Fete de Lutte Ouvriere les 14 15 et 16 MAI

Dans deux semaines vous aurez l’occasion de vous rendre à la fête annuelle de Lutte ouvrière, le week-end de la Pentecôte les samedi 14, dimanche 15 et lundi 16 mai. Ce rassemblement populaire qui se déroule à Presles dans le Val-d’Oise témoigne de la permanence du courant communiste et révolutionnaire parmi les travailleurs. Il est l’occasion de se retrouver dans une ambiance fraternelle. Tous les participants de notre fête savent que trois jours ne suffisent pas pour profiter de tous les spectacles, les débats politiques, les concerts, les films, les expositions scientifiques et culturelles.
Voici quelques extraits du programme
programme ici
http://fete.lutte-ouvriere.org/
http://fete.lutte-ouvriere.org/?-le...
http://fete.lutte-ouvriere.org/?-le...
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MUSIQUE
El Gato Negro
Latino festif, fusion de rythmes cubains avec une forte section de cuivres.
Le Bal des Martine (bal pour petits et grands )
Pour danser sur des musiques endiablées où s’entremêlent valses, danses cubaines, chansons italiennes...
La Rabia
Chansons de lutte, rock de classe

dimanche 15 mai

Les Fatals Picards (rock et musiques sous toutes ses formes )
Grosse présence scénique pour ce célèbre groupe à l’humour omniprésent, parfois noir et parfois rouge
La Cafetera Roja (pop rock hip-hop )
Six musiciens venus de France, d’Autriche et d’Espagne. Sur scène, beaucoup d’énergie avec des chansons, trait d’union entre hip-hop et musique latine.
Evelyne Gallet (Chansons au vitriol )
Chansons irrévérencieuses, pleines d’humour, interprétées avec vigueur et tendresse
Guillaume Meurice
« Que demande le peuple ? », one man show.
L’humoriste (connu sur France Inter pour ses chroniques ironiques et mordantes) joue le rôle d’un communicant politique chargé de redonner l’espoir aux Français dans un spectacle en interaction avec le public, drôle et corrosif

lundi 16 mai

La Compagnie Jolie Môme
« À contre-courant », chansons contestataires théâtralisées
Johnny Montreuil (country rock’ roll )
Rock’n roll ancré dans la vie de banlieue, des bars aux piquets de grève