Accueil > Il faut sauver le pavillon Aquarius

Il faut sauver le pavillon Aquarius

Publie le jeudi 4 octobre 2018 par Open-Publishing
1 commentaire

Les initiatives se multiplient pour permettre à l’Aquarius de poursuivre ses opérations de sauvetage en mer. De retour de Malte, où il a débarqué 58 migrants, il accostera ce jeudi dans le port de Marseille et devrait rester à quai faute d’un pavillon l’autorisant à reprendre la mer.

Certains se tournent vers l’Europe, d’autres vers la France. Au moins deux pétitions circulent pour permettre à l’Aquarius de trouver un nouveau pavillon depuis que le Panama a jeté l’éponge le 22 septembre sur demande du gouvernement italien. La première lancée par SOS-Méditerranée et Médecins sans frontières exhorte les États européens à prendre des mesures pour « permettre à l’Aquarius de repartir au plus vite mener sa mission vitale de sauvetage ». Elle a récolté 140 000 signatures en quelques jours. La seconde initiée par un écologiste présent sur une liste EELV lors des municipales de 2014 en appelle à Emmanuel Macron et affirme : « L’Aquarius doit battre pavillon français ». Elle a déjà collecté plus de 60 000 noms supplémentaires, soit un total dépassant les 200 000 signatures en confondant les deux pétitions.

Lire la suite : https://rapportsdeforce.fr/pouvoir-et-contre-pouvoir/il-faut-sauver-le-pavillon-aquarius-10042276

Portfolio

Messages

  • Oui, mais ça n’empêche pas de se poser la question (comme JLM et d’autres de LFI) du rôle du patronat européen dans cette migration mortifère. Car, quand même, ne nous leurrons pas (ou ne faisons pas semblant de ne pas voir comme le fait la petite-bourgeoisie radicale de gauche) c’est bien, en grande partie, d’une captation de main d’œuvre diplômée et bon marchée dont il s’agit pour faire tourner les entreprises européenne. Et ce, au détriment des pays d’origine qui ne sont pas près de décoller économiquement et donc d’acquérir un peu d’autonomie vis à vis des néocolonialistes européens.
    Méfions-nous des bonnes âmes charitables qui s’en tiennent à une vision sociétale et refusent une analyse de classe ; là aussi les communistes ont des ennemis.