Vaccination : l’éveille des consciences

Dirigeons-nous vers une clause de conscience pour tous les citoyens ?
Des faits tangibles le laisse penser !

"Du mercure et de l’aluminium : ce sont les substances que l’on peut
trouver dans certains vaccins administrés aux enfants de manière
récurrente dès leur plus jeune âge. Même si ceux-ci ont permis aux
sociétés occidentales de maîtriser des fléaux comme les hépatites, le
tétanos ou la poliomyélite, ce film avance qu’ils ont probablement
favorisé le développement de maladies neurologiques, dermatologiques
ou rhumatologiques." La suite sur France 5 § vous, le Mag
Il s’agit du film documentaire "silence on vaccine" programmé sur France
5 le mardi 9 décembre prochain.

Eloquent, ce reportage vient à propos nous rappeler qu’il est grand temps de s’interroger sur l’opportunité du maintien de l’obligation vaccinale en France, jugée déjà en 1980, " pratique du passé " par le professeur Jean Dausset, prix Nobel de Médecine.
La France maintient trois vaccinations obligatoires pour les enfants
en collectivité : contre la diphtérie, le tétanos, la polio et plusieurs autres pour
certains professionnels.

Or, il aura fallu plus de 50 ans pour que cesse d’être obligatoire le BCG, un vaccin
unanimement décrié et reconnu par les plus hautes autorités, y compris
l’OMS [1], comme inefficace dans la lutte contre la tuberculose.

Il a fallu, en outre, attendre 1982 pour que ne soit plus pratiquée, en France, la vaccination antivariolique qui, avant l’instauration de la Surveillance - Endiguement par l’OMS, provoquait plus de dégâts que la maladie elle-même [2].

Tant et si bien qu’aujourd’hui, l’OMS est obligée de constater l’échec de l’élimination
mondiale de la poliomyélite, espérée en l’an 2000, pour la bonne raison que les virus dérivés du vaccin contribuent à maintenir les taux de morbidité et de mortalité dans le monde.
Ainsi, trois experts américains reconnaissent que l’éradication, en dépit de la vaccination, est impossible : les sujets vaccinés peuvent héberger et excréter le virus, ce qui participe à sa dissémination ; il existe des polios paralysantes induites par la vaccination : elles ont généré 5 poussées épidémiques ; le virus vaccinal peut se recombiner avec des virus sauvages, certains recombinants ayant provoqué des polios paralysantes impossibles à distinguer de celles dues à des virus sauvages [3]. En France le nombre de cas de polio par an est inférieur à 10 [4].

La diphtérie, une maladie de la misère, aujourd’hui disparue en
France, ne justifie plus d’obligation vaccinale, surtout depuis l’utilisation appropriée
des antibiotiques. Quant au vaccin antitétanique, il ne devrait pas faire l’objet d’une
obligation, étant donné qu’il ne peut en rien protéger la collectivité, la maladie étant
ni contagieuse ni immunisante.

L’anachronisme de l’obligation vaccinale conduit la France à se
marginaliser dans le concert des pays européens qui ont, pour la plupart, abandonné l’obligation légale. Tout récemment, c’est la Vénétie qui vient de mettre un terme à l’obligation pour tous les vaccins [5].

Pourquoi nous faire attendre pour que le libre consentement, conforme à la déontologie médicale et prévu par la loi Kouchner du 4 mars 2002 soit respecté ?

1 – « Le traitement de la tuberculose – principes à l’intention des
programmes nationaux » OMS, 1997
2 – Cf « Voyages Internationaux et Santé », livret publié par l’OMS
éd. 1997 et 2000, p.10 : « La vaccination
antivariolique n’est plus indiquée ; elle peut être dangereuse pour
les personnes vaccinées et leurs proches ».
3 – Le Figaro du 13 mai 2006 et Science du 12 mai 2006
4 – Réponse du Ministre de la santé à M. Pierre Lang (JO du 16 mars
2004, p.2122)
5 – Loi régionale n°7 du 23 mars 2007 (Bulletin officiel de la région
vénitienne n°30 du 27 mars 2007).