Le PCF, lui aussi, est au bord de « l’éclatement »
26 novembre 2008, 07:05
Nous expérimentons chaque jour des rapports humains qui ressemblent à une nouveauté et qui ne sont que des gestes de solidarité de classe, dans l’atomisation des individus et des communautés qu’on nous impose "d’en haut". Si le PCF doit être un outil comme je le crois, pour nous aider au moins à résister collectivement aux prédateurs qui finiront par nous réduire en esclavage, par l’avilissement de nos valeurs humanistes, par l’exacerbation des haines des exploités entre eux, il doit se renforcer. S’il doit toujours lorgner vers les rentes électorales, en craignant de choquer par son "extrémisme" supposé, vers le conformisme petit-bourgeois de ceux qui croient que le Capitalisme les épargnera, il ne sera plus communiste. Pour moi un Parti Communiste ne doit pas s’accommoder du Capitalisme, il doit travailler collectivement chaque jour à toutes les "opportunités" quotidiennes, à appuyer tout ce qui peut exacerber ses contradictons.
Or le PCF d’aujourd’hui se banalise et il s’identifie bien à sa direction "modérée" pour ne pas dire plus de certains de ses cadres qui se recroquevillent sur leur pouvoir bureaucratique bien dérisoire désormais.
Nous expérimentons chaque jour des rapports humains qui ressemblent à une nouveauté et qui ne sont que des gestes de solidarité de classe, dans l’atomisation des individus et des communautés qu’on nous impose "d’en haut". Si le PCF doit être un outil comme je le crois, pour nous aider au moins à résister collectivement aux prédateurs qui finiront par nous réduire en esclavage, par l’avilissement de nos valeurs humanistes, par l’exacerbation des haines des exploités entre eux, il doit se renforcer. S’il doit toujours lorgner vers les rentes électorales, en craignant de choquer par son "extrémisme" supposé, vers le conformisme petit-bourgeois de ceux qui croient que le Capitalisme les épargnera, il ne sera plus communiste. Pour moi un Parti Communiste ne doit pas s’accommoder du Capitalisme, il doit travailler collectivement chaque jour à toutes les "opportunités" quotidiennes, à appuyer tout ce qui peut exacerber ses contradictons.
Or le PCF d’aujourd’hui se banalise et il s’identifie bien à sa direction "modérée" pour ne pas dire plus de certains de ses cadres qui se recroquevillent sur leur pouvoir bureaucratique bien dérisoire désormais.