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Le Capitalisme, une société pourrie à supprimer ....
Publie le vendredi 21 janvier 2011 par Open-Publishing15 commentaires
Avec cette crise du capitalisme financier mondialisé les tares effroyables de ce système économique produisent des drames humains insupportables .
Avec ce système nous avons connu les guerres les plus sanguinaires de l’humanité ,des guerres civiles cruelles et impitoyables , des coups d’état sans nombre , des massacres injustifiables , des grèves ouvrières réprimées sauvagement et bien d’autres forfaitures indignes . Et tout cela au nom du Profit maximum des propriétaires de moyens de production et d’échanges et des actionnaires assoiffés d’argent . Cela a été supporté par les peuples au moyen de luttes innombrables pour arracher à ce système la fin de l’esclavage et dans de nombreux pays un "semblant" de démocratie par un jeu électoral aux mains des bourgeoisies locales et de leurs valets politiciens.
Les peuples ont fait preuve de patience , manipulés par des médias aux mains des potentats , manipulés par un anticommunisme perfide encouragé par des attitudes inacceptables de dirigeants dit communistes au pouvoir dans certaines régions du globe . Le système capitaliste en action depuis la fin du 17ème siècle arrive aujourd’hui dans sa phase finale face à 7 milliards d’individus en 2011 et bientôt 9 milliards en 2020-25 . Il ne peut répondre aux besoins sociaux et économiques de l’humanité et la caste qui en profite dans tous les pays du monde n’a plus aucune autorité et ne se maintient au pouvoir que par la passivité momentanée des peuples qui attendent le moment adéquat pour se révolter . La "surprise" tunisienne en est le premier sursaut en ce 21ème siècle qui devrait voir le système capitaliste exploser avec sa caste d’exploiteurs.
Cette société "pourrie" n’offre plus d’avenir aux nouvelles générations instruites , cette société pourrie développe sur sa crise les délinquances de toutes sortes qui fragilisent une partie de la jeunesse dans la drogue , dans le terrorisme aveugle Kamikaze , dans le suicide dépressif par manque d’avenir . Tous les privilégiés des multinationales aux revenus exorbitants ne sont que des rapaces sans foi ni loi , de même que les banquiers qui spéculent sur les matières premières , les produits financiers , les dettes souveraines des pays les plus faibles . Ce système prédateur mafieux exploite toutes les faiblesses humaines : sexe , violence gratuite , trafics de tous ordres dans l’armement et les devises , la copie des brevets et la corruption, le trafic d’organes humains et la torture , j’en passe et des meilleurs ...
Le système capitaliste doit être supprimé par les peuples pour que nous retrouvions une dignité respectueuse de tous les êtres humains , que nous mettions en chantier la véritable liberté et une fraternité réelle entre nous . Tous les camarades révolutionnaires progressistes qui ont donné leur vie pour cet idéal ne peuvent être oubliés dans cette magnifique saga de l’évolution de l’humanité , leur sang versé nourrit notre combat pour abattre le capitalisme sous toutes ses formes . Le confort petit-bourgeois que certains d’entre nous ont acquis ne nous inféode pas à ce système , au contraire nous devons renforcer notre aide aux peuples affamés par les multinationales en prenant le contrôle de ces entreprises au service de tous . Renverser les pouvoirs politiques serviles des pays capitalistes les plus développés comme en France ou aux Etats-Unis .
Aujourd’hui tout devient possible en mobilisant le peuple malgré les médias comme en Tunisie .
Ce rêve de supprimer le Capitalisme "pourrie" jusqu’à la moelle n’est plus une utopie , il est inscrit dans la logique actuelle de l’histoire que nous voyons se dérouler sous nos yeux , avec bien entendu encore bien du sang versé malheureusement . Essayons par nos actions et notre intelligence d’en limiter le nombre , nous avons besoin de tous pour construire la nouvelle société qui succèdera à cette société "pourrie" .
bernard SARTON , section d’Aubagne
Messages
1. Le Capitalisme, une société pourrie à supprimer ...., 21 janvier 2011, 18:59
Dans un pays ou plus de la moitié de la population gagne moins de 1500 euro net et 80% moins de 2000 euros, la baisse continue du pouvoir d’achat est une mauvaise nouvelle, car 70% de la richesse nationale dépend de la consommation. Mais on dirait que les actionnaires, les financiers et le gouvernement n’en ont cure. Ils sont en train de nous jouer une version de « prends l’oseille et tires toi ». Ce qu’il adviendra après n’est pas leur problème, pour l’instant ils se remplissent les poches !
Voir l’article "c’est comme vous voulez" sur....
http://2ccr.unblog.fr
1. Le Capitalisme, une société pourrie à supprimer ...., 22 janvier 2011, 12:20, par Don Diego de la Vega
C’est le paradoxe du capitalisme, et c’est là qu’il nous montre que "la main invisible du marché" n’est pas si intelligente qu’on le dit. Mais il y a quand même un semblant d’adaptation des marchés à la pauvreté programmée : la multiplication des supermarché low-cost, des bagnoles low-cost (pas tant que ça), du high-tech accessible (car fabriqsué dans les pays émergents), des cash-converters et autres revendeurs de marchandise de seconde main, en sont des exemples. Le crédit usuraire en est un autre. Ainsi maintient-on les plus pauvres dans le circuit marchand. Que demande le peuple, à part consommer ? Le surendettement galopant nous le démontre. Le peu d’intérêt pour les thèses décroissantes plus encore. Chacun exige son dû. Je consomme donc je suis.
2. Le Capitalisme, une société pourrie à supprimer ...., 21 janvier 2011, 20:56, par PAT
bernard SARTON , section d’Aubagne
section de quoi ?......
3. Le Capitalisme, une société pourrie à supprimer ...., 21 janvier 2011, 22:50, par guetteur des rues
Nous sommes d’accord bien sûr qu’il faut abolir le capitalisme qui n’est pas un système mais précisément l’absence d’un système , une sorte de loi de la jungle où tout est autorisé pour s’emparer de la richesse et du travail des autre pour en vivre grassement sans rien faire , mais voilà , ce changement que moi je qualifierais d’évolution positive de la pensée des hommes ne peut se décréter .
On ne peut que le construire jour après jour en tenant compte de nos différences de cultures , de positions géographiques , de nos disponibilités matérielles , bref c’est une entreprise de longue haleine qui commence par l’éducation , et l’éducation la plus libre possible , pas l’endoctrinement qui ne mène qu’à la dictature des idées .
Une révolution qui ne serait accomplie que par la force serait ( a été ) condamnée d’avance .
La situation actuelle a ceci de très dangereux à mon sens que devant l’impuissance du capitalisme à satisfaire les masses en révolte il n’a jamais d’autres recours que la guerre qui a ce pouvoir de ’’ remettre les compteurs à zéro ’’ avec une reconstruction derrière qui fait repartir ....le capitalisme devenu encore plus fort encore .
La construction de sociétés ’’ socialistes ’’ est un projet enthousiasmant mais dont les aboutissants ne sont pas à échelle de la vie d’un homme , sauf à considérer que les pays communistes auraient déjà atteint le but , ce que je me refuse à penser par esprit d’observation et de cohérence .
1. Le Capitalisme, une société pourrie à supprimer ...., 22 janvier 2011, 06:35, par Don Diego de la Vega
Où as-tu vu que les masses sont en révolte ? Les masses, elles font la queue dans les hypers, elles prennent des crédits pour changer de bagnole, elle inondent les autoroutes l’été venu et elles gueulent lorsqu’il y a grève parce que ça les empêche d’aller bosser, faire leurs commissions et partir en week-end. Même dans les cités pourries il n’y a plus de révolte. Les petits arrangements y sont bien plus efficaces. Les masses en révolte fabriquent des gosses à tour de crampe quand elles n’ont pas les moyens de consommer, pour palper les allocs-survie et utiliser leurs mouflets, le cas échéant, comme boucliers humains face aux opressions administratives.
Car si tu ouvres grand tes yeux et tes oreilles tu comprendras que le véritable ennemi aux yeux du bon peuple ce n’est pas le MEDEF, ce n’est pas le CAC40, ce ne sont pas les banques, ce n’est pas l’argent ni le Capital. Non, c’est le fonctionnaire l’ennemi juré, l’exécutant aveugle et sourd des lois pourries, c’est l’Administration et son arbitraire, la bureaucratie et ses pesanteurs, la CAF et ses flicaillons, Pôle-Emploi et ses flics de l’insertion, la SECU et ses flics du médoc....
Si les masses étaient, comme tu le penses, en révolte, cela se traduirait déjà par une désertion massive des isoloirs et, en seconde analyse, par une explosion des économies souterraines. Ensuite, nos nuits ressembleraient fichtrement aux nuits corses. Des banques seraient plastiquées. Les agences immobilières, les bureaux d’assureurs pèteraient par centaines. Commissariats piégés, casernes de gendarmerie laminées au tir de mortier, hypermarchés pillés, programmes immobiliers détruits au Semtex à la veille de la remise des clés.
Mais il n’en est rien. Les masses en révolte se félicitent de la pose des caméras de flicage qui permettront d’identifier les gangs de zyvas qui brûlent les bagnoles des prolos.
Cela dit je te rejoint. Le capitalisme c’est ce qui reste quand on a tout foiré du seul fait de la nature humaine. Mais il n’y aura pas de guerre, du moins chez nous en Occident, car après, il n’y aurait plus rien à reconstruire par quiconque. Notre mode de vie nous a rendus inaptes au maquis. Une guerre éclaterait, elle laisserait des épaves prostrées qui ne se relèveraient pas et chercheraient secours dans la came. Les résistants de jadis, les survivants à la déportation étaient d’une autre trempe. Et puis quelle guerre à faire contre quel ennemi ? On ne lutte pas contre la nature humaine. On s’en accommode à sa façon, pour soi.
2. Le Capitalisme, une société pourrie à supprimer ...., 22 janvier 2011, 09:30, par guetteur des rues
Je suis persuadé qu’on dit la même chose de façon différente et ton analyse me convient .
Pour ce qui est des masses je faisais allusion aux émeutes qui se déclarent un peu partout à la fois et ce n’est pas un hasard .
Et je dis que la seule issue est le changement en profondeur , mais bien avant , comme tu les soulignes , il faudrait une prise de conscience , ce qui est rarement le cas . Il y a quelques ’’ intellos’’qui ne sont pas connus pour avoir un parcours révolutionnaire et qui sont surpris de cette anesthésie générale , au point qu’ils éprouvent le besoin de publier des petits livres qui incitent les gens , non pas à se révolter mais à s’idingner !!!
C’est à dire qu’on est bien bas là , les révolutions de conscience sont encore hors de vue ...
3. Le Capitalisme, une société pourrie à supprimer ...., 22 janvier 2011, 12:03, par Don Diego de la Vega
Les émeutes qui éclatent ici et là sont des émeutes de la faim (les cités, c’est autre chose qui a plus à voir avec déchaînement, défoulement, affirmation d’une identité qu’avec un quelconque objectif politique). Quand l’homme a faim, il redevient un chasseur. Les pouvoirs le savent bien.
D’où la bienveillance qu’ils accordent à des initiatives telles que les "Restaus du coeur", celle-ci, la plus médiatique, étant soutenue par le show-biz, diffuseur de ces neuroleptiques de masse que sont la vériété, le cinéma, le sport. Les Restaus sont une parade efficace contre les émeutes de la faim. Rien d’innocent dans l’humanitaire. Que de la participation détournée au système dominant.
On n’en finira jamais avec le capitalisme car force est de constater que toutes les alternatives ont échoué, et qu’aucune autre se profile. En finir avec le capitalisme me paraît d’ailleurs aussi mégalo que de prétendre à faire se lever le soleil à l’ouest. C’est contre la pauvreté de masse et sa programmation qu’il conviendrait de lutter sur le terrain, dans le réel, avec les armes du marxisme. Et créer par là des démonstrations qui auraient valeur de référence dans le sens d’un projet de société. Je citerais pour exemple des créations ou reprises d’entreprises sur un modèle de type mutualiste dont le projet serait de créer du revenu pour ses salariés, ou encore une gestion locative du même type à l’intention des populations sans domicile et mal logées, en milieu rural et péri-urbain. Ou encore faire revivre des régions désertées en salariant l’installation d’ouvriers, de paysans, d’artistes, de familles pour y faire fonctionner PME, artisanat, agriculture bio, création et écoles sur un modèle communautaire. Ainsi seraient fournis des exemples concrets de ce que pourrait être une organisation sociale telles que nous la rêvons.
Dommage que les marxistes et autres communistes préfèrent en rester à leur confortable logique d’appareil, véritable répulsif vu de l’extérieur, et qu’ils privilégient le débat, les réunions et la palabre sans issue à la mise en actes de leurs convictions.
Merci en tout cas de ce débat, passionnant même s’il ne fait rien avancer.
4. Le Capitalisme, une société pourrie à supprimer ...., 22 janvier 2011, 13:54, par Ferenc
Est-ce pour autant qu’il faille se résigner et tout accepter ?
Je pense qu’il faut justement faire un travail de pédagogie en faveur des "masses". Travail titanesque certes, mais indispensable, si l’on veut que les masses retrouvent leur conscience de classe.
Chacun peut s’y mettre en réveillant un petit nombre de personnes.
5. Le Capitalisme, une société pourrie à supprimer ...., 22 janvier 2011, 16:43, par guetteur des rues
Je ne souscris pas à ce constat même si j’en comprend le sens .
Que la capitalisme soit une domination de l’autre est une évidence , que cela relève de la nature intrinsèques des hommes dès qu’ils se sont organisés en sociétés , je le crois aussi , que nous soyons condamnés à trimballer cette tare pour l’éternité là je n’y crois pas .
Je n’y crois pas parce que depuis les premiers ages communautaires les pratiques humaines se sont enrichies de cultures .Bien sûr es cultures sont souvent utilisées à des fins guerrières mais les moeurs changent pourtant .
La technologie dont les hommes se sont dotée est un élément multiplicateur incroyable employé pour nuire et guerroyer mais nous avons la possibilité d’inverser le processus ’’ naturel ’’ de nuisance de l’espèce .
Comme le disait Moitessier , ce beatnik : « les hommes ont eu un flash , un grand flash , ils ont compris qu’ils comprenaient , à présent il leur faut comprendre qu’il faut mettre cette connaissance en pratique ... »
Non le capitalisme ne disparaitra pas d’un coup , oui il n’est qu’illusoire et absolument irréaliste de penser qu’on peut l’abolir par des révolutions autres que mentales , et ces révolutions mentales demandent bien des générations pour cheminer et donner des effets .
Il ne faut pas les abandonner pour autant , les idées cheminent sur des siècles mais elles émergent toujours , ensuite il reste à espérer que nous serons encore vivants , ce que nombre de scientifiques éclairés sur les moyens technologiques mettent en doute , tel Stephan Hawkin pour qui la probabilité que l’espèce s’anéantisse est bien plus grande que celle qui la ferait sortir du moyen-âge mental .
6. Le Capitalisme, une société pourrie à supprimer ...., 22 janvier 2011, 17:17, par Don Diego de la Vega
Le capitalisme a pour ainsi dire commencé au Néolithique, quand certaines tribus jusqu’alors nomades ont décidé de se fixer pour s’adonner à l’élevage et à une agriculture sommaire, et pour ce faire ont érigé des habitats "en dur" qu’ils ont ceints de clôtures ou de murs de pierres sèches. C’est là qu’ont commencé les conflits de territorialité. Ceux qui étaient à l’extérieur, et qui étaient restés nomades, cherchaient aux mauvaises saisons à gagner l’hospitalité de ceux qui étaient installés, et qui les chassaient impitoyablement de leur "chez eux".
La base de la civilisation c’est la territorialité et la thésaurisation : dans ces mêmes habitats néolithiques, existaient des glacières, petits dômes de pierres sèche (ressemblant aux "bories" provençaux) où étaient conservés les vivres. De même accaparait-on les points d’eau pour ses troupeaux et ses gens, en en interdisait-on l’accès à autrui. A l’intérieur de ces communautés agraires, il y avait un chef, des chasseurs, des potiers, celle ou celui qui façonnait vêtements et chaussures, chacun avait un rôle bien défini selon une hiérarchie qui préfigurait bien ce qui succèderait sous les déclinaisons que l’on sait... et ce jusqu’à nos jours.
Que cela ne nous interdise pas pour autant de créer des communautés sur le modèle des kibboutzim israëliens. Mais voilà, si cela a été tenté, bien peu de ces expériences ont abouti. Pourquoi ? Parce que les conditionnements sont là, et qu’il n’est pas facile de s’en défaire. Il ne suffit pas d’y croire, de se dire "ce qui est là est à tout le monde et à personne, au service de tout le monde". Il s’agit de savoir faire vivre l’expérience dans la durée. Et ça, c’est nettement moins facile que cela en a l’air.
4. Le Capitalisme, une société pourrie à supprimer ...., 21 janvier 2011, 22:52, par anonyme
Quand est-ce que les peuples verront clair ? c’est à dire, quand prendrons-nous tous enfin conscience que les malades mentaux ivres de fric actuellement au pouvoir à peu près partout mènent l’humanité à l’abattoir ? L’humanité va-t-elle mourir tuée par l’avidité sans bornes de quelques salauds ? Ça serait trop laid ! "Tuée par le fric", "morte pour que quelques crevures paradent sur des yachts les bras pleins de rollex", non, je ne peux pas me résoudre à ces épitaphes sur la tombe de l’Humanité.
Tuons le capitalisme ou l’humanité va bientôt disparaître dans un flot de sang impensable bordel !!! Ils sont en train de tous nous tuer !!! Pour le fric ! Ils nous crèvent pour leur fric de merde !!! Foutons les en l’air !
5. Le Capitalisme, une société pourrie à supprimer ...., 22 janvier 2011, 22:30, par yapadaxan
La démarche d’AC va dans le sens de ta démarche. Pour venir à bout de cette société, il faut se doter d’un parti (au moins) révolutionnaire. Ce que n’est plus le PCF.
Il reste donc à le créer. Et non plus attendre les unions éléctoralistes des partis qui ont failli. Irrémédiablement.
1. Le Capitalisme, une société pourrie à supprimer ...., 22 janvier 2011, 23:21, par guetteur des rues
Pourquoi d’un parti , c’est vraiment indépassable ce cathéchisme solaire ?
Les gens sont-ils incapables de mener une révolte ou plus sans êtres ’’ dirigés ’’ , bon on va laisser ça à eux qui n’ont jamais dépassés le cadre du parti .
C’est religieux , tu ne peux en tant qu’individu t’émanciper d’une instance , sans responsable pas de révolution , sans chef pas de révolte , etc , bah , lamentable et sans doute freudien ...
C’est gerbant cette déresponsabilisation des hommes au profit d’un Dieu Parti qui supervise tout de leurs vies ...
2. Le Capitalisme, une société pourrie à supprimer ...., 23 janvier 2011, 09:45, par acc
"""Pourquoi d’un parti , c’est vraiment indépassable ce cathéchisme solaire ?
Les gens sont-ils incapables de mener une révolte ou plus sans êtres ’’ dirigés ’’ , bon on va laisser ça à eux qui n’ont jamais dépassés le cadre du parti .
C’est religieux , tu ne peux en tant qu’individu t’émanciper d’une instance , sans responsable pas de révolution , sans chef pas de révolte , etc , bah , lamentable et sans doute freudien ...
C’est gerbant cette déresponsabilisation des hommes au profit d’un Dieu Parti qui supervise tout de leurs vies ...
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C’est parceque je suis responsable,que je suis trés interésse par la constructiuon de mon individualité ,de mon être complet que je suis pour crére et utiliser des outils quimesont nécéssaires et indispensables pur construire ce monde ,et donc abattre celui qui l’empéche,le capitalisme.
ajouter toutes les bonnes volontés cela ne suffit pas,il faut une vision et une action réfléchie et mettre en commun nosreflexion et nos forces en les organisant car en face ilssont bien structurés .
Ca porte lenom de parti de coordinations,de syndicats,de ligue de soviet ,pau importe mais c’est la volonté de se diriger soi,même avec des régles et des structures qui amplifient la force individuelle.
Ca n’a rien de religieux,c’est une émancipation lucide et le résultat d’une reflexion et non d’une croyance.
j’ai besoin pour mutilier ma force d’une arme,jei pas dit d’un chef !
et je ne dis pas non plus de responsable au sens oùtu l’entends,tout lemonde doit être responsable,ça ne vaut pas dire aucune structure de lutte .
ça arrengerait bien le caoital que nous ne nous organisions pas,que nous ne nous dotions pas de "parti" que nous restions atomisés .
Quand on discute politique ,puis quand on décide d’une action,quand on imprime des tracts,quand on chosit un trésorier,quand on décide de voter pour telle ou telle motion,où vois tu qu’on se déresponsabilise ?
pas de parti dieu certes et c’est aux travailleurs de se doter d’orga démocratiques et revolutionnaires.
le coté freudien de la chôse me laisse perplexe,en effet ,le freudisme étant une mythologie que veux tu dire ?
3. Le Capitalisme, une société pourrie à supprimer ...., 23 janvier 2011, 17:18
On commence par la fin : le freudisme en ce qu’il définit la présence d’une autorité indépassable dans l’esprit de l’humain en formation , une instance suprême qui prend le nom de parents , d’instituteurs , de maîtres ( à penser ) de références enracinées ...peut-être l’acceptation du religieux invisible qui plane au dessus quoi , qui fait que l’individu ne peut jamais s’émanciper .
Donc , si j’en crois ce que tu dis le ralliement à une autorité pyramidale avec un chef suprême , un sous chef , un sous-sous chef , une ou dix secrétaires et sous secrétaires , etc , etc voilà qui serait de nature à amplifier le pouvoir d’agir ?
C’est bien pourtant ce qui existe dans les partis capitalistes et donc ça ne marche pas uniquement parce que les chefs seraient pourris ? , voilà un raisonnement réducteur , la réalité est un peu plus complexe et il convient de développer plus avant ...
Peut-être que l’organisation en partis induit ce dysfonctionnement chronique des sociétés , c’est mon avis .Donne un pouvoir à quelqu’un et dis moi comment tu fais pour être garant qu’il n’en fait pas mauvais usage , sachant que les exemples passés des partis communistes sont précisément des contre -exemple !.
Bien évidemment il faudrait être un sot pour ne pas convenir bonnement que ’’ l’union fait la force ’’ , cela deux enfants le constatent lorsqu’ils veulent faire une bêtise , et deux individus adultes lorsqu’il faut la force et la réflexion de plusieurs pour résoudre un problème ou mener à bien un projet . Je suis en phase et c’est élémentaire .
Pourtant , en seulement , disons une semaine , et à l’approche d’élections , on peut constater sur ce site seulement que les gens qui appartiennent à des partis ne font que se déchirer , s’insulter à mots couverts , bref , se haïr joyeusement pour convertir l’un ou l’autre à ses idées et à son club , rameuter , racoler par de fameux arguments totalement ’’ démocrates ’’ .
Le moins que l’on puisse dire c’est que si un quidam est décidé à mener un combat social il sera fort dépourvu pour se faire une idée , les uns préconisant une tendance , les autres une action , bref , la lumière ne vient pas à l’évidence de l’affiliation à une organisation , et c’est un euphémisme là ....
Il y a fort à parier que le dernier bon parleur qui passera le plus près , pour peu qu’il ne dise le contraire de ce que l’on ressent emportera ta voix et le morceau .
Lors , aura-t-on la certitude d’avoir joué le bon cheval , la bonne maison ? Rien , mais absolument rien ne permet d’apporter un raisonnement rationnel qui répondrait à la question ...
En Tunisie , mais ailleurs et depuis des millénaires , les révoltes existent , pour autant , la question demeure : est-ce que les insurgés étaient d’un parti ?
Non , ils étaient divers et en colère contre une injustice et ils n’ont pas eu à se concerter pour agir , la preuve est là .La convergence des idées suffit à agir positivement !
Tu objecteras que le regroupement à une idée est nécessaire pour aller plus avant et je te suivrais , mais je ne vois pas qu’il faille désigner quelqu’un de précis pour mettre en action l’idée dès lors que tout un chacun s’il en a la capacité intellectuelle peut le faire en se reposant sur les autres lorsqu’il est las . De surcroit , ne pas investir un individu d’une responsabilité commune permet de bouter l’écueil de l’abus de pouvoir inhérent à la nature humaine et tant de fois mis en évidence , au PC et dans tous les partis , l’histoire est là , inutile de la nier , ça ne pourrait que susciter le rire ...
Donc je dis qu’un parti c’est ( et pour reprendre S .Guitry ) un parti pris , ça ne garanti pas la pluralité saine ,ça la limite absolument et forcément .
Donc , lorsqu’on fera le bilan , on constatera que l’on a généré des conflits , ce qui est indépassable , mais qu’on aura aussi remplacé un parti par un autre mais qu’on aura dans l’histoire bien délaissé la notion initiale de liberté pour laquelle le combat avait commencé .
Et il faudra recommencer sous huitaine , comme les tunisiens qui se sont révolté sans idée commune mais avec des partis quoi .