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Tandis qu’à Gaza le génocide se poursuit impunément, de même pour les autres crimes contre l’humanité commis au Congo et ailleurs.
Qui ne dit mot consent
Nous refusons d’êtres complices des génocides et des guerres en cours, de Gaza au Congo en passant par l’Ukraine et ailleurs, nos gouvernements et l’Europe portent de lourdes responsabilités.
Celle de ne pas faire tout ce qui est possible pour mettre fin au génocide en cours à Gaza, perpétré par un état allié de l’Europe, où sont les sanctions, telles que celles prises sans attendre envers d’autres ?
Celle de ne pas faire tout ce qui est possible pour mettre fin aux crimes contre l’humanité en cours au Congo, perpétrés là aussi par un état allié de l’Europe, de ne pas faire tout ce qui est possible pour mettre fin aux trop nombreuses guerres qui ravagent le monde.
Celle d’avoir refusé, d’avoir empêché et de refuser encore toute négociation, et de poursuivre l’escalade meurtrière en Ukraine, envers une puissance nucléaire, la Russie.
Trop d’enfants, de mères, de pères, trop de civils sont sauvagement massacrés, trop de jeunes et moins jeunes, souvent enrôlés contre leur volonté, tuent de parfaits inconnus et meurent, dans l’intérêt de privilégiés qui se connaissent parfaitement.
Nous exigeons des cessez-le-feu, des négociations et la reprise du désarmement nucléaire.
Négocier n’est pas céder, c’est revenir à la raison, indispensable à l’ère des missiles nucléaires hypersoniques.
Les priorités, les défis humanitaires, sociaux, économiques et environnementaux l’exigent,
dans l’intérêt de toutes et tous : seuls les marchands d’armes et ceux qui les servent profitent des guerres, les autres en souffrent et en meurent.
Nous refusons le retour de la barbarie, qui n’a d’autre but que de maintenir les privilèges d’une infime minorité.
Qui n’agit pas cautionne,
il est temps d’agir, d’entrer en résistance.
Agir pour la Palestine, contre le génocide
Agir pour l’avenir, contre toutes les guerres
NWBTCW
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14 mars 2024 : "Macron : « J’assume mes propos (...) Nous avons mis trop de limites dans notre vocabulaire » face à une « menace existentielle » " (France 2)
