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Ex-sénateur Ump, cofondateur d’Accor… et évadé fiscal
Publie le dimanche 23 mai 2010 par Open-Publishing5 commentaires
Au rayon "évadés fiscaux et fiers de l’être", on connaissait les vieux chanteurs, les tennismen et les traders.
Le cofondateur d’Accor, Paul Dubrule, vient d’entrer dans l’histoire de la République avec ce joli titre de gloire : le premier sénateur (il l’a été de 1999 à 2004 sous l’étiquette UMP) à se vanter (dans le magazine helvétique Bilan) d’avoir « économisé 3,3 millions de francs suisses par an » (2,3 millions d’euros) grâce à son évasion fiscale en Suisse.
Dubrule adore qu’on dise de lui qu’il aime le vélo.
Un peu moins qu’il collectionne les toiles de maître.
Et pas du tout qu’il vénère l’argent.
C’est désormais officiel.
http://www.liberation.fr/economie/0101636768-ex-senateur-ump-cofondateur-d-accor-et-evade-fiscal
Messages
1. Ex-sénateur Ump, cofondateur d’Accor… et évadé fiscal, 23 mai 2010, 02:48, par fp974
j’espère que la République, bonne fille, lui paye quand même sa retraite de sénateur sur son compte en Suisse....
2. Ex-sénateur Ump, cofondateur d’Accor… et évadé fiscal, 23 mai 2010, 21:01, par 49encolere
Qui vient de dire Mafieux ?????
Vilain Monsieur, pas beau tout ça, sauf qu’il ne risque rien puisque les copains font pareil.
Bonsoir la fripouille
3. Ex-sénateur Ump, cofondateur d’Accor… et évadé fiscal, 24 mai 2010, 10:11, par momo11
La république des copins et des coquins !!!momo11
1. Ex-sénateur Ump, cofondateur d’Accor… et évadé fiscal, 24 mai 2010, 10:52
il rentre dans l’histoire par la grande porte !!!!!!!!!!!!!!!
4. Ex-sénateur Ump, cofondateur d’Accor… et évadé fiscal, 24 mai 2010, 15:00
Ne pas oublier que l’hotellerie restauration avait un SMIC inférieur au SMIC normal jusqu’en 2004.
Donc ce cher monsieur s’est enrichi sur le dos de ses salariés.
Son portrait est accroché (avec Pelisson) autre cofondateur et anarqueur dans tous les hôtels de la chaîne ACCOR.
Voir ces 2 mafieux en photo m’a incité à aller dans les hôtels familiaux et non plus dans ses boîtes à pognon où l’humain est complètement ignoré en tant que tel et remplacé par le fric.