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Podemos : 300.000 manifestants à Madrid.
Publie le samedi 31 janvier 2015 par Open-Publishing2 commentaires
Espagne : Succès, pour la manifestation de Podemos.
A quatre mois des prochaines élections en Espagne, Podemos se sent pousser des ailes.
Au cri de « Oui, c’est possible ! », les partisans du parti antilibéral ont manifesté samedi dans les rues de Madrid leur volonté de renouveler la politique en Espagne.
Podemos a réussi à organiser un véritable meeting en plein centre de Madrid, avec une affluence rappelant les manifestations du mouvement des "indignés", né le 15 mai 2011 dans les mêmes rues.
Le parti évoquait le chiffre de 300.000 .
Podemos, qui signifie comme Syriza « Nous pouvons », dénonce la haute finance, l’austérité et l’establishment accusé de corruption, la « caste », qui aurait laissé le peuple dans une situation « d’humiliation et d’appauvrissement ».Issus de deux des pays européens ayant vécu le plus durement la crise, avec encore plus d’un cinquième de leur population active au chômage,
Podemos et Syriza partagent le même rejet de la « troïka » (Banque centrale et commission européennes, Fonds monétaire international). Tout comme le parti grec, appelle à mettre fin à l’empire de la finance internationale qui, selon eux, oublie l’humain et à poser la question d’une restructuration de la dette.
Et nous en France, c’est poussif, et pourtant les Français peuvent se mobiliser pour une cause
http://www.20minutes.fr/monde/1530111-20150131-espagne-manifestation-podemos-fait-plein.
Messages
1. Podemos : 300.000 manifestants à Madrid. , 1er février 2015, 09:33
Et aussi, ce violet en toile de fond, de quoi faire fondre tout les anciens républicains espagnols...
1. Podemos : 300.000 manifestants à Madrid. , 2 février 2015, 16:31, par Francesc Ravaxol
300 000 manifestants à Madrid pour 48 millions d’espagnols, avec un Iglesias qui"n’a aucun problème avec le drapeau espaggnol ( héritage de Franco ).
1 million huit cent mille manifestants ( sur 7 millions de catalans ) à Barcelona pour le droit à décider de l’indépendance, que le même Iglésias refuse tout comme Rajoy ; mais cela n’a aucune importance.