comme toi, je suis nouvel adhérent au PC. (ce qui ne doit faire pour personne le motif d’une humiliation — l’humilité, nous l’apprenons en entendant les vieux camarades, dans les réunions, devant des choix aussi difficiles que ceux qui s’offrent à nous, et devant leur manière d’envisager, qui n’a pas toujours été gagnante !, les stratégies à moyen et long termes )
Comme toi, et pour les mêmes raisons, j’ai hésité.
Qui m’a décidé ?
Mes copains anars, qui d’habitude refusent de voter, qui n’ont pas pris la peine de se déplacer en 2002 (et je continue de penser qu’ils ont eu raison), mais qui cette fois trouvent "jouable" la partie contre Sarkozy.
Mieux vaudra la résistance au libéralisme que celle face au conservatisme.
Parce que c’est bien ça qui se joue ici et maintenant : depuis dix ans, ou vingt, nous nous sommes, à juste titre, battus contre le libéralisme, qui est la figure "ouverte" du capitalisme. Tellement ouverte que tous ont été séduits, confondant de manière confondante libéralisme philosophique, ou de mœurs, avec le libéralisme strictement économique (pas même vraiment libéral, si on considère les systèmes d’aides, tant de l’Europe que des États-Unis, destinés à FAUSSER LA CONCURRENCE avec le tiers-monde).
Bref... Marx disait déjà il y a cent cinquante ans, et je n’ai pas le temps de retrouver la référence, à propos de la situation anglaise, que, face au conservatisme, il faudrait aider les libéraux.
Probablement les données ont-elles changé.
Mais la structure du problème reste la même.
Mettons les conservateurs en conserves, puis nous pourrons nous libérer des libéraux.
Chère Louve,
comme toi, je suis nouvel adhérent au PC. (ce qui ne doit faire pour personne le motif d’une humiliation — l’humilité, nous l’apprenons en entendant les vieux camarades, dans les réunions, devant des choix aussi difficiles que ceux qui s’offrent à nous, et devant leur manière d’envisager, qui n’a pas toujours été gagnante !, les stratégies à moyen et long termes )
Comme toi, et pour les mêmes raisons, j’ai hésité.
Qui m’a décidé ?
Mes copains anars, qui d’habitude refusent de voter, qui n’ont pas pris la peine de se déplacer en 2002 (et je continue de penser qu’ils ont eu raison), mais qui cette fois trouvent "jouable" la partie contre Sarkozy.
Mieux vaudra la résistance au libéralisme que celle face au conservatisme.
Parce que c’est bien ça qui se joue ici et maintenant : depuis dix ans, ou vingt, nous nous sommes, à juste titre, battus contre le libéralisme, qui est la figure "ouverte" du capitalisme. Tellement ouverte que tous ont été séduits, confondant de manière confondante libéralisme philosophique, ou de mœurs, avec le libéralisme strictement économique (pas même vraiment libéral, si on considère les systèmes d’aides, tant de l’Europe que des États-Unis, destinés à FAUSSER LA CONCURRENCE avec le tiers-monde).
Bref... Marx disait déjà il y a cent cinquante ans, et je n’ai pas le temps de retrouver la référence, à propos de la situation anglaise, que, face au conservatisme, il faudrait aider les libéraux.
Probablement les données ont-elles changé.
Mais la structure du problème reste la même.
Mettons les conservateurs en conserves, puis nous pourrons nous libérer des libéraux.
D@v !d B.