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Je vous fais part de cette correspondance

Publie le jeudi 18 février 2010 par Open-Publishing
8 commentaires

Cher Pierrot,

J’ai eu connaissance de ta correspondance avec Augustin.
Ce n’est pas l’effet d’une indiscrétion mais de l’amitié que nous te portons.

Apprendre, comprendre, c’est « se dire que… ». Ce que tu te dis par rapports à mes écrits montre que tu commences à comprendre ce que je voulais dire.
Mais méfie-toi ; temps de travail moyen socialement nécessaire, baisse tendancielle du taux de profit, c’est une étude de ma part du capitalisme anglais du XIX°. Ensuite, l’organisation de ton cerveau, ses processus et ceux qui étaient les miens, est différente et donc tes capacités aussi. Ce n’est pas offensant que de dire cela. Cela est vrai pour toi en tant qu’individu mais aussi c’est vrai pour la capacité de perception du moment, de votre moment historique, ce qui ajoute à ta propre difficulté : l’apparence des choses voile encore plus la réalité, à la mesure de la puissance des moyens techniques employés. La réalité elle-même est plus touffue, plus complexe, son unité moins évidente, votre intégration au système plus prégnante.

Tu as vu, je crois, que malgré la spécificité de mon étude, les prévisions concernant le développement du capitalisme, la poursuite de sa mondialisation et ses effets sur les salaires, la survaleur, la surpopulation relative se sont confirmées ; spécificité concernant les différences relatives de situations sociale, économique, politique, idéelle ; malgré le différences « tout court ».

Tu crains d’être quelquefois une « mouche du coche » par rapport à tes commentaires sur mon travail et celui d’Yves S. Pour éviter cela, il te faut plus de sens de la mesure, plus de patience, sans perdre ta spontanéité. D’ailleurs il faut que tu considères que mes écrits sont une « réflexion à haute voix ». C’est pour cela que je n’ai pas corrigé mes textes précédents au fur et à mesure, à l’exception du livre I du capital pour l’édition française en particulier. Je n’avais pas le temps de le faire et ce n’est pas mon caractère de refaire sans cesse exactement le même chemin, cela me provoque un ennui profond, du moins au départ et dans l’idée de le faire. Mais il est vrai qu’une fois commencé un travail de correction, on peut créer aussi du nouveau. Cette réflexion « à haute voix » par l’écriture « à plume déliée », me permettait de reprendre un raisonnement dans sa totalité afin de ne pas reproduire les mêmes insuffisances, ou plus, les mêmes erreurs, le dé-normaliser, le re-normaliser, à chaque nouvelle rédaction. Mais finalement, sur l’essentiel, je me suis retrouvé avec moi-même et avec une poursuite des concepts au point où je les avais ébauchés ou laissé à l’étape précédente, et des généralisations abstraites à reformuler.

Cher Pierrot, ne te prends pas au sérieux mais travaille sérieusement. Mets un peu d’humour dans ta cuisine intellectuelle, et tout ira bien, ou du moins le mieux possible, pour toi et pour les autres. N’oublie pas que toi-même, comme Augustin et moi-même, nous ne sommes que les héritiers de ce que nous avons à transformer et que nous devons prendre soin de ne pas nous approprier un héritage qui appartient à tous, ni de le gaspiller au détriment des générations futures. Transformer n’est pas détruire. Le mal n’existe pas en soi, la tendance à le croire est notre plus grande difficulté et notre plus grand ennemi pour survivre aux nécessités.

Ton idée de m’associer à Schubert me plait. Pour faire une caricature à la Daumier, Beethoven ce serait la violence et la tendresse, Schubert la puissance et la douceur. Je crois que tout ça m’a manqué un peu aussi, bien que je ne puisse pas dire que j’aie manqué ni de puissance ni de tendresse. Ton aspiration au « Schubertisme », c’est une demande de plus grande maîtrise de soi-même, essaie d’y répondre.

J’étais bien un produit de la révolution bourgeoise, française en particulier ; ceci dans une Allemagne en retard sur ce mouvement et qui puisait dans la recherche l’énergie qu’elle ne pouvait pas mettre dans la « transformation immédiate ». Cette forme de pensée, j’en ai trouvé avec Friedrich un champ d’application idéal en Angleterre avec le capitalisme et le développement des forces productives les plus avancées en quantité. Mais mon intuition me disait, nous disait, que le champ « vierge » de la population immigrée de l’Amérique du Nord allait donner des possibilités incroyablement plus vastes, ce qui s’est produit. Cependant, plus le capital se développe rapidement, plus il développe ses contradictions et les met en œuvre dans l’ensemble du globe et de l’humanité.

Cher Pierrot, je te souhaite d’être entendu, modestement, sans orgueil ni médiatisation à la mode. C’est ainsi que tu seras le plus heureux et le plus utile, dans ton petit travail et le déroulement de tes jours.

Je t’adresse mes amitiés et mes encouragements. Embrasse Chiara et tes enfants de notre part.

Karl, Londres, le 5 février 2008

Messages

    • Et alors,

      et alors,

      et alors.....

      Roberto Ferrario est arrivé hé hé

      sans s’presser hé hé......

    • Pierre Assante ne confondrait-il pas BELLACIAO avec l’émission TV de Mireille Dumas : "Vie privée, vie publique" ???

      Jak

    • Pierre n’a pas aime que je lui pose une question sur son article ici et la, fait ca petite vengeance a deux balles essaient de pollue le site avec des lettres personnel sans que on peux comprend le but (ou on le comprend trop bien...), et bien je re-publie la question... que n’a pas encore répondu...


      J’ai relu ta contribution du 17 décembre 2007 a propos de la "Question de démocratie" et je un doute... je ne comprend pas bien se que tu veux dire... Je l’impression que tu passe un énorme coup d’éponge historique pour lave le parti de tout soupçon stalinien, tu arrive carrément a "présenté" le PCF comme une "victime" des soviétique.... Et en plus tu le compare au PC italien... alors la tu a fait fort...

      Est que tu fait un blague ou tu essaie de faire du "révisionnisme historique" ?

      Roberto Ferrario


      Question de démocratie :
      Contribution de Pierre Assante

      Section du 8ème arr. de Marseille

      17 décembre 2007

      Faisons court.

      Pour répondre à des questions encore fréquentes aujourd’hui, y compris dans l’assemblée des secrétaires de section du 8 et 9 décembre : qu’est-ce qui caractérise le stalinisme ?

      Un conception déterministe de l’histoire accompagnée, paradoxalement, d’une « fin justifie les moyens » destinée à atteindre les fins « déterminées » et justifiant souvent d’autres ambitions. D’où les goulags puis les hôpitaux psychiatriques. Mettons toutefois en mémoire, et en face, les morts et destructions des guerres impérialistes, celles des politiques colonialistes, celles des répressions ouvrières et le gaspillage monumental du travail et des forces humaines en France et dans le monde aujourd’hui, que nous devrions soumettre à l’évaluation de nos concitoyens.

      Le PCF a-t-il été stalinien ?

      Tous les historiens objectifs, (De Gaule y compris, pour l’anecdote) diront que la marque première de ses choix politiques reposent sur l’humanisme, la démocratie, le poids de sa participations aux institutions pour faire peser des orientations de classe dans les politiques nationales, communales, et la combinaison de l’action dans les institutions et l’action de masse.

      Ce qui ne veut pas dire que « la fin justifie les moyens », ou à l’opposé l’illusion d’un « effet automatique et plus grand qu’en réalité de la participation aux institutions » n’aient pas marqué des moments importants de la politique du PCF. Par exemple dans une centralisation non démocratique, excessive (mais pas systématique) des décisions, plutôt qu’une cohérence basé sur le "rassemblement" des observations et des initiatives.

      Les critiques officielles ou officieuses des soviétiques dans la période stalinienne et Brejnévienne sur « la mollesse » du parti communiste français témoigne de la différence du PCF comme d’autres partis communistes, le parti italien par exemple.

      A contrario, les « réformes internes » du PCF ont plus porté sur une dissolution des principes et du vocabulaire contesté que sur une reconstruction critique (2).

      Le léninisme est-il stalinien ?

      Pour Lénine, comme pour Trotski, mais avec des analyses différentes (1), il n’y a pas une conception déterministe de l’histoire ni « une fin justifie les moyens ». Il y a un énorme affrontement déjà mondial de forces humaines s’opposant dans les idées et les faits, affrontement dans lesquels il faut faire des choix et prendre des décisions d’action, violente y compris, par nécessité quand cela le demande et non par principe.

      Nous avons eu la chance en Europe (en général), au moment du Front Populaire de 1936, puis depuis l’après guerre de 39-45, de bénéficier des retombées crées par le rapport de forces des ces monstrueuses batailles. Préserver la démocratie et la paix aujourd’hui passe par la défense de ce rapport de forces bien mis à mal par la chute des « pays de l’Est », l’adaptation du capital à la mondialisation informationnelle, le recul de l’analyse marxiste, l’intégration des élites scientifiques et gestionnaires à la « politique de l’actionnariat, de la bourse des valeurs, des grandes féodalités financières qui se partagent et privatisent le monde ».

      Mais la défense de la démocratie ne peut se contenter du maintien des institutions démocratiques en l’état. Qui n’avance pas recule. La démocratie du travail, du droit du travail, du pouvoir des producteurs sur le « que produire et comment produire », peut seule répondre à un élargissement de la démocratie et répondre aux attaques mortelles qu’elle subit aujourd’hui.

      Pierre Assante, 17 décembre 2007

      (1) relire par exemple, « matérialisme et empiriocriticisme » ou les « cahiers philosophiques » d’Oulianov, tomes 14 et 38.

      (2) La critique constructive d’un Henri Lefebvre par exemple est hélas restée dans le silence et les oubliettes, particulièrement après les évènements de 1968 et dans la période des années 70, après le départ de Waldeck Rochet, et leur suite, les années 90 de la chute des « pays socialistes » et de la reprise en mains du rapport de force aboutissant pour nous, aujourd’hui au sarkozisme.

      http://www.bdr13.pcf.fr/Contribution-de-Pierre-Assante,5333.html

  • Même avec de l’humour...(ça aurait pu en effet être drôle et l’idée est intéressante), compte tenu du dernier échange suite à votre "appel pour le FDG", tout ceci devient confus et brumeux.

    Ce n’est même pas tant ce texte dont bcp ont du mal à comprendre ce que vous avez voulu en faire, c’est plutôt, je cite votre commentaire sous cet article : "Et alors, Roberto est arrivé sans se presser".

    On dirait que vous cherchez à vous faire "sortir" de ce site en allant chatouiller un peu bêtement et puérilement un des administrateurs qui vous a mis, me semble t il , sur un autre sujet ( celui des élections) en difficulté politique. Quel est le but ?

    Je vais avancer une hypothèse.

    Vous savez parfaitement ce qui va se passer si vous continuez sur cette voie de la provocation gratuite et du non débat politique. Vous allez en effet finir par vous faire interdire d’IP (c’est la règle depuis des années, ce n’est pas nouveau, vous la connaissez assez bien, on ne se laisse pas enquiquiner par des gens qui ne veulent pas du tout discuter mais qui manipulent et veulent au fond seulement se payer une tranche d’untel ou untel). Vous pourrez donc ensuite crier au complot, à la censure, etc. Comme quelques petits malins l’ont fait avant vous (et d’autres le feront encore).

    C’est un peu inélégant et assez grossier (je vous rappelle que la propagande électoraliste est refusée sur ce site depuis un bon moment notamment en période électorale, que ce soit pour le FDG, le PC, le NPA ou tartempion SAUF si le collectif a décidé ouvertement et publiquement de soutenir tel ou tel projet ou candidat, ce qiu n’a pas été le cas pour les européennes, et ne le sera pas non plus pour les régionales, par exemple).

    Si vous ne voulez pas vous couvrir publiquement de ridicule, revenez à la raison, arrêtez de titiller les mb du collectif et les administrateurs du forum avec des petites phrases du genre de celle que vous venez de publier, et argumentez politiquement vos choix de publication, par exemple, celui-ci.

    La porte est ouverte au débat. Au débat politique, de fond.

    Donc, je repose la question posée plus haut : QUELLE EST LA SIGNIFICATION DE CE TEXTE et QUELLE EST LA SIGNIFICATION DE CETTE PUBLICATION ?

    Eclairez nous si vous voulez vraiment débattre.

    • Compte tenu des excès de langage que l’on lit souvent, je ne crois pas que ma petite plaisanterie ait une telle proportion. Elle répondait à un ton qui me semblait être du même ordre. Je m’en excuse mais il est dommage d’aboutir à de telles incompréhesions et incommunicabilité entre personnes.

      Et quand à ma lettre fictive de Marx à moi-même, elle ne dit que ce qu’elle veut dire, sans arrière pensée, c’est à dire la difficulté pour les sens humains de saisir une totalité, la difficulté et les réussites qu’en a éprouvé Marx dans tous les domaines, y compris celui de l’art, et la différence de perception de son époque à la notre.

      Si j’en fais le commentaire je ne pourrais que redire les mêmes choses, idem pour les articles cités.

      Voilà.

      Soyez gentil de me préciser les statuts de Bellaciao, en particulier les sujets à traiter.
      Je comprends très bien qu’un collectif ait le droit de décider de ses propres orientations.

      Je ne suis pas un militant de la plume. J’écris et je suis souvent devant les entreprises en particulier celles dont on licencie des travailleurs, et dans les assemblées de salariés, et je sais respecter leurs opinions, ce qui est une des raisons qui m’emmène à soutenir ce qu’il y a de commun, autonomement de mes propres analyses. Ceci depuis mes 16 ans où je me suis engagé dans le comité anti fasciste de mon Lycée et depuis mes 17 ans où j’ai commencé à travailler entre autre comme métallo à 60 heures par semaine (10 h par jour, samedi compris) puis plus tard comme personnel de service à statut public. J’ai 66 ans et j’espère dans la jeunesse. Mais je lui dis aussi ce que je pense quand elle m’en donne l’occasion.

      Mon site vous dira mieux qui je suis.

      Pierre

      http://pierre-assante.monsite.wanadoo.fr/

    • C’est impressionnant la "mauvais foi" juste deux commentaire avant le tien, je essaie d’avoir une discussion politique a propos de l’histoire que tu present du PCF, chose que je "ose" te demande dans un autre article et que encore une foi tu évite de repondre....

      La tu publie un long commentaire pour nous explique que en réalité l’article (la fausse lettre comme si on a pas compris, très infantile pffff....) est une fausse lettre de Karl Marx écrite et soit disant adresse a toi même...

      Tu a écrit plein d’article sur le diffèrent support médiatique du PCF et tu viens dans un pratique extrêmement rode, enseignée dans "les écoles du parti d’époque" a te présenté comme un humble contributeur précisant que tu ne pas "un militant de la plume", très bien, mais alors pourquoi pas un seul mot de réponse a ma question, sur ton point de vue sur le passé "non stalinien du parti", pourtant ta contribution au débat sur la "Question de démocratie : Contribution de Pierre Assante Section du 8ème arr. de Marseille du 17 décembre 2007" est loin d’être mal écrite ???

      Mais finalement on comprendre très bien ton "rôle" sur notre site, rient de "original ou nouveau" on n’a vu bien d’autres appliqué les mêmes méthodes :

       dans une premier phase, se faire remarque le plus possible, remplir le site des commentaires et d’articles "consensuel" pour s’attire des sympathies...

       dans une deuxièmement phase, accélérer le rythme avec des article bien "mois consensuel" se dévoilant avec des provocations manifeste pour avoir les réponses adéquates...

       troisième phase, se faire passe pour une pauvre victime des méchant "modérateur"...

       touche et phase final, le fameux "attrape-gogo" que passe par une déclaration classique :

      "et bien madame et monsieur, bellaciao ne pas un site "démocratique"... voila la solution, laisse tombe cet site anticommuniste viscérale et venez chez moi"...

      Parfait Pierre on a enregistre le message et on te soute sincèrement une bonne route... sur ton site personne ou on peux remarqué que a part toi même personne peux publié ni articles ni commentaires librement, pas de problème... c’est ton propre concept de la démocratie...

      On est oblige de constate que notre chemin, comme tu la décidé toi même, se sépare de aujourd’hui...

      Ciao

      RF

    • Ceci depuis mes 16 ans où je me suis engagé dans le comité anti fasciste de mon Lycée et depuis mes 17 ans où j’ai commencé à travailler entre autre comme métallo à 60 heures par semaine (10 h par jour, samedi compris) puis plus tard comme personnel de service à statut public. J’ai 66 ans et j’espère dans la jeunesse. Mais je lui dis aussi ce que je pense quand elle m’en donne l’occasion.

      Pourquoi les gens mis en difficultés sur des sujets politiques se croient-ils obligés d’étaler leur vie, leur pedigree etc ?!

      Vous voulez qu’on dise quoi M Assante ? Rien, parce que vous seriez un ouvrier ? Que vous avez du fait de l’accident de votre naissance une "grande antériorité" communiste ou PCF disons ?

      Tout ce ci c’est supposé quoi ? Vous mettre à l’abri de la critique dialectique , politique, sur le choix que vous avez fait de soutenir ouvertement le Front de gauche avec des arguments d’une médiocrité inqualifiable ?

      Je m’en fous complètement moi de la diversion que vous avez voulu créer avec ce courrier de Marx fictif.

      Je vais vous dire, je m’en fiche aussi que vous ayez 66 ans ou 35 ans. Ce qui compte c’est que si vous avez trente ans de plus que moi vous avez trente d’expériences en plus et donc , quand vous "déraillez", vous êtes encore plus impardonnable.

      Je prends en compte le côté de cette expérience, en plus elle existe, mais on peut avoir de l’expérience te ne pas savoir quoi en faire donc si vous réclamez de nous la politesse bourgeoise pour les "vieux" et bien non , pas plus aux "vieux cons" qu’aux "jeunes intelligents" et vice versa, naturellement ("jeune con" - qui finira vieux con-, et vieil intelligent, qui a du naître comme ça ou presque !!).

      Il y en a d’autres ici qui ont votre âge et ont quand même fini par ouvrir les yeux, M. Assante - même après 25 ou 30 ans de PCF ! "Errare humanum est, perseverare diabolicum".

      Ce qui m’intéresse, et j’aimerais qu’on y revienne SÉRIEUSEMENT, c’est COMMENT un type pas trop stupide d’après ce que j’ai vu peut d’une part "oublier" le stalinisme et le néo -stalinisme du PCF et d’autre part, soutenir le Front de gauche (les deux vont ensemble en revanche ça j’en ai bien conscience)

      A la place de ça vous nous répondez des trucs inintéressants, pseudo-métaphysiques sur la difficulté de l’analyse, blabliblabla, toutes choses que nous savons et dont nous convenons.

      Là n’est PAS LE DEBAT.

      Donc, pourriez vous arrêter de nous prendre pour des truffes et nous expliquer votre choix politique puisque vous avez jugé utile de venir faire votre petit caca propagandiste sur ce site (dont il n’a pas pu vous échapper un seul instant que le "Front de gauche" n’était carrément pas sa tasse de thé et que la basse propagande électoraliste n’avait pas sa place...) ?

      Vos états d’âme et vos extrapolations métaphysiques, ça ne m’intéresse plus depuis quelques jours.

      Ce qui m’intéresse c’est pourquoi vous soutenez le Front de gauche ?

      Merci.

      LL