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AZF de Toulouse : salariés et sinistrés commémorent l’explosion de 2001

Publie le mercredi 21 septembre 2005 par Open-Publishing
4 commentaires

Plusieurs centaines d’anciens salariés de l’usine AZF de Toulouse et leurs familles ont commémoré mercredi l’explosion du 21 septembre 2001 sur le site désaffecté, à l’écart comme chaque année des associations de sinistrés réunis en ville sur le rond-point dédié aux 30 morts et aux milliers de blessés de la catastrophe.

Deux manifestations différentes pour deux souffrances qui ne parviennent pas à s’accorder, celle des sinistrés qui pour la plupart voient en Total, propriétaire de l’usine chimique, le responsable d’un "crime industriel" et celle des anciens salariés qui récusent les accusations de "négligences" .../... (AFP)

Messages

  • Et oui, encore des mystères sur ce dossier AZF :

    depuis le 7 Juillet 2004, jour de la venue du commissaire Bellaval du SRPJ de Toulouse chez moi à Sète, j’ai compris que la catastrophe d’AZF dissimulait quelque chose de bien plus grave encore qu’un accident industriel sur un site chimique honteusement situé en plein coeur de ville.

    Pourquoi ?

    C’est très simple.
    L’hélicoptère Ecureuil AS 350 B filmé par des caméramen de M6 à l’école Bellefontaine moins de 8 minutes après l’explosion, le même enregistré par des journalistes de France 3 dans la même école quelques secondes après l’explosion, cet hélicoptère, j’ai pu l’identifier et savoir aujourd’hui ce qu’il a fait le 21-9-2001 et pourquoi il était là.

    C’est en prévénant le juge Perriquet que cet Ecureuil AS 350, d’après les images que j’avais vues à l’émission Pièces à Conviction, volaient les portes complètement ouvertes comme font parfois les hélicoptère d’EDF en maintenance de ligne haute-tension que j’ai émis l’hypothèse que cet hélico pouvait tout simplement tomber par hasard sur ce secteur en suivant les lignes HT très nombreuses au Sud de Toulouse. J’ai eu l’occasion de voler avec les hélicos d’EDF-Bourgogne pour la validation de système cartographiques avec GPS en 1998. Ces images d’un AS 350 B portières ouvertes m’étaient familières. Et c’est vrai que les pilotes survolent les sites industriels en longeant les lignes et ce sans avoir un plan de vol minuté.

    Le lendemain, le SPRJ de Toulouse débarque chez moi : pas pour que l’on regarde de près les images de M6 sur du bon matériel et que je puisse donner mon avis (EDF était très peu coopératif avec la justice depuis le début).

    Non, non : c’était pour me dire que ces images étaient celles d’un hélico de la gendarmerie arrivé sur les lieux vers 10H30 suite à l’explosion.
    Il y avait un hic car les journalistes de France 3 m’avaient informé que cet hélico quittait les lieux et semblait aller vers l’Ouest et il était bien avant 10H30 au-dessus de l’école Bellefontaine, soit plus de 2 km à l’Ouest d’AZF.
    J’ai donné tout de même mon avis sur les quelques détails des images au SRPJ (gros objet sur le flanc gauche, nez très sombre, portières ouvertes,...mais ces images étaient tout de même issues d’une bande vidéo très loin de la qualité de l’original que j’ai pu voir à l’époque.

    L’original : aujourd’hui je l’ai. Grâce à une association qui connaissait le rédacteur en chef de Toulouse, je l’ai convaincu que ces images méritaient un traitement informatique poussé.
    Une cassette DVCPRO copie intégrale m’a été fournie. Je l’ai faite analyser par un labo indépendant de Total ou autre acteurs du dossier judiciaire. Les infos que je pouvais en tirer devait lui être communiqué en exclusivité.

    Depuis 3 mois j’essaie de le contacter : il refuse de me parler et ne semble rien vouloir savoir sur ces images. J’ai insisté auprès d’un des rédacteurs en chef de M6-Paris. Rien. Silence.
    Je sais que ces images ont été depuis déposées dans le dossier judiciaire et expertisées. Mais pour une fois qu’un élément existait avant sa mise au secret judiciaire, il était intéressant de dévoiler tout ce que l’on pouvait en tirer. Ca ressemblait vraiment à un SCOOP. Et bien non, ça ne les intéresse pas et M6 n’a jamais reparlé de ces images.

    Bien entendu, j’ai réussi à m’arranger auprès d’une des parties civiles pour obtenir la trajectographie fournis par la police des airs de l’hélicoptère officiel de la gendarmerie qui a volé entre 10H30 et 10H42.

    RESULTATS DES ANALYSES D’IMAGES :

    L’hélico est de la gendarmerie. Le commissaire Belleval avait raison.
    Mais tout ce qu’il m’a dit par la suite est entièrement FAUX.

    Cet hélico a volé de 10H15 à 10H27 et non de 10H30 à 10H42.

    Il avait bien les portières latérales gauches carrément enlevés. Il transportait un mini-hélicoptère bulle sur son flanc gauche. Sur les images la partie supérieure de la tuyère a été soulevée verticalement probablement par l’effet du souffle 8 minutes avant. Il avait un treuil fixé juste au-dessus de la porte arrière en position dépliée à mi-course (il y a trois positions).
    Une échelle de corde relativement étroite pendait encore jusqu’à la base des patins.

    RESULATS DE L’ANALYSE DE LA TRAJECTOGRAPHIE déposée en D1252 page 7 et en D598.

    Après superposition avec la cartographie IGN au 1/25000ème de Toulouse, je peux affirmer que la police des airs a trafiqué la courbe de l’hélicoptère de la gendarmerie relativement simplement : un décalage de 15’00 minutes en avançant dans le temps et de 1350 m vers le Nord de la vraie trajectoire !!!

    Cet hélico a décollé au Sud des Ballastières, vers le le chateua de Clairfont, 2 km au Sud du d’AZF.

    Il a effectué d’abord une très grande courbe régulière en altitude formant un grand demi cercle d’au moins 2 km de rayon à l’Est du pôle chimique avec pour centre la zone de l’ilot aux Lapins entre les bras de la Garonne.

    Il est passé au-dessus de l’hôpital militaire du Larrey, celui de Rangueil et a rejoint la rocade de l’A64. Tout cela en haute altitude au-dessus de nuages locaux que plusieurs personnes ont pris pour un temps devenant orageux.

    Il s’est stabilisé au-dessus de cette rocade à peine à 300 m au Nord-Ouest du Hangar 221.

    Soudain il a viré à vitesse modérée vers le Nord-Ouest comme pour s’écarter du pôle chimique AZF, puis moins de 10 secondes plus tard il a filé comme un fou à toute vitesse droit vers la garonne et est arrivé vers le secteur de La Pointe.

    Puis il a viré plein Sud en contournant parfaitement l’Est de la SNPE. A l’exact Sud de la SNPE il a viré plein Ouest et est parti rapidement pour une boucle d’observation au-dessus du poste EDF de la Fourguette après avoir survolé la partie Sud d’AZF.

    Puis il est revenu vers le Sud de la SNPE pour se stabiliser quasiment dans le secteur Sud de l’Ilot aux Lapins, cela plus d’une minute.

    Enfin il est remonté vers le Nord, en longeant le bras Est de la Garonne, s’est stabilisé quelque temps au-dessus du pont d’empallot, puis a poursuivi pour faire une grande boucle au-dessus du quartier de St-Michel et du Parc Toulousain.

    Enfin, il a quitté le secteur en repassant par Empallot et le Nord-Est de la SNPE et s’est dirigé vers l’Ouest en passant au-dessus du cratère puis en filant vers l’Ecole Bellefontaine et la base militaire de Francazal.

    Cette itinéraire recalé est compatible avec les images de M6, avec une dizaine de témoignages déposé parlant de cet hélico vu ou entendu dans les minutes qui ont suivi l’explosion.

    D’après vous pourquoi le pilote de cet hélicoptère Thierry Chapelier a accepté de me rencontrer quand je lui ai dit que j’avais les images... !

    ET L’EXPLOSION :

    14 mois d’enquête et de travail informatique sur les données sismiques du réseau des Pyrénées, sur les centaines de témoignages localisés me permettent de vous affirmer que nous avons à faire à des essais militaires électromagnétiques dirigés.

    Ce sont des tirs issus d’une base souterraine placée à 2,6 km au Sud-Est du Hangar 221 entre l’hôpital du Larrey et le CHU de Rangueil.
    La zone de réception et de mesures était la zone sauvage des Ballastières au Sud de l’Ilot aux lapins.

    Pourquoi une base secrète souterraine inconnue : l’amorçage de ce type de tir est interdit par les conventions sur les essais nucléaires de 1996 : ce sont des mini-bombes A.

    Une d’entre elles a dépassé les limites de confinement sismique que se permettent aujourd’hui les militaires du CEA-DAM. Le tir a problement changé dangereusement de trajectoire à la suite.

    Pourquoi de tels essais ?

     performances électromagnatiques à grandes distances souterraines.
     transferts d’énergie électriques à très grande distance : le TESF.

    Total est complice à cause des terrains qui lui appartenaient encore mais on était tout de même loin du site chimique.

    Elle fait croire à beaucoup qu’elle fait traîner l’enquête pour éviter son inculpation.
    C’est faux. Total va être inculpée. Ceci grâce à une petite dizaine d’experts nommés, tous liés plus ou moins avec l’armée et le CEA :

     Didier Bergues pour l’expertise chimique : DGA
     M. Van Schendel : SNPE et Ruggieri
     expertise du cratère : DGA
     expertise sismologique : OMP (observatoire civile travaillant très souvent avec le CEA militaire)
     expertise détonique : DGA
    etc... etc...

    Les coupables sont affiliés à ceux qui font les expertises ! Si, si ce n’est pas une blague !

    Le faux-coupable qui fait croire qu’il essaie de s’innocenter est Total.
    La mise en jeu financière de son silence est un paquet d’euros (merci le gouverment) et de très grands services de l’armée françaises dans les pays d’extraction du Pétrole.

    Un exemple : les expertises sismiques de l’été 2004 ont été financées par la justice pour le compte de la CGG, partenaire très proche Total.

    Le site de Total n’était pas terrible c’est vrai mais ce qui a sauté était le moins évident à sauter !

    Le site de la SNPE a eu également des dégats avant l’explosion du Hangar. Rien n’a été fouillé officiellement mais les preuves existent et sont très fiables.

    AVIS AUX TOULOUSAINS EXPOSES :

    Si d’ici quelques années, vos ennuis auditifs perdurent et se dégradent bien que les médecins ne détectent pas d’anomalies l’expliquant : ne cherchez pas. Le micro-onde a marché !

    Ciao, ciao

    Pierre Grésillaud
    Ingénieur civil des Mines
    04 67 51 21 43
    06 66 07 79 05

    • Je ne vois pas très bien en quoi la présence d’un hélicoptère et les mensonges de la gendarmerie, induisent un accident militaire .

      Sur la présence de l’hélicoptère, c’est très fréquent, toute la zone est "sensible" ; aéroport Francazal, S.N.P.E., zones d’essais de la DGEA, Matra, Rugierie et d’autres. Il n’est donc pas surprenant qu’un hélicoptère ait décollé immédiatement ou soit déjà en vol dans le secteur y compris avec des instruments de mesures d’éventuel gaz toxique par exemple . Il n’est pas non plus surprenant que la gendarmerie mente puisque la population a été informée plus d’une heure plus tard ! Manifestement les ouvriers d’azf étaient déjà à l’hôpital quand l’information a été diffusée.

      Quant à l’accident impliquant un tir électromagnétique, pourquoi pas ! mais ce n’est pas argumenté, et quel hasard !un tel accident aurait très bien pu faire de gros dégât sur les hôpitaux Laray et Rangueil !

      A ce compte là, pourquoi pas une erreur de tir plus conventionnel ! au fond il y a dans la zone les terrain d’essais de la DGEA, de Matra, de rugerie, d’alcatel, tout ce beau monde procède ordinairement a des essais ou des démonstrations, a porté de canon d ’AZF.

      Un simple obus tiré par erreur, est quasiment invisible, peu bruyant, et les personnes susceptibles d’entendre sa chute auront été commotionné ,choqué ou tué par l’explosion .

      J’ai tendance à penser, qu’il s’agit d’une manoeuvre de décrédibilisation . Puisqu’il subsiste des incohérences .

      Quelques jours après l’explosion, un juge a affirmé que l’explosion provenait du coeur de la masse du tas de nitrate, ce qui exclut toute intervention extérieure, y compris celle d’un versement accidentel de produits chloré (piste privilégiée aujourd’hui). L’explosion provient alors d’une dégradation chimique du tas, ce qui est probable . En tout cas on peut affirmer cela de façon tout a fait fiable d’après les dimensions du cratère .Si c’est faux, c’est qu’il y a complot et mensonge délibéré .

      C’est qu’il y a le témoignage troublant d’un ouvrier d’entretien qui décrit la tour de fabrication portant les traces de graves dommages durant la nuit précédent l’explosion (plafond éventré) entre autre . Dans cette tour de fabrication le nitrate est fondu ; environ 250°, or il détonne spontanément autour de 450° . Une détonation dans la tour de fabrication est donc aussi une chose probable, la charge de produit suffit a expliquer l’ampleur de l’explosion et la volatilisation du hangar 221 .(si le hangar contenant 100 tonnes de nitrate, les dégâts correspondent 30/15 tonnes) bref dans tout les cas la totalité du stock n’a pas détonné, une grosse partie a été volatilisée . Reste que dans cette hypothèse on aura menti sur la position exacte du cratère .

    • Le cratère est bien sous le Hangar 221 et est à plus de 60 m de la tour du Nitrate fondu.
      Les dégradations de cette tour dans la nuit sont bien réels mais ils concernent des installations sanitaires et sont complètement indépendantes de la zone de fabrication.

      Plus de 50 témoignagnes mentionnent la présence de faisceaux lumineux précédent de plusieurs secondes l’explosion du Hangar 221

      Ces faisceaux se répartissent en plusieurs catégories, quatre principales :

      une portion d’arc lumineux géant non éblouissant entre la zone Pech-David-SNPE et Nord-AZF
      un faisceau lumineux large très éblouissant au Nord-Ouest d’AZF (porte A)
      des salves de 1 ou 2 faisceaux lumineux intenses rectilignes géant issus de la zone Nord des ballastières
      des rayons plutôt bleutés horizontaux (style laser) à hauteur d’homme à différents endroits di site et même de la ville.

      Ces faiscaux dans le temps ont tous apparu au moins 6 à 8 secondes avant l’heure de l’explosion du Hangar.

      Les phénomènes purement électromagnétiques précédant de plusieurs secondes, voir de plus d’une minute l’explosion sont également répertoriés (aimantation violente, électrocution non-mortelle, affolement de composant piezzo-électrique, pertubation d’écran, de matériel téléphonique etc... tout cela sans pertubation électrique ambiante.

      Tout cela, des témoignages toulousains concordants, sontanément déposés, pour beaucoup d’entre eux dans les premiers jours, le mentionnent.

      La thèse militaire est effectivement trop avancée mais je pense qu’une explosion très souterraine avec l’appui d’un hélico de la gendarmerie n’est pas dans un cadre très civil. Et des essais cachés par une telle omerta est peu crédible dans un monde civil où les langues peuvent se délier en quelques mois. On est dans le secret des secrets et peu de gens, même ceux qui ont participé à un des événements du 21-9, savent exactement l’origine de ces essais.

      La thèse de l’attentat, je ne l’exclue pas non plus mais plus dans le sens du sabotage des essais que dans l’action directe. Les potentielles cibles des faisceaux ont quasiment pas correspondu à des dégats avérés et encore une fois un délais de plusieurs secondes avant les premiers effets visuels de l’explosion du Hangar ont été nécessaires.

      L’hypothèse des essais est renforcée par un des témoignages clé, très fiable et déposé 3 jours après l’explosion, par des témoins absolument pas avertis. Ils étaient assez loin pour ne pas subir le choc du souffle mais ils ont vu des événements plus de 20 secondes après l’heure de l’explosion du Hangar que peu de gens ont pu voir à 3 km à la ronde à cause du désastre en cours. Ces témoins, la justice a refusé de les voir au dernier moment malgré une convocation de sa propre initiative de ces témoins qui n’ont toujours pa compris pourquoi cette justicea agit ainsi !

      Les toulousains ne sont pas des gens peureux. Ils témoignent, ils ont témoigné. Mais c’est le SRPJ de Toulouse qui n’a pas cessé de filtrer, de décourager, de cacher et même d’enfreindre des procédures ! J’ai les preuves.

      Le drone Canadair CL 227 commercialisé par EADS-Dornier avant 2000 (trouvable sur les images de Google) fait parti des aéronefs que deux témoins ont vu dans leur champ de vision 10 minutes avant l’explosion et qui ont déposés sponpatément début octobre 2001. Absolument rien n’a été fait pour étudier ces témoignages.
      Ces drones sont des drones stationnaires de mesures, pas d’attaque ou de riposte.
      Un autre drone aperçu 10 minutes avant est compatible, selon le témoin, avec le drone Seamos d’EADS-Dornier également. Là encore c’est un drone de mesure.

      Une grande inspection industrielle en cas de crise grave du site chimique avant une catastrophe prévisible c’est la première idée que j’ai approfondie à la vue de toutes les informations. L’objet sur le flanc de l’hélicoptère était également compatible avec ces drones mini-hélicoptère d’inspection.

      Mais il y a un hic énorme : l’ampleur géographique de l’événement qui ne se limite pas à Total, la présence de très grands faisceaux simultanés et l’aspect éloigné de l’épicentre principal initial que je situe toujours bien avant l’explosion du cratère et très profond.

      Un autre indice dont je n’ai pas encore éclairci le lien direct est cette information officielle (signé par le CIADT) très bien dissimulée par EDF-RTE que j’ai réussi à déniché par hasard sur internet. Elle concerne les premiers tests français d’installations aérienne de fibres optiques sur une des lignes HT au Sud-Ouest de Toulouse dans toute la semaine du 17 au 21 septembre 2001. Des interventions électriques ont été enregistrées sur cette ligne 8 minutes avant l’explosion.

      Bref l’aspect militaire n’est peut-être pas unique mais on est tout de même dans le domaine d’essais ultra-secrets assortis d’une ambiance préparatoire.

      P.G.

    • Trois petites précisions concernant l’hélicoptère aux couleurs de la gendarmerie qui a survolé le site d’AZF et Toulouse de 10H15 à 10H27, le 21 Septembre 2001.

      1/ Il a décollé depuis l’héliport de Francazal et a été repéré par Blagnac en vol à partir de la zone du chateau Clairfont. Il a attéri au même endroit à Francazal juste après 10H27.

      2/ L’échelle de corde aperçue sous l’hélicoptère par des témoins au moment de l’explosion et juste après l’explosion est une "échelle de grenouille", câble bifilaire de plus de 10 m avec barreaux isolants avec au bout une antenne "en J" décamétrique exploitée pour des transmissions radio de type onde courte à très grande distance. Le même exemplaire se trouve entre le mat et le bâtiment de la préfecture en haut de la falaise de Pech David près du chateau d’eau rond.

      3/ Cet hélico quelques minutes après l’explosion a passé plus d’une minute en quasi-stationnaire au-dessus ce secteur radio de Pech David. C’est le seul moment de stabilisation prolongée de cet hélico dans les 12 à 13 minutes de vol.

      P.G.