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France : un nouveau cataclysme financier se profile à l’horizon.
Publie le dimanche 12 juillet 2009 par Open-Publishing2 commentaires
Un nouveau cataclysme financier se profile à l’horizon.
La crainte d’un nouveau tsunami financier prend de l’ampleur. Il ne trouvera pas ses origines dans des prêts immobiliers attribués à des particuliers insolvables, comme ce fut le cas avec les "subprime" américains, mais dans les prêts accordés aux fonds d’investissements pour racheter des entreprises.
En Europe, 150 milliards d’euros de crédit pourraient se traduire par des pertes sèches pour les banques. Il s’agit de la fameuse dette LBO (leveraged buy out) du nom de la technique qui permet d’acquérir une entreprise avec effet de levier : peu de capital initial, mais beaucoup d’endettement.
Depuis le début des années 2000 et jusqu’à l’année dernière, les fonds spécialisés dans les LBO ont levé des capitaux en masse et obtenu des banques tous les prêts qu’ils désiraient à des taux avantageux assortis de clauses de moins en moins restrictives. A la belle époque, les banquiers se précipitaient pour être retenus parmi les prêteurs. Il aurait été du dernier ringard de ne pas être admis dans le cercle des élus.
Les fonds d’investissement spécialisés dans les LBO ont fort bien vécu. En revendant les entreprises 4 ou 5 ans après leur acquisition, ils réalisaient de confortables plus-values qui permettaient de rembourser l’endettement et de rémunérer les investisseurs entre 15 et 20 % par an, parfois davantage. Sur le plan financier tout le monde y trouvait son compte. Les perspectives de gains étaient si attrayantes que les fonds d’investissement ont élargi leur champ d’intervention des sociétés non cotées aux entreprises cotées en Bourse. Pour nombre d’experts, les fonds LBO ont permis au capital-investissement d’accéder au rang des acteurs incontournables du financement des entreprises des plus petites aux plus grandes.
La crise financière et la récession économique qu’elle a provoquée donnent aujourd’hui de sueurs froides aux princes des LBO et surtout aux banquiers, leurs pourvoyeurs de fonds. Car les prévisions sont de plus en plus pessimistes. L’agence de notation Fitch estime que les taux de défaut pourraient passer de 10 % à 15 % d’ici 12 à 18 mois. Mais le plus dur reste à venir.
Selon Fitch, 50 % des 250 milliards d’euros de dette notée par ses soins sont en risque de défaillance. En France à la fin de l’année dernière, les banques avaient inscrit à leur bilan environ 60 milliards d’euros de dette, dont 28 milliards d’euros recèlent des pertes potentielles d’après les experts. BNP Paribas a prêté 8,4 milliards d’euros et la Société Générale 5,4 milliards.
Comme d’habitude, les banquiers se veulent rassurants. Baudouin Prot, le directeur général de BNP Paribas, affirmait récemment que le portefeuille LBO de sa banque était de bonne qualité. L’heure est donc à la sérénité.
Une voix s’est pourtant élevée la semaine dernière pour mettre en garde les banquiers contre "le syndrome du retour à la normale". En s’exprimant ainsi, Christian Noyer le gouverneur de la Banque de France est sorti de sa prudence de chat devenue légendaire. Il a insisté sur les risques de "second tour" de la crise, en particulier sur les dérivés de crédit et les financements à effet de levier. La dette LBO fait partie de cette dernière catégorie.
Jusqu’à présent, les banques ont tout fait pour ne pas afficher de pertes sur les financements LBO. Lorsque les entreprises éprouvent des difficultés à rembourser la dette, les banquiers proposent des rééchelonnements. Si la situation devient plus grave, les banquiers acceptent de transformer de la dette en capital et d’injecter des capitaux. Le fabricant de toitures Monier, qui était propriété du fonds PAI, vient d’être sauvé par un pool bancaire et un consortium de fonds. Il croulait sous 1,8 milliard d’euros de dette et était dans l’incapacité de rembourser.
Materis, fabricant de matériaux pour la construction, filiale de la société d’investissement Wendel, va bénéficier d’un rééchelonnement de sa dette qui avait atteint la somme astronomique de 2 milliards d’euros...
Pour le moment, les banques passent à travers les gouttes, mais pour combien de temps ? Elles ne pourront multiplier à l’infini les restructurations de dettes, ni la transformation de dette en capital. Un jour ou l’autre, elles devront bien passer par pertes et profits certaines de leurs créances.
Les fonds spécialisés dans le rachat d’entreprises en difficulté ayant fait l’objet d’un LBO, qualifiés aussi de fonds de retournement, sont à l’affut. Ils espèrent réaliser de bonnes affaires car ils rachètent les entreprises en demandant aux banques d’abandonner 50 % de la dette et de convertir le reste en capital. Mais cette technique entraîne fatalement des pertes pour les créanciers. Les banques françaises ont évoqué en France l’idée d’une "bad bank" ou banque poubelle qui aurait repris les dettes à effet de levier, mais le projet n’a pas abouti.
Une chose est sûre : la sphère financière redoute que la dette LBO ne mette sur le flanc des banques que l’on croyait revigorées ou carrément sorties d’affaire. S’il y a vraiment péril en la demeure, pourquoi les gouvernants, les régulateurs et les dirigeants de banques ne prennent-ils pas les devants pour trouver les moyens d’amortir le choc ? Il ne suffit pas de faire la politique de l’autruche ou de miser sur une reprise de la croissance économique plus rapide que prévu pour éviter les risques.
Dominique Mariette, journaliste spécialiste des questions financières, ancienne rédactrice en chef du journal La Tribune, Jeudi 2 juillet 2009.
Messages
1. France : un nouveau cataclysme financier se profile à l’horizon., 12 juillet 2009, 15:59
le grain de sable surnommé “the Doomsday box” peut etre a l’oeuvre a l’insus du plus grand nombre, peut etre l’oligarchie mondiale souhaite le cataclysme financier :
July 9, 2009
Russia Reports Massive $18 Trillion Theft Of US Funds By Israeli Backed Network
By : Sorcha Faal, and as reported to her Western Subscribers (Traducción al Español abajo)
A stunning FSB report circulating in the Kremlin today states that the largest theft in World history has been engineered by the Israel Security Agency (ISA) under the direction of current Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu, Australian media oligarch Rupert Murdoch and the US investment bank giant Goldman Sachs that has stolen from American mutual and pension fund account holders over $18 Trillion through a device known as “the Doomsday box”.
According to these reports, Israeli opposition leader, and former Mossad agent, Tzipi Livni [photo 2nd left next to Netanyahu] has turned over to the Obama administration the “complete dossier” of the ISA’s crimes against the American government and people after having the leadership of Israel “stolen” from her by Netanyahu, who through the ISA’s use of intimidation and massive bribes forced upon the Israelis the most right-wing government they have ever known.
These reports have come to light since last weeks arrest of a Mossad agent named Sergey Aleynikov by the United States, who these reports say stole from Goldman Sachs the most “complex and secretive stock manipulating programme ever created” and turned it over to Livni, and who in turn then gave copies of it to Russia, China and Germany.
Western news reports on the arrest of Aleynikov state that upon learning of the theft of their “Doomsday Programme”, Goldman Sacks ordered the US Government to arrest him, but as noted by the Bloomberg News Service, “what was Goldman doing with this programme to begin with” ?
“Never let it be said that the Justice Department can’t move quickly when it gets a hot tip about an alleged crime at a Wall Street bank. It does help, though, if the party doing the complaining is the bank itself, and not merely an aggrieved customer.
Another plus is if the bank tells the feds the security of the U.S. financial markets is at stake. This brings us to the strange tale of Goldman Sachs Group Inc. and Sergey Aleynikov.....
http://www.whatdoesitmean.com/index1249.htm
2. France : un nouveau cataclysme financier se profile à l’horizon., 22 juillet 2009, 15:35, par mohammed hifad
même sujet , même réaction !
Crise financière : le point de vue de 8 économistes.
mardi 14 juillet 2009 (13h51
de François Leclerc (sur Bellaciao)
Je ne suis pas un économiste mais j’aimerais ajouter à ces analyses ce que j’appelle le paramètre événementiel qui permet d’appréhender cette crise sous un autre angle du point de vue de celui que j’ai appelé dans mon essai, le psycho-physicien.
Dans cette situation symétrique ou répétition, La crise sera incontrôlable pendant 4 ans de 2009 jusqu’à fin 2012 , conformément aux mécanismes qui la soutendent et la régissent, c’est-à-dire ceux de son initiale de 1929 qui n’a commencé à reculer qu’en 1932 avec l’élection de Franklin Roosevelt .Cela ne veut pas dire que 1932 marque sa fin mais seulement le début de sa maîtrise et ses conséquences ont duré en réalité jusqu’en 1945 , ce qui correspond pour nous à 2025.Dans ce que j’appelle une situation initiale , les agents sont libres dans leurs actions mais dans sa symétrique ou répétition , les agents subissent en bien et en mal leurs actions initiales .La situation globale , situation initiale plus situation symétrique , équilibre les éléments constitutifs de la situation initiale les purifie et les annule définitivement .Je distingue le temps linéaire des situations initiales et le temps cyclique ou événementiel des situations symétriques .Les éléments de la situation initiale peuvent revenir dans leur totalité , le cas de cette crise , c’est ce que j’appelle une situation complète. Ces éléments de l’initiale peuvent se répéter les uns après les autres . , c’est ce que j’appelle une situation partielle. La situation globale , initiale plus sa symétrique , qu’elle soit complète ou partielle , s’opère au niveau de la même année dans la décennie par exemple pour la crise de 1929 les années possibles de sa répétition sont :1939,49,59,69,79,89,99,2009,2019,2029,etc. jusqu’à la répétition de tous ses constituants et de leur annulation.
Je relève les expressions suivantes :
3/ « Le jugement de la Cour reflète le climat politique nationaliste et post-Bismarckien en cours à Berlin. » dynamique de la répétition.
4/ « Egalement dans le Financial Times, visiblement un repaire d’agents dormants que l’on vient de réactiver, » dynamque de la répétition.
5/ » qui pourra être plus tard reconnu comme prémonitoire. « Quand la reprise va-t-elle intervenir ? Jamais », annonce-t-il d’entrée de jeu. Il explique ensuite que la reprise ne peut pas intervenir, car cela signifierait que les choses peuvent redevenir comme avant le crash. « Aussi, au lieu de se demander quand la reprise va commencer, nous devrions nous demander quand la nouvelle économie débutera. » .Nous assistons à la prise de conscience du phénomène de la répétition et de l’annulation inéluctable de la situation initiale , la crise de 1929 et le début d’une nouvelle situation initiale , qualifiée ici de « nouvelle économie » qui « débutera » et qui a débuté avec tous les efforts entrepris jusqu’ici pour réguler la crise mais il faut des experts pour distinguer les faits répétés qui relèvent de la crise de 1929 de ceux qui sont vraiment nouveaux et dont la répétition est ainsi programmée dans ce vieil ordinateur infaillible que constitue notre univers .Les agents ont la capacité d’être à la fois actifs pour les situations initiales qu’ils vivent et passifs pour les répétitions qu’ils subissent comme un dédoublement de notre personnalité.
6/ » il rappelle comment l’administration américaine avait finalement pris le taureau par les cornes, à la suite de la crise de 1929, en faisant adopter en 1934 le Security Exchange Act, qui réglementait le marché secondaire des valeurs », nous sommes en plein dans la répétition et le retour des événements de la situation initiale à savoir la crise de 1929.
La synthèse, difficile à accepter, c’est que ce puits événementiel a une profondeur de 16 ans, de 2009 à 2025 l’équivalent de 1929 à 1945.Le vertige qui fait perdre conscience et la maîtrise des choses n’a heureusement duré que 4 ans et il ne reste plus que 3 ans à revivre ce chaos .La symétrie ou la répétition n’est pas forcément néfaste. Elle fonctionne comme un équilibre naturel ou une balance événementielle qui vient équilibrer, purifier et annuler définitivement les éléments constitutifs de la situation initiale , ni plus ni moins avec une extrême précision.
Cordialement Mohammed Hifad. (blog :hifadmed.blogspot.com )