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ÉDITIONS L’HARMATTAN Acharnement antisyndical contre la déléguée CGT

Publie le vendredi 29 avril 2016 par Open-Publishing
8 commentaires

ÉDITIONS L’HARMATTAN –
APRÈS LA RÉPONSE DE L’INSPECTION DU TRAVAIL NTERDISANT LE LICENCIEMENT DE LA DELEGUEE CGT, LE PATRON PRYEN CONTINUE SA REPRESSION MINABLE

Acharnement antisyndical contre la déléguée syndicale Marianne Ravaud, convoquée en entretien préalable le 29/4/2016

RASSEMBLEMENT CONTRE
L’ ACHARNEMENT ANTISYNDICAL
29 AVRIL À 9 H
16, RUE DES ÉCOLES – PARIS 5
MÉTRO : MAUBERT-MUTUALITÉ

Il n’y a pas de patronat de droit divin en France !
Soutien à Marianne !

Messages

  • chers collègues,
    La demande d’autorisation de licenciement de Marianne
    Ravaud, déléguée syndicale Info’Com-CGT, formulée
    par la direction, a été refusée par l’inspection du travail.
    L’action syndicale n’est pas un délit
     !
    Une partie des faits reprochés, notamment la participation
    en tant que syndiquée à des rassemblements solidaires
    pour notre collègue déléguée du personnel, Véronique
    Fichet, victime de trois avertissements, et pour défendre
    nos revendications sur les conditions de travail de tous les
    salariés n’a pas été retenue.
    Cette première victoire est collective. Nous vous invitons
    donc à faire de cette petite victoire, la vôtre, la nôtre à
    tous. La solidarité des salariés syndiqués Info’Com-CGT
    du Journal officiel , de Publicis, de Dalloz, du Moniteur
    , de Derichebourg, de l’Equipe , des Echos , de Bayard
    Presse, de l’Atelier... a permis et permet toujours à nos
    déléguées de tenir bon. Cette
    solidarité que la direction
    essaie de casser chaque jour dans l’entreprise est bien
    le meilleur remède partout et à chaque fois.
    Mais la direction ne le supporte pas. Elle a décidé,
    lundi 18 avril, de ne pas tenir compte de la décision
    de l’Inspection du travail. Elle
    s’acharne à nouveau
    contre la déléguée syndicale et lui interdit de reprendre
    son poste.
    Aucun motif précis ne vient justifier cette
    nouvelle mise à pied. La direction pense-t-elle que la
    défense des droits des salariés serait incompatible avec
    certaines fonctions dans l’entreprise
     ? C’est ce que laisse
    penser la nouvelle convocation à un entretien préalable
    au licenciement.
    Contrairement aux rumeurs véhiculées par le patronat, prendre
    un mandat ne sert pas à nous protéger.
    La preuve : nos élues et mandatée sont finalement plus exposées. Depuis septembre 2015, la répression antisyndicale s’accentue. Nous vous
    proposons de rester debout, comme ces milliers de jeunes
    aujourd’hui en proie à une répression extrêmement violente.
    La défense de nos droits, de notre liberté, de notre dignité
    ne peut se faire à genoux.
    SOYONS PLUS FORTS ENSEMBLE
    POUR DÉFENDRE NOS DROITS
     !
    SYNDIQUEZ-VOUS À INFO’COM-CGT
     !