Aprsè le vote utile - Il faut faire élire Ségolène Royal
23 avril 2007, 19:23
Dire que CPE et CPC c’est pareil... Pas tout à fait quand même. Dans un cas (le CPE), on fait un contrat avec possibilité de virer les jeunes du jour au lendemain pendant deux ans. Dans l’autre (le CPC) on donne à un jeune qui n’a aucun diplôme, aucune formation, la possibilité de se former dans une toute petite entreprise (moins de 10 salariés) pendant un an. Dans le cadre de cette formation, on rémunère ce jeune sur les deniers publics de la formation professionnelle. Ca revient à lui faire faire un stage professionnel (type AFPA, GRETA) rémunéré. Rien á dire contre les stages de formation rémunérés, n’est-ce pas ? Si le jeune fait l’affaire, il peut être embauché au bout de l’année. S’il n’est pas embauché, l’entreprise dans laquelle il travaillait ne peut pas reprendre de jeune au cours des 2 ou 3 prochaines années. Ca évite le "je prends, je jette" actuel. Dans tous les cas, même s’il n’est pas embauché, le jeune a une expérience professionnelle d’un an. Il y a 190.000 jeunes qui sortent du cursus scolaire sans rien. C’est pas une idée complètement débile.
Dire que CPE et CPC c’est pareil... Pas tout à fait quand même. Dans un cas (le CPE), on fait un contrat avec possibilité de virer les jeunes du jour au lendemain pendant deux ans. Dans l’autre (le CPC) on donne à un jeune qui n’a aucun diplôme, aucune formation, la possibilité de se former dans une toute petite entreprise (moins de 10 salariés) pendant un an. Dans le cadre de cette formation, on rémunère ce jeune sur les deniers publics de la formation professionnelle. Ca revient à lui faire faire un stage professionnel (type AFPA, GRETA) rémunéré. Rien á dire contre les stages de formation rémunérés, n’est-ce pas ? Si le jeune fait l’affaire, il peut être embauché au bout de l’année. S’il n’est pas embauché, l’entreprise dans laquelle il travaillait ne peut pas reprendre de jeune au cours des 2 ou 3 prochaines années. Ca évite le "je prends, je jette" actuel. Dans tous les cas, même s’il n’est pas embauché, le jeune a une expérience professionnelle d’un an. Il y a 190.000 jeunes qui sortent du cursus scolaire sans rien. C’est pas une idée complètement débile.