Non ce n"est pas la guerre . Ce football-là exclut 51% de l’humanité, les femmes, alors que les guerres impliquent autant les femmes que les hommes. Aucune équipe féminine, même parmi les plus talentueuses , n’est acceptée dans ces coupes du monde de football misogynes .
Donc des guerres pour rire qui ne concerneraient , parmi les joueurs et les joueuses de tous les sports possibles, que ceux du simple football, et parmi ces derniers, rien que les 49% du genre humain le moins nombreux , les joueurs uniquement masculins .
Un bien petit phénomène sociologique, ces quelques faux guerriers , même s’ils font beaucoup de bruit dans des médias complaisants qui leur font occuper l’espace qui devrait être dû à la politique . Il y a évidemment de l’argent en jeu .
Et pendant ces simulacres de guerre organisés pour occuper les gogos et leur pomper leur fric, les gouvernements mondialistes ultra-libéraux font ce qu’ils veulent, engloutissant tranquillement, sous prétexte de la crise, l’argent des peuples dans la spéculation , par des cadeaux de milliards de dollars aux banquiers.
Non ce n"est pas la guerre . Ce football-là exclut 51% de l’humanité, les femmes, alors que les guerres impliquent autant les femmes que les hommes. Aucune équipe féminine, même parmi les plus talentueuses , n’est acceptée dans ces coupes du monde de football misogynes .
Donc des guerres pour rire qui ne concerneraient , parmi les joueurs et les joueuses de tous les sports possibles, que ceux du simple football, et parmi ces derniers, rien que les 49% du genre humain le moins nombreux , les joueurs uniquement masculins .
Un bien petit phénomène sociologique, ces quelques faux guerriers , même s’ils font beaucoup de bruit dans des médias complaisants qui leur font occuper l’espace qui devrait être dû à la politique . Il y a évidemment de l’argent en jeu .
Et pendant ces simulacres de guerre organisés pour occuper les gogos et leur pomper leur fric, les gouvernements mondialistes ultra-libéraux font ce qu’ils veulent, engloutissant tranquillement, sous prétexte de la crise, l’argent des peuples dans la spéculation , par des cadeaux de milliards de dollars aux banquiers.