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Le catastrophisme est une solution gagnante.

par L’iena rabbioso

Publie le mercredi 25 mars 2020 par L’iena rabbioso - Open-Publishing

Restons calmes

Les experts qui s’expriment dans les médias « sérieux » jouent à jeu dangereux.

Le couvre-feux après 22h.
Pourquoi pas parce qu’il y a presque l’équivalent dans la journée ?

Ne pas s’approcher à plus d’un mètre de n’importe qui ?
Excellente idée, bande de crétins, mais partout où c’est possible, par exemple dans vos villas.

Éternuer dans son coude.
Éternuer dans un mouchoir, puis le jeter.
Comment jeter son coude ?

Rester chez soi.
Surtout quand on a un chez-soi, et qu’on est moins de cinq car sinon c’est un rassemblement illégal.

Certains disent que le virus reste vivant sur des matières inertes 72 heures.
Donc prière de ne plus ouvrir les portes.

Vous avez deviné, tout cela est sarcasme, mais quoi opposer d’autre ?

Cette politique du toujours plus (ou toujours moins) n’aura jamais de contradiction.
Qui donc voudrait que la population entière soit malade ?

Elle est gagnante dans tous les cas de figure :

S’ils se sont plantés dans le pari que le confinement était la bonne solution, alors ils décréteront un confinement plus strict encore.

Si le Virus disparaît, alors ils pourront dire que la solution du confinement était la bonne.

En terme logique, on appelle ça un truisme : Le confinement est nécessaire car le non-confinement n’a pas prouvé son inefficacité.

Tout cela serait amusant si ce n’était désolant.
Le mensonge d’état transformé en effort national, il fallait le faire, et ils l’ont fait !

Seul un chroniqueur de Libération peut trouver des excuses à cette manifeste trahison, au nom de basses ambitions électorales.

Maintenant, les gens qui me croisent sur le trottoir m’évitent non pas à un mètre mais à trois mètres.

Comme seule consolation, il y a le comportement des caissières de supermarché.

Pour moi le seul lien social qui reste avant fermeture générale.

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