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On apprend aujourd’hui que les finances publiques de la Finlande ne seraient plus maîtrisées.
C’est ainsi qu’après la Grèce, suivie de très près quoi qu’on en dise, de l’Espagne, du Portugal, de l’Angleterre, de la Sarkosie, de l’Italie, de l’Irlande, un nouveau pays européen est en quasi cessation de paiement.
Le libéral capitalisme ou le capitalo libéralisme, comme vous le voudrez, accouche des mêmes résultats : l’effondrement programmé des Etats.
Dans tous ces pays, les recettes à venir sont en cours de préparation : énième cure d’austérité des Etats par le recul de ses interventions (éducation, services publics, santé, etc), régression des droits sociaux( régimes sociaux, retraites, etc) et à aucun moment n’est envisagé l’augmentation sensible des impôts (sociétés aux résultats faramineux, individus aux revenus et patrimoines colossaux)
Lisez et relisez les ouvrages de Mme LACROIX-RITZ sur la situation politique et économique des années 1930 et l’installation de Pétain au pouvoir ainsi que le comportement des industriels et banquiers sous l’Occupation, beaucoup de similitudes avec la situation présente amènent à rire jaune.
Messages
1. FINANCES PUBLIQUES : LA DEBACLE, 2 février 2010, 20:26, par vittoriosoldaini
Jusqu’a quand on ne se rends pas compte des rélations entre l’état. quelconque état, et la banque centrale, quelconque banque centrale, on est dépourvu de la clef de lecture, la seule, quw peut dévoiler l’enjeu souterrain entre la politique et la banque central. L’endettement de l’état est inevitable car l’état n’ a pas la maitrise de l’emission des banquesnote. Lire articles 104 105 107 du traité de Maastricht.
Il est nécessaire organiser un rencontre international pour épuiser la matière.
Marcher, crier etc c’est insuffisant. Si on ne connait pas le concept de souveraineté monetaire, si on connait pas d’où vient le big bang de l’endettement on peut faire beaucoup mais sans comprendre le seigneurage de la monnaie par les banques central on n’arrivera jamais à demanteller la dette publique (vrai crédit privé en faveur de la banque centrale.
Vittorio Soldaini italien (67 ans et dépuis 1978 je suis concerné autour des rapport entre l’état et la banque central)