NOUS SOMMES TOUS DES PALESTINIENS !

Mais M. Fabius est trop occupé à se prendre la tête à savoir comment il pourra assassiner Bachar El Assad comme l’ont été les Président d’Irak et de Lybie, complice ou acteur ! Parce que jamais un mot de compassion sur le génocide du Peuple Palestinien perpétré par Israël avec la complicité des Etats-Unis ! HONTE à lui et à son gouvernement ! (NDLTr.)

46 palestiniens, dont 10 enfants, tués depuis le 1er octobre

Le Ministère palestinien de la Santé déclarait lundi que le nombre de Palestiniens, tués par des tirs israéliens depuis le début du mois, a atteint le chiffre de 45, dont 10 enfants, ainsi qu’un prisonnier politique mort faute de soins médicaux.

Lire la suite sur le site de l’Agence.
Israël/Palestine, et la désinformation dans les médias

La manière dont les médias en France désinforment sur ce qu’il est en train de se passer en Palestine occupée est extrêmement préoccupante.

L’Agence Média Palestine a publié dans le Plus du Nouvel Observateur ce billet de Michèle Sibony pour dénoncer cette désinformation, et l’analyser.

"Que signifie l’énoncé brut des faits ? On peut penser qu’il ne signifie rien justement. Pourtant, cette absence est signifiante en elle-même.

Ce qu’elle dit d’abord et avant tout : "il n’y a rien à comprendre, nous sommes devant des violences gratuites". Le citoyen en déduit qu’ils s’entre tuent, point. Il n’y a donc rien à penser pour l’auditeur ou le téléspectateur, renvoyé à sa seule opinion, comme les Palestiniens et les Israéliens semblent l’être eux aussi dos à dos.

Mais – et c’est là le plus vicieux de la méthode car il s’agit bien d’une méthode, déjà éprouvée avec la crise syrienne à ses débuts –, ne pas donner à penser, c’est jouer la carte du dominant."

A lire aussi à ce sujet, l’analyse de Julien Salingue publiée sur le site de l’Agence : Informer sur le Proche-Orient : le syndrome de Tom et Jerry
Diana Buttu : Sur la Crise Actuelle en Palestine/Israël

"Ce qui est clair, c’est que les Palestiniens ont maintenant besoin du soutien international pour mettre fin à l’impunité d’Israël. Si le monde croit authentiquement que tous les peuples devraient vivre libres, il devrait soutenir le mouvement de boycott, désinvestissement et sanctions (BDS) et les autres moyens permettant de tenir Israël pour responsable, y compris en poursuivant les fonctionnaires israéliens pour crimes de guerre devant la Cour Pénale Internationale. »"

Lire la suite de Diana Buttu, analyste basée à Ramallah sur le site de l’Agence.
Pétition : Dites au "Cordon Bleu" de mettre fin à son partenariat avec l’entreprise israélienne SodaStream

"En tant qu’individus et associations qui se soucient des droits de l’homme, le partenariat conclu par Le Cordon Bleu avec l’entreprise israélienne SodaStream nous préoccupe au plus haut point. Le lien de SodaStream avec les pratiques d’apartheid d’Israël, expliqué dans la lettre récemment adressée à la société Le Cordon Bleu, en a fait la cible d’une campagne internationale de boycott. (...) Son installation dans le Néguev contribuera à la politique du gouvernement israélien qui consiste au déplacement de Bédouins palestiniens et à la confiscation de leurs terres et de leurs ressources naturelles. C’est pourquoi nous appelons Le Cordon Bleu à refuser de se rendre complice des violations par Israël des droits des Palestiniens et du droit international, et à mettre immédiatement un terme à son partenariat avec Sodastream."

Remplissez le formulaire du site d’Adalahny.org pour signer cette pétition et envoyer le message ci-dessous à la société Le Cordon Bleu.

"Aujourd’hui, « Plaisirs occupés » a fait ses début sous la forme d’un livre, une poésie tourbillonnante, des proverbes, des essais, et de nouvelles images dans les séries photos lauréates du World Press Photo de 2014. PHOTOS

Avec le soutien du Fonds d’urgence de la Fondation Magnum, de FotoEvicence, et de la campagne Kickstarter, Habjouqa présente un portrait nuancé, multidimensionnel de la capacité humaine à trouver des plaisirs – ce qui est en soi une forme de résistance – face à des circonstances difficiles, plutôt qu’en leur absence."

Lire la suite sur le site de l’Agence.
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