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Nouvelles tristes

Publie le jeudi 26 janvier 2006 par Open-Publishing
4 commentaires

Nouvelles tristes , sans commentaires. Copier/Coller de MSN News.
(site microsoft qui donne les nouvelles 24H/24H aux cadres diplomés)
On peut rire ou pleurer. ou bien on peut crier.
www.msn.fr/news

Les punks disaient : utilisent les armes de tes ennemis.
Ci-dessous des choses tristes. (pardon pour la mise en page)


Les SDF sous surveillance dans 78 départements
Reuters 26.01.2006 - 22:05

PARIS (Reuters) - Soixante-dix huit départements français, dont ceux de l’Ile-de-France, ont placé les sans-abri sous haute surveillance en raison des températures négatives qui sévissent de jour comme de nuit dans la majeure partie du pays.

Soixante-seize départements ont ainsi déclenché le niveau 2 du plan hivernal qui en compte trois, ce qui leur permet d’ouvrir des places supplémentaires d’hébergement et d’accroître les moyens de surveillance des sans-abri.

La Haute-Marne et l’Oise sont passées au niveau 3, qui correspond au "froid extrême", autorisant l’ouverture de gymnases et de casernes.

Jeudi, Météo France a émis un bulletin d’alerte "orange" sur 12 départements du Sud-Est, en prévision d’importantes chutes de neige et de verglas.

Ces chutes de neige pourraient atteindre jusqu’à 30 cm par endroits. Elles sont attendues dans les Alpes-Maritimes, les Alpes-de-Haute-Provence, l’Ardèche, les Bouches-du-Rhône, la Drôme, le Gard, l’Isère, la Loire, la Haute-Loire, le Rhône, le Var et le Vaucluse.

Cet épisode neigeux, qui a commencé jeudi en milieu d’après-midi, se poursuivra jusqu’à samedi midi.

Météo France invite la population à une vigilance particulière car les conditions de circulation peuvent vite devenir très difficiles. Des dégâts sont à craindre sur les réseaux de distribution d’électricité.

Pour vendredi matin, l’organisme prévoit des températures de -4 à -2 degrés en moyenne sur le pays. Du Nord-Est à l’Auvergne et à Rhône-Alpes, les températures descendront jusqu’à -7 degrés. Sur le littoral atlantique elles atteindront de -2 à 1 degré et, sur les côtes bretonnes et autour de la Méditerranée, de 1 à 6 degrés.

L’après-midi, les températures seront comprises entre -2 et 0 degrés dans le Nord-Est.


Nicolas Sarkozy expose son plan contre la violence scolaire
Reuters 26.01.2006 - 18:36

par Gilbert Reilhac

MONTBELIARD, Doubs (Reuters) - Nicolas Sarkozy a exposé les mesures qu’il préconise pour faire baisser la

violence en milieu scolaire.

Elles portent notamment sur un suivi du comportement des enfants dès le plus jeune âge, une réponse immédiate à toute infraction et une présence policière dans les établissements.

"Je ne resterai pas passif face aux 80.000 actes de violence qui ont été signalés l’année dernière dans les collèges et les lycées !", a lancé le ministre de l’Intérieur devant les élus qui l’accueillaient à l’hôtel de ville de Montbéliard (Doubs).

"Je ne me résous pas aux 12.000 incidents dont les enseignants furent la cible ! L’école de la République, ce n’est pas l’école des insultes, des menaces et du racket", a-t-il dit.

"Il nous faut admettre que la violence a progressé parmi les jeunes", a-t-il ajouté plus tard devant le Conseil intercommunal de sécurité et de prévention de la délinquance auquel il a détaillé ses projets, moins d’une semaine après l’installation du comité interministériel de prévention de la délinquance par le Premier ministre.

Nicolas Sarkozy est revenu sur la nécessité, selon lui, de détecter dès le plus jeune âge les enfants dont "le comportement commence à déraper".

Il prône une extension de la compétence de la protection maternelle et infantile "jusqu’à la fin de l’école primaire", à charge pour celle-ci d’assurer un suivi régulier et de procéder à des "bilans codifiés".

"Je propose que l’on institue un véritable carnet de développement de l’enfant qui le suivra de l’enfance à sa vie d’adulte", a-t-il ajouté, assurant qu’il ne s’agissait pas de "ficher" les jeunes mais "de leur donner plus de chances d’être pris en charge".

REGLEMENT INTERIEUR DES ECOLES

Le ministre veut aussi rendre son lustre au règlement intérieur des écoles dont "l’adoption doit se faire de manière solennelle, en y associant les enseignants, les parents et les élèves".

"On a le devoir de saluer son professeur, de ne pas garder son blouson et sa casquette en classe ; on est passible de sanctions si on est insolent, agressif, si on dégrade les bâtiments", a-t-il fait remarquer.

Pour les actes de délinquance, le ministre prône "une réponse individualisée à chaque acte répréhensible", qui soit apportée rapidement, y compris en instaurant une possibilité de comparution immédiate devant la justice pour les mineurs.

"La meilleure des préventions, c’est la certitude de la sanction. L’impunité dans notre pays a fait des ravages", a-t-il professé.

Nicolas Sarkozy veut aussi banaliser la présence de policiers et de gendarmes dans les établissements, là du moins où "la communauté scolaire le demande".

"C’est la réponse à la gravité d’événements qui dépassent de très loin le cadre scolaire", a-t-il précisé.

Il faisait allusion à l’agression au couteau d’une enseignante à Etampes, en décembre dernier, et à une tentative d’étranglement contre une enseignante d’un collège de Montreuil, également en banlieue parisienne, cette semaine.

Nicolas Sarkozy s’est ensuite rendu au collège Paul-Langevin d’Etupes, une commune proche de Montbéliard où la Brigade de prévention de la délinquance juvénile du Doubs intervenait auprès d’une classe de 6e.

Formée de cinq hommes et d’une femme, elle intervient depuis 1999 dans les CM2, 6es et 3es des écoles primaires et collèges. Les échanges, limités à deux heures dans l’année, portent sur la loi, les droits et les devoirs ainsi que les violences faites aux enfants et les moyens de les dénoncer.

"L’Education nationale a vraiment changé et se rend compte qu’elle ne peut plus faire toute seule. Nous rentrons dans pratiquement tous les collèges et toutes les écoles du département", a dit à Reuters l’adjudant Hervé Monnier.

Après avoir assisté quelques minutes aux échanges, le ministre s’est adressé à la classe.

"Les policiers et les gendarmes sont vos amis. Moi aussi, je leur fais confiance", a-t-il dit.


Je n’ai rien d’autre à dire : nouvelles tristes.

jyd

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Messages

  • "C’est pour ton bien qu’on te fait du mal"...
    Paroles connues, air connu, pourquoi ça marche toujours ?
    Ca marche encore mieux, hélas, sous la forme "C’est pour LEUR bien qu’on leur fait du mal".
    MC

  • En matière d’éducation comme dans toute autre chose, il est interdit d’interdire ! C’est clair !

  • J’aimerais poser une question : pourquoi les politiciens qui nous gouvernent n’écoutent ils jamais les acteurs de terrain ?
    Etant moi même fonctionnaire de police, je peux vous affirmer que les policiers sont contre une présence policière dans les établissements ! De plus, le corps enseignant y est aussi défavorable, alors comment voulez vous que la mesure du ministre fonctionne ? On demande à des personnes de faire des choses qu’ils trouvent complètement inadaptées, alors comment voulez vous que cela marche ?
    Il faut plus de présence adulte dans les établissements ( professeurs, éducateurs, surveillants) et vous verrez que la délinquance baissera ! Et si jamais malgré cette prévention, certains élèves continuent de s’enraciner dans la violence, et bien il faut apporter une réponse judiciaire !
    cordialement D.E

  • monsieur sarkosy est un homme dangereux mettre des policiers dans les écoles, voila ! la premiere violence, attention les enfants la police arrive !