle a totalisé 250 000 prisonniers politiques... »

« …Ce révisionnisme caricatural – qui ignore les contextes réels, les périodes, les régimes, les sociétés et les cultures très diverses de l’histoire soviétique – est contesté par de nombreux historiens, mais ce n’est pas eux qui donnent le ton. Plus largement répandus sont les best-sellers de Viktor Souvorov. Le dernier en date, sorti fin 2002 (12), s’ouvre sur cette affirmation : « Tous les dirigeants soviétiques, sans exception, ont été des crapules et des vauriens. »

… Au-delà du « système », les attaques visent les valeurs égalitaires et collectivistes, communautaires, tant russes traditionnelles que soviétiques. Elles ciblent les « gens d’en bas , les ouvriers, qui, en même temps que déstabilisés dans leurs conditions de vie, sont stigmatisés comme « complices » de l’ancien régime, « assistés », « paresseux » et « inutiles » au progrès postindustriel.

Malgré cette avalanche, la Russie échappe encore à la pensée unique sur l’URSS. Il y a, ici, trop d’expériences vécues, d’héritages culturels, de mémoires déchirées pour permettre ce genre d’uniformité. Les récits de vie peuvent, d’une même veine, charrier les échos chaotiques de temps extrêmes où les frontières étaient mouvantes, imprévisibles, entre la foi cristalline, les joies positives, la chute incomprise et soudaine aux enfers d’une terreur aveugle. »

Les sondages d’instituts réputés sérieux confirment : « 57 % des Russes veulent revenir à l’URSS » (2001)

mncds