Recul des idéaux et avancées constants de la mondialisation capitaliste

Malgré la crise, les injustices et les guerres, le capitalisme tient bon. L’une des raisons est sûrement le charisme incroyable de son nouveau porte-étendard, Barack Obama, le messie des nantis, qui est en train de sauver le pouvoir et les privilèges de cette classe socio-économique qui est évidemment la sienne.

Sous Obama, on assiste à un serrage de coudes des couches dominantes internationales contre les classes socio-économiques inférieures. Il s’agit de préserver les acquis importants que la classe riche dominante a obtenu grâce à vingt ans de mondialisation de l’économie de marché capitaliste.

Malheureusement, cette mondialisation a marqué un recul de l’idéal de la déclaration universelle des droits de l’homme qui réclame un revenu suffisant pour tous les humains sans exception afin que tous puissent mener une vie décente et connaître leur part de bonheur sur cette terre.