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Marx a dit : "une idée devient une force lorsqu’elle s’empare de la masse".

Publie le lundi 9 mars 2009 par Open-Publishing
5 commentaires

Marx a dit :

–  "une idée devient une force lorsqu’elle s’empare de la masse".

Démonstration faite sur le terrain, par le LKP en Guadeloupe.

A méditer avant le 19 mars.

Messages

  • Rien de plus vrai !

  • Rien de plus idéologique ! L’expression même de l’idéologie, quand l’idée "subjugue" les individus comme un miroir aux alouettes, quand le discours envoute, magnétise, captive les esprits pour mieux les asservir et dominer ...

    "Une idée devient une force quand la masse s’en empare", je comprendrais mieux. L’évidence se crée un chemin dans l’esprit sans effort, et les personnes se l’approprient naturellement.

    De "belles" idées peuvent éblouir les imbéciles, comme un beau papier d’emballage ou une belle pub.

    Marx, un sophiste ?

    • et même qu’une seule idée à la fois (même fausse) vaut mieux que plusieurs justes (qui embrouillent les gens....)

      n’est ce pas les dirigeants du PCF ?

    • "Une idée devient une force quand la masse s’en empare", je comprendrais mieux. L’évidence se crée un chemin dans l’esprit sans effort, et les personnes se l’approprient naturellement.

      Si tu veux, je ne vois pas trop de différences. Eh bien par exemple, les acquis sociaux (sécu, école, retraite par répartition...), la dernière : l’idée des trois tiers (3/3), avec un tiers à répartir entre salariés de l’entreprise, parce que c’est juste et équitable.

      Mais la menace du médef d’avoir la "tête" des "charges sociales" plane sur les bulletins de salaire des travailleurs. Beaucoup de jeunes salariés ne savent pas encore que ces charges sociales sont en fait du salaire qu’ils se sont gagnés. Et c’est cette partie que le patron veut, non pas nous la verser directement, mais bien de se la mettre dans la poche (ça représente 2 fois les cotisations sociales payées par le salarié). Alors, si on laissait faire, projet qui s’inscrit dans la destruction de la sécu, allocs, retraite par solidarité (à l’heure où l’ump a à la bouche le mot "amour", ça craint !) je ne vois pas comment, en supposant que le merdef y arrive, il serait possible de se payer une assurance privée pour la santé !?

      Alors, emparons-nous des idées, les bonnes, qui nous donnerons la force de combattre les idées mesquines du médef et de la droite capitaliste ultra-libérale.

  • Faire valoir ses droits,de preference collectivement :

    Interdits de RSA, les jeunes de moins de 25 ans font l’objet d’une discrimination unique en Europe

    par Ivan du Roy

    Ils sont à temps partiel, stagiaires ou chômeurs en fin de droits. Ils ne bénéficieront pas du « Revenu de solidarité active » pour la simple raison qu’ils n’ont pas encore fêté leur 25ème anniversaire. Avec l’explosion du chômage, 416.200 jeunes sans emploi de moins de 25 ans se retrouvent sans minima social. Une discrimination unique en Europe ! Basta ! explique pourquoi cette inégalité de traitement est juridiquement injustifiée et comment des recours peuvent être déposés pour faire valoir son droit à ce revenu de complément qu’est le RSA.

    [Lire la suite]

    http://www.bastamag.net/spip.php?article471