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Les Etats français et espagnol ont fait disparaître le militant basque Jon Anza
Publie le samedi 20 juin 2009 par Open-Publishing2 commentaires
Le militant donostiar Jon Anza était réfugié à Ahetze en Pays Basque Nord, après avoir purgé une peine de 21 ans de prison pour appartenance à l’organisation armée ETA. On est sans nouvelle de lui depuis le 18 avril dernier, jour où il a pris le train à Baiona (Bayonne) pour Tolosa (Toulouse). Sa famille imaginait le pire au vu de son militantisme, mais ne privilégiait aucune hypthèse, Jon souffrant de plus d’un cancer qui nécessitait des soins. Il ne s’est présenté à aucun hôpital. Ils ont porté plainte au près du procureur de Baiona, pour demander sa recherche. Celui-ci dit prendre l’affaire "très au sérieux".
Le 18 mai, ETA a fait parvenir un communiqué dans lequel elle affirme n’avoir aucun doute que, comme au temps du GAL, ce sont les Etats français et espagnol qui sont derrière la disparition de Jon. Elle dit qu’il était militant de longue date de l’organisation, et que la police l’a découvert en début d’année par ses empreintes dans une cache, et qu’elle l’aurait occulté. Jon Anza était depuis lors sous surveillance. ETA dit qu’il avait un rendez-vous à Tolosa avec un groupe auquel il devait remettre une somme d’argent. Mais il ne s’est pas présenté à celui-ci, ni à ceux prévus au cas où les jour suivants.
Tout le monde a en mémoire l’époque de la guerre sale des années 70 et 80, les enlèvements de Lasa et Zabala, dont les corps ne furent découverts que des années plus tard, ceux jamais élucidés de Pertur, Naparra et Popo Larre.
En décembre dernier, Juan Mari Mujika, réfugié politique de Donapaleu en Iparralde (Pays Basque Nord), avait dénoncé une séquestration de quelques heures par ce qui semblait être des policiers espagnols.
En août 2008, Alberto Lopez fut torturé pendant cinq jours aux mains de la guardia civil sans que personne n’en sache rien, jusqu’à ce qu’ils le présentent à l’Audiencia Nacional.
Le 28 mai dernier à Bilbo, l’ancien prisonnier politique Lander Fernandez a été retenu, menacé et frappé par des agents de la Ertzaintza (police de la Communauté Autonome Basque), lui demandant de collaborer.
Au vu des ces éléments, et du contexte de répression générale, pour les militants de la gauche abertzale l’hypothèse d’un enlèvement est la plus crédible. Ils ont affirmé qu’ils n’arrêteront pas jusqu’à savoir où est Jon et ce qui lui est arrivé, et demandent aux partis et mouvements sociaux de dénoncer cette situation et demander des comptes aux Etats.
Entretien avec Koldo Anza, frère de Jon
Le Journal du Pays Basque
18/06/2009
"C’est dur à dire » s’excuse presque Koldo Anza. Le frère de Jon Anza ne peut pas s’empêcher de penser qu’avec la disparition de ce dernier, le Pays Basque se trouve devant une nouvelle période de guerre sale contre l’indépendantisme basque. Il affirme que la mobilisation populaire est d’un grand soutien à sa famille et qu’il est utile de maintenir la pression. La manifestation de grande ampleur qui s’est déroulée samedi dernier à Donostia avait pour objectif d’exiger des réponses du Gouvernement français et des partis basques. Koldo Anza encourage les citoyens à se mobiliser pour que soit trouvée une réponse à la demande de sa famille : « Nous voulons savoir ce qui est arrivé à Jon ».
Deux mois se sont écoulés depuis la disparition de Jon. Comment votre famille supporte-t-elle la situation ?
Au début, sa disparition nous a causé une grande anxiété. L’incertitude, ne pas savoir où il était, ne pas savoir ce qui lui était arrivé nous a minés et découragés. Mais nous sommes restés forts et je tiens à dire que c’est en grande partie grâce au soutien que nous ont apporté les membres de notre famille et nos amis.
Depuis la conférence de presse qui annonçait sa disparition, il s’est passé des choses. Plusieurs hypothèses ont été émises mais depuis le communiqué d’ETA, l’une d’elles revient avec force.
Dès le début, nous avons considéré que la disparition de Jon était étrange. Nous avons envisagé toutes les hypothèses. Nous privilégions aujourd’hui celle de l’enlèvement. C’est dur à dire mais je ne peux comprendre sa disparition que de cette manière. Je vois ça comme une nouvelle étape de la guerre sale contre la gauche abertzale.
On a dit que lorsque Jon Anza est sorti de prison, il était harcelé par les FSE.
Jon a quitté Donostia pour fuir la pression policière et être un peu plus tranquille. À la suite du communiqué d’ETA, qui reconnaissait son activité militante, j’ai compris que son objectif et son espoir étaient le rapatriement et la libération des prisonniers politiques basques. Et que c’est pour cela qu’il se battait.
Le communiqué d’ETA donne d’autres informations. Par exemple que la police savait que Jon Anza était militant de l’organisation parce qu’elle avait trouvé ses empreintes.
Certaines hypothèses sont aujourd’hui écartées et pour moi celle de l’enlèvement est la plus probable. Et je le dis parce que les hypothèses doivent être fondées, argumentées, et au jour d’aujourd’hui, le seul argument dont nous disposons est l’information donnée par ETA. C’est donc la thèse la plus valable. Pour moi, il n’a pas eu un accident. Il ne s’est pas suicidé ou quoique ce soit d’autre. Tout cela n’a pas de sens. Plus maintenant.
Lorsque vous êtes allés trouver la police française, comment a-t-elle réagi ?
Je leur ai expliqué que je pensais à un enlèvement, même si notre famille est bien sûr satisfaite que toutes les pistes soient explorées. Et je leur ai dit que selon moi, il fallait chercher du côté du train parce que la seule chose dont nous soyons sûrs, c’est qu’il est monté dans ce train. C’est de là que l’enquête doit démarrer si l’on veut savoir ce qui s’est passé.
La procureure de Bayonne a fait savoir que les vidéos des trains n’étaient pas récupérables
On finit par croire qu’il s’agit peut-être d’un nouvel épisode de guerre sale et que nous ne saurons jamais la vérité. Quand on voit les cas de Pertur, Lasa et Zabala, Naparra... La guerre sale a existé, et elle peut exister encore.
Les médias ont à peine parlé de sa disparition...
J’ai évidemment une image négative des médias. On sait que la pression que peuvent exercer les milieux et les partis politiques peut conduire à prendre une affaire au sérieux. Cette pression n’a pas été faite, il y a un silence imposé. Et je crois que ce silence cache une stratégie obscure.
Et maintenant...
La vérité c’est que je n’ai pas le moindre espoir de le retrouver vivant. Et je doute même qu’on retrouve son corps. Avant, il y avait les gens du GAL, ils avaient des noms et des prénoms. Aujourd’hui cette guerre sale n’a pas de signature.
Que pensez-vous de la manifestation de samedi ?
La mobilisation nous donne la force de tenir et nous croyons qu’elle est totalement nécessaire pour arriver à réaliser notre objectif. Il est très simple : nous voulons savoir où est Jon et ce qui lui est arrivé.
Messages
1. Les Etats français et espagnol ont fait disparaître le militant basque Jon Anza, 22 juin 2009, 20:47, par Paul-Emile CHARLTON
Info / Batasuna et Askatasuna.
Disparition Jon Anza 47 ans Bayonne 18/04/2009.
Info : Trafic organisé et commandité d’êtres humains sur l’Europe de l’Ouest pour le compte du Nouvel Ordre Mondial !!!
( tout sur mon site….voir Boîte à Pandore N°48 )
Il se peut que Jon est été malencontreusement et’ par hasard ‘ une victime de cette saloperie de réseau ? Peu probable.
Mais il se pourrait également que cette disparition soit un enlèvement commandité et exécuté sur ordre….( Comme par exemple les enfants Thirard en France (Ramatuelle) les deux frères et un mois plus tard la soeur, mais aussi Edmond Goubert le directeur du port autonome de Marseille…Un père et dix jours plus tard !son fils en Espagne et idem Italie…) Cela ils savent très bien faire !..(et ils ont les hommes qu’il faut pour le faire, ils ne ratent personne).et pires saloperies encore ( je vous raconterai certaines de leurs dernières combines en France … Tout est au frais au cas ou… ) En ce qui concerne l’ ETA, je ne pense pas qu’ils laissent* faire ces saloperies à leurs flics.( Trop de risques).
J’espère que pour Jon il n’est rien de tout cela.
Avocat (e) de la famille avertie…à suivre…
Dernières disparitions sur votre région :
28/12/08…….. Susana Garcia Vega 31 ans Oviedo Espana
29/12/08……… Joseph Simon 63 ans Verteuil d’Agenais 47
01/01/09………. Sara Sofia Lopes Dos Santos 3 ans Portimao Portugal
01/01/09 ……… Alvaro Bitencourt Neto 16 ans Setubal Portugal
08/02/09………. Chloé Esse 24 ans Setubal Portugal
11/03/09………. Armindo dos Santos Ribeiro 68 ans Vila Real Portugal
24/03/09………. Abdelkader Moukrim 80 ans !!! Burjassot Valence Espana
26/03/09…….. Pedro Matias Sanchez Riesgo 31 ans Gijon Espana
26/03/09 ……… Luis Perez Garcia 86 ans !!! Gijon Espana
18/04/09……….. Jon Anza 47 ans Bayonne 64 France
N’ayant pas récupéré les dates des différentes disparitions européennes, je n’ai pu effectuer pour l’instant l’analyse de ces très récentes disparitions, comme je l’ai fait les années précédentes ( voir Lettre ouverte aux familles…sur site.)
Les Basques, en étant entre les gardes à vues, perquisitions, convocations et prises d’ADN à ma douzième convocation chez les flics, je vous remercie par avance de m’en éviter une treizième…De toute manière à eux j’ai plus rien à leur dire…
Je reste de votre combat, de vos espérances pour Jon et à votre entière disposition.
Paul Emile CHARLTON
Qui est Paul Emile CHARLTON :
* Historique
En 1997, je trouve l’homme (un portugais, mon ancien voisin !) qui a plus que certainement pris la petite Marion WAGON sept ans à Agen (47) France.
Je dépose au SRPJ Toulouse. (Police Judiciaire)
L’inspecteur sur rendez-vous (un corrompu), fort désagréable, me prend la déposition sur un brouillon et ne me fait rien signer ! (Cet enfoiré de flic devait tremper dans les soirées toulousaines de l’affaire du serial killer Patrice Alègre) .
Je continue à m’intéresser discrètement à ce portugais avec qui je buvais l’apéro et qui avait eu une réaction d’une extrême violence au bistrot du village quelques années avant…. tout simplement parce que je lui avais dit que – « je l’avais aperçu la veille en ville » !
Le problème c’est que, où il se trouvait, venait d’avoir lieu une disparition.
Pédigrée remarquable : fausse licence de taxi à Agen, trafiquant de drogue, de meubles, de voitures, de chiens, de machines à sous, (et je le sais maintenant : d’êtres humains.)
Je le savais ces débuts d’années 2000 sur « Le Centre de la France » et « Paris »…
En 2004, je retrouve mon suspect à Guermantes (77), (700 km de chez moi) : ‘Chez les menteurs’ dans le village et très certainement la rue où a disparu la petite Estelle Mouzin 9 ans.
Je parle au téléphone au Portugais et lui tends un piège :
– … « Je cherche………… »
– … « Oui oui c’est moi, j’ai de la famille à… »
– « J’habite à _____ et derrière____ je suis mitoyen avec un….
– « Oui c’est mon frère_______ qui a acheté cette maison… » …
Vite j’appelle la police de Paris (SRPJ Versailles) et la Gendarmerie d’Agen.
Je n’ai jamais vu aucun policier ni aucun gendarme !
Je continu à enquêter …et faxe mes découvertes aux flics et gendarmes (27 pages de fax), qui ne bougeaient pas le petit doigt, venant tous d’être mis au ‘Garde à vous’ dès le premier jour par leur Ministre de l’Intérieur de l’époque, un certain Nicolas Sarkozy.
Au bout de dix mois :
Garde-à-vue /Perquisition/ Destruction du disque dur de mon ordinateur. Summum oralement : « Interdiction de parler et de s’occuper de cette affaire ! » (Je viens d’apprendre que le gendarme O.P.J. (ripoux de notoriété) qui avait dirigé ma garde à vue (11heures) n’était autre, du temps de l’affaire Alègre, que l’entremetteur de soirées fines voir sadomaso pour le département du Tarn…Ils m’avaient envoyé un mec à eux !
Ils ont même essayé l’arme psychiatrique (internement / voir Boîte à Pandore N°3)…. sauvé par un Officier de Police Judiciaire très sympathique qui m’avait averti :
– « Attention, prenez vos précautions, ils vont essayer de vous faire passer pour fou »
Je retrouve mon portugais sur Toulouse dans l’affaire Alègre (‘affaire des notables’), à qui il a livré certains enfants destinés à des soirées de pédo-criminalité et sadomasochistes où étaient des politiques Français de Droite et de Gauche. Sur Toulouse, l’argent de la drogue et des prostituées servait à financer les partis politiques (franc-maçonnerie). Durant mon enquête je découvre que tous les disparu(e)s de l’affaire Alègre sont plus que très certainement passés dans l’incinérateur de Cazères, sous les ordres et avec la complicité d’un colonel de gendarmerie pourri de chez pourri !
Comme je suis petit éditeur (de cartes postales) je ne me dégonfle pas et fait un livre (12/2005) que je remets en premier en LR/AR au Procureur de la République de Toulouse et aux Commandants de Gendarmeries de Cazères et Muret. Je ne vois personne, ni eux, ni tous les juges d’instructions avertis pour ces enlèvements d’enfants ou autres témoignages en LR/AR concernant certaines tribulations toulousaines ou autres crimes.
Bref :
Je m’aperçois que ce Portugais (indéniables récidives) a pris tous les enfants et adultes de France. Tous les disparus de France partent sur trois zones principales (voir carte et analyse criminelle détaillée). Réseaux de pédo-criminalité / Trafic d’organes / Crimes sataniques (sources X).
Donc, vous vous en doutez une affaire d’Etat Français….dont aucun média ne veut parler !!! Tous politiques avertis : Droite – Gauche – Extrême droite – Extrême gauche –Verts – Communistes – Centristes…
Entre les ‘gardes à vues’, auditions, convocations et prises d’A.D.N., j’en suis à ma onzième visite chez les flics ou gendarmes !
Au Canard Enchaîné l’on me dit « Mais que font les autres… ? ». Certains médias m’ont dit avoir eu des pressions, d’autres me disent ‘Bonne chance’, mais surtout tous la ferment …
Elle y a mis le temps …mais l’hydre de la franc-maçonnerie et du Nouvel Ordre Mondial a fait son œuvre.
Ce Portugais qui continue tous ces enlèvements en France habite maintenant au Portugal. Et il continue sa sale besogne dans ce pays plus en Espagne Belgique Autriche Allemagne de l’Ouest Suisse et Italie.
Il est indéniable que tous ces enlèvements sont orchestrés !
Tous flics Européens avertis . En cinq ans j’en ai vu aucun !
Il travaille pour la pègre …. .mais surtout pour d’autres !!! je l’ai compris l’hiver dernier en étudiant les disparitions Italiennes : ce qui confirmait bien tout ce qui m’a été avancé dans le détail à Marseille.
Lors des longs déplacements ‘obligés’ de changement de zone ils roulent très certainement à deux et il bénéficie de complices locaux (réseaux) sur tous les points de livraisons. On lui a certainement fourni des ‘Taser’s bien avant d’en équiper les polices Européennes.
‘Il livre où il prend !’……. Qui le commande ?
Toutes les preuves irréfutables de : Trafic commandité d’êtres humains dans la très importante « Lettre ouverte aux familles de victimes d’enlèvements ou disparitions inquiétantes » sur le site : http://www.editionsliberte.com
Vous allez être tous très surpris de découvrir sur ce site le rôle obscur de certaines Fondations ou Associations vérolées (ce n’est rien de le dire !) Françaises et Etrangères se prévalant des mots Enfants et Enfance.
Dernière minute (Italie) : Ces fils de pute de ‘Chi l’ha visto’ de la RAI de Berlusconi, qui viennent après avoir été avertis (12/2008) sciemment de changer la présentation de leur site afin que le suivi des disparitions italiennes soit pratiquement impossible !!!
Familles : Nos excuses nous ne pouvions faire autrement que de vous en alerter. Inutile de vous dire, qu’à part les chloroformées promesses habituelles d’usages en la matière des très corrects et attentionnés cols blancs ‘donneurs de leçons et de morale aux autres’ qui rutilent et excellent d’autorité pédante et d’artifices dans nos institutions respectives, il ne vous reste que très peu d’illusions à vous faire de la part de la police ou la magistrature de votre pays concernant la résolution de ces trop multiples et identiques disparitions commanditées et part delà vous en dévoiler la finalité.
« …Il y a longtemps que la disparition de votre frère, votre fils, votre mère, votre proche ou celle de nombreux disparus depuis quelques années auraient pu être évitées….si certains avertis avaient eu un peu plus de courage ou un peu moins de complicité passive…. ».
« Lo contrario al Amor, no es el odio es el miedo »
« Le contraire de l’Amour, n’est pas la haine c’est la peur »
Quant aux avocats, (« ces personnages qui n’ont pas plus d’années d’études qu’un infirmier et qui se font appelés ‘Maître’ »), tous ceux qui durant ces cinq ans d’investigations ont été copieusement avertis de toutes ces disparitions, ces enlèvements, trafics ou meurtres, dont-ils représentaient les familles victimes, ils ont tous fait preuve d’un bien étrange et très interrogatif ( ? ) silence….
La teneur que ces affaires gêne pas mal de monde. Franc-maçonnerie oblige !
*Début octobre 2007, je faisais part en LR/AR de tout ce trafic d’êtres humains, plus autres affaires toulousaines, au Commissaire de Police de Castres Arnaud Tregouët… : le 17 Novembre 2007 « il » se tire une balle dans la tête. Trop curieux le commissaire !
Vous trouverez la finalité de ce trafic d’êtres humains dans Boîte à Pandore N°48.
2. Les Etats français et espagnol ont fait disparaître le militant basque Jon Anza, 6 février 2012, 17:20, par Collectif Autre Monde
Extrait de commentaire vu sur internet :
".....Paul Emile Charlton a balancé à tout va dans la presse du Pays Basque que le militant de l’ETA Jon Anza avait été enlevé sur ordre et ce par son portugais spécialiste des enlèvements pour le compte du Nouvel Ordre Mondial.
Jamais vu les officiels… Concernant Jon on ne pouvait trouver plus symbolique présent. Il disparait le 18/04/09 . Le 26 et 27 avait lieu en Espagne le sommet ‘Sécurité’ anti E.T.A. : Sarkozy /Zapatero.
Sarko a-t-il pris le soin de lui faire un paquet cadeau à l’espingouin ?"