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nous sommes tous dans la chambre 2806

Publie le mardi 17 mai 2011 par Open-Publishing
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CE MERCREDI 18 MAI 2011

A 18H30

C’EST « L’HEURE DE L’METTRE »

Sur RADIO CAMPUS Lille 106,6

En direct et en archives sur www.campuslille.com

De trois choses l’une :

  ou Strauss-Kahn, un des plus hauts dirigeants de la mafia mondiale qui pille et affame la planète, est un obsédé sexuel incapable de contrôler ses pulsions, un être avide, sans scrupules et dangereux.

  ou il est la victime d’une cabale menée par des pilleurs et affameurs encore plus féroces que lui et qui, dans le cadre d’un approfondissement sans précédent de la crise capitaliste, avancent leurs derniers pions en se débarrassant de lui comme on se débarrasse d’un ami encombrant, genre Ben Laden ou Kadhafi.

  Ou, s’appuyant sur les faiblesses humaines notoires du satyre, les mêmes tirent profit d’une situation qu’ils auraient très bien pu « contrôler ». Cette hypothèse a le mérite de rassembler les deux premières…

Franchement, on sait pas… Mais comme nous sommes soucieux d’en dire le plus possible sur cette situation – celle du capitalisme mondial, vous l’aurez compris -, nous optons sans hésitation pour la troisième hypothèse, nettement plus porteuse en termes de commentaires radiophoniques. Ben ouais, on est comme ça…

Sous le titre : « nous sommes tous dans la chambre 2806 », il nous apparaîtra assez vite que la femme de chambre est la métaphore vivante des peuples qui refusent, et refuseront toujours davantage, ce viol permanent perpétré par le Capital.

Nous retrouverons aussi notre Semaine à Cuba, et notre ¼ d’heure en Palestine, en direct de Bethlehem, avec Abdelfattah Abou Srour, réfugié, comme ses parents et ses enfants, au camp d’Aïda, depuis 1948... Nous évoquerons à la fois la Naqba, commémorée il y a quelques jours, et les réactions de l’Etat sioniste à cet effet.

Des « images cruelles », une situation « tragique », qui nous fait monter « les larmes aux yeux », ainsi que l’ont dit les amis et proches de celui qui, chaque matin en se levant, se demande « ce qu’il peut faire de bon pour Israël ». (Strauss-Kahn, en 1991, dans la revue Passages)