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Tel-Aviv : les dégénérés sont de sortie

Publie le samedi 21 mars 2009 par Open-Publishing
10 commentaires

Des cadavres de bébés palestiniens, des mères éplorées sur la tombe de leur enfant mort, des mosquées réduites en cendres : voilà un aperçu des « décorations » ornant les T-shirts des soldats de l’armée israélienne, qui font la fortune d’une entreprise textile de Tel-Aviv.

Sous le titre, « La mode, version Tsahal 2009 », le journaliste Uri Blau a publié vendredi dans le Haaretz (version électronique en langue anglaise http://www.haaretz.com/hasen/spages...) un reportage dévastateur sur les mœurs de "l’armée la plus morale du monde".

La firme Adiv, spécialisée dans l’impression de T-shirts, casquettes et pantalons « à la carte », réalise une bonne moitié de son chiffre d’affaires avec les commandes personnalisées de militaires.

Il y a encore peu, les productions de la maison Adiv restaient « classiques », d’un point de vue militariste s’entend.

Un lieutenant ou un sergent passaient au magasin, et demandaient l’édition, pour toute une section de soldats démobilisés, de T-shirts arborant les armoiries de l’unité concernée.

Comme cela, les camarades du soldat Shalit –que l’armée israélienne n’a apparemment pas réussi à tuer, pendant le pilonnage de Gaza- pouvaient prolonger dans la vie civile leur statut d’hommes, de vrais, pas comme ces mauviettes de gauchistes qui refusent de porter les armes.

Mais un tank, un canon, un fusil orphelin au milieu du T-Shirt, c’est un peu ringard pour impressionner copines et copains, et un nombre croissant de militaires se sont découverts des talents créatifs.

L’imagination la plus morbide a alors pris le pouvoir. Les conscrits ayant subi la formation à la spécialité de « sniper » (tireurs équipés de fusils de haute précision, pour tirer de loin) ont apparemment été les plus enthousiastes, selon les résultats de l’enquête conduite par Uri Blau.

Un des T-shirts imprimés pour les snipers d’un régiment d’infanterie porte l’inscription « Pensez au préservatif », à côté du dessin d’une maman palestinienne pleurant devant le corps de son bébé. Un autre montre une femme palestinienne enceinte, dans la mire du fusil, et cette inscription : « Une balle, deux morts ».

Ou encore, cette bande dessinée où l’on voit un nourrisson palestinien, devenant ensuite un garçon lanceur de pierres, puis un adulte en armes, avec cette inscription : « Peu importe comment cela commence, c’est nous qui sifflons la fin de la partie ».

Il y a aussi un grand nombre de T-shirts illustrant les dérangements sexuels de ces hommes. Par exemple, le bataillon Lavi s’est fait faire un maillot où l’on voit un soldat israélien, à côté d’une femme au visage tuméfié, et la légende : « J’parie que tu t’est fait violer ». D’autres illustrent la pratique, démentie par l’Etat-major au mépris d’innombrables témoignages, qui consiste à achever les blessés dits ennemis (c’est-à-dire n’importe quel humain ayant le malheur d’être palestinien).

La pratique en vigueur consiste à tirer une balle dans la tête, à bout portant ou touchant, de la victime, et de rapporter ensuite à l’échelon supérieur « mort confirmée ! ».

Dans de nombreux cas, écrit Uri Blau, la commande des T-shirts est un processus collectif, conduit au sein même de l’armée, sous la supervision de sous-officiers ou d’officiers subalternes (du sergent au capitaine), et les dénégations de l’Etat-major manquent complètement de crédibilité, peut-on constater à la lecture du reportage.

Par exemple, le slogan “Toute mère arabe doit savoir que le sort de son propre fils est entre mes mains” avait été officiellement refusé dans une caserne. Mais un soldat de la brigade d’élite Givati confirme à Haaretz que sa section a acheté des dizaines de T-shirts, pantalons et vestes de treillis arborant la courageuse devise.

"On a aussi fait faire un modèle montrant un de nos soldats en Ange de la Mort, au-dessus d’un village arabe”, ajoute le soldat, rigolant encore au souvenir que l’ouvrier chargé d’imprimer ces horreurs chez Adiv était lui-même palestinien.

Et ce T-Shirt, édité en 2007, où l’on voit un enfant et la légende, « Plus c’est petit, plus c’est difficile », que doit-on en penser ? demande Blau.

“Ben, c’est un gosse, alors forcément, c’est un peu plus difficile moralement, mais cela veut aussi dire que la cible étant plus petite, elle est plus difficile à atteindre”, répond l’intéressé, sans malice.

Les militaires religieux, c’est-à-dire ceux des élèves des écoles rabbiniques qui acceptent de faire l’armée, ne sont pas en reste.

Y., que Blau a interrogé, est tout fier de son œuvre : un soldat ressemblant au gorille géant King-Kong du cinéma hollywoodien, tenant dans sa patte une mosquée écrabouillée.

« J’ai peiné sur ce dessin. Je voulais un personnage qui ressemble à King-Kong, mais pas trop quand même. Je voulais pas que son visage soit trop monstrueux, pour pas qu’il ressemble à une caricature antisémite. Je l’ai montré à des gens, qui étaient contre, parce que cela donnait une mauvaise image de l’armée. Mais moi, j’ai fait Gaza, et on n’a pas arrêté de nous dire que l’objectif de l’opération, c’était bien de démolir les infrastructures, alors je ne vois pas ce qu’il y a à redire à mon inscription ‘On est venus ici pour détruire’ », dit le soldat Y, avant de s’énerver contre le journaliste.

Et ainsi de suite. Incapables de triompher de la résistance palestinienne, y compris après les horreurs de Gaza, des soldats se sont “vengés” en éditant un T-shirt où l’on voit un vautour en train de violer le Premier ministre palestinien Ismael Haniyeh. « Le capitaine de notre compagnie n’était pas d’accord. Alors, on se contente de porter ce truc à l’intérieur de notre peloton », précise un des soudards.

Information complète obligeant, Uri Blau a également interrogé divers responsables, à commencer par le patron d’Adiv, Haim Yisrael.

“Le secteur militaire de mon activité s’est beaucoup développé au fil des ans. Maintenant, le moindre séminaire avec une quinzaine de participants génère une commande particulière », indique-t-il.

« C’est vrai, il arrive que des officiers froncent les sourcils, pour me dire que j’y vais quand même un peu fort avec toutes ces monstruosités sur les Arabes. Moi je leur réponds tranquillement que je dirige une entreprise privée, et que le client est libre de mettre ce qu’il veut sur les vêtements, ce n’est pas à moi de le censurer ».

Evyatar Ben-Tzedef, un ancien militaire de carrière, s’en tire avec une pirouette, et botte en touche. “De mon temps, ce n’était pas comme ça. Mais les temps changent, il y a aujourd’hui un manque de respect pour les êtres humains et leur environnement, c’est ainsi”.

L’officier Kaufman, responsable de la modération sur un site web de l’armée, fournit à Blau quelques descriptions supplémentaires, dont ce T-shirt montrant un garçonnet palestinien fuyant les soldats : « Arrête de courir, tu vas mourir fatigué », ou ce dessin d’un soldat israélien violant une fillette, avec le slogan « Pas de vierges, pas d’attentats terroristes ». « C’est moche, mais je dois avouer que cela m’a bien fait rire », se lâche Kaufman, avant de vaquer à ses occupations.

Passons rapidement sur les tremolos du porte-parole de l’armée, qui condamne, bien entendu, toutes ces atteintes à “l’éthique” de Tsahal, avant d’affirmer que les soldats font cela dans le cadre de leurs activités civiles. En substance, donc, « cela ne nous regarde pas ».

On laissera le dernier mot à un curieux personnage, le colonel de réserve Ron Levy.

L’homme avait fait son service militaire dans le Sayeret Matkal, une force spécialisée dans les assassinats (le Sayeret Matkal a ainsi participé directement au massacre de Sabra et Chatila), avant de devenir … chef du service de santé mentale de l’armée.

Pour ce « psychologue » couleur kaki, pas de doute, ce que font les soldats avec ces T-shirts, c’est un défoulement, parfaitement sain, de la violence et de la colère qui est en eux, généralement en dessous de la ceinture. « Cela reflète aussi le fait que ce qui est anormal aujourd’hui ne le sera pas forcément demain ».

La civilisation, on vous dit !

CAPJPO-EuroPalestine

Source : http://www.europalestine.com/spip.p...

Messages

  • A gerber....

    Une brunisation rapide et qui ne trouve plus de rambardes.

  • Cette armée vaut les soldats SS...Que dire ? Des dégénérés ? Et l’Europe la ferme ? Et l’ONU avalise ?
    Ces mecs sont des fous de Dieu, des fanatiques, leur état est un état religieux, sexiste, en gros ils sont devenus ce qu’était l’Afrique du sud de l’Apartheid, ça n’est pas demain que je remangerai un fruit venant de ce pays.

  • en décembre 2007 lors d’un séjour au laos ,constaté ( dans les guest house )la présence de jeunes israéliens récemment sortis des 2 ans de service obligatoire .
    Ils semblaient ailleurs !!!

  • rappel : Offensive à Gaza : brochure ultra nationaliste du rabbinat militaire

    extrait :

    Dans la brochure distribué aux militaires de l’armée israélienne :

    "faire un parallèle entre les Palestiniens d’aujourd’hui et les Philistins de la Bible" et donc Israël fait face à des "envahisseurs étrangers" qui n’ont aucun droit à la Terre promise.

    "La Torah nous interdit de remettre un seul millimètre (de la Terre d’Israël) à des non-juifs, que ce soient par des enclaves, des zones autonomes ou d’autres concessions manifestant notre faiblesse nationale"

    "Avoir pitié envers un ennemi cruel revient à se montrer cruel envers nos justes soldats (...) Nous sommes en guerre contre des assassins. A la guerre comme à la guerre"

    ET des groupes d’extrême-droite ont distribué sans entrave des tracts "appelant les soldats à ne pas tenir compte de consignes (de retenue) et de d’exterminer l’ennemi".

    et aussi, sur le site du Likoud de France : un discours de haine pure ; on peut parler de Nazis !

    Gaza doit pleurer

    http://www.likoud.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=58

    Ma confiance dans les actions de Tsahal et la détermination de nos combattants n’est pas exempte de méfiance envers ce gouvernement et les raisons profondes de notre intervention. Ceux qui ont accepté le transfert forcé des Juifs du Gouch Katif, la destruction des implantations sionistes sur la Terre d’Israël sans mentionner la deuxième guerre du Liban, ne me paraissent pas les mieux placés pour sauvegarder notre avenir. L’opération actuelle de Tsahal aurait du être réalisée dès le tir du premier Kassam. Autoriser dans l’impavide attente qu’un deuxième missile soit tiré contre Sderot a ouvert la voie au lancement de 8000 missiles sur toutes les villes avoisinant Gaza. Le soutien à l’opération "Plomb durci" qui est sans réserve ne doit pas empêcher de considérer que les préoccupations électorales des trois personnages déjà cités ont peut être pesé autant que le souci longtemps oublié de défendre la population d’Israël, de restaurer notre force de dissuasion et rétablir notre honneur national.

    La certitude que notre opération militaire sera couronnée de succès est tempérée par la crainte que les decisions politiques risquent une fois de plus de priver Israël d’atteindre les buts recherchés.

    Mon inquiétude provient du fait que certains dans l’actuelle équipe dirigeante étaient prêts à un nouveau cessez-le-feu avec les terroristes arabes et c’est finalement l’ennemi qui nous a poussé à la seule option restante qui aurait du être la première réalisable. Si le but de la guerre en cours est d’obtenir un cessez-le-feu, ce ne saurait être qu’une trêve plus ou moins longue. La tumeur à sa naissance peut être traitée par une intervention circonscrite mais laisser la tumeur se développer et devenir un cancer généralisé nécessite une opération définitive.

    Le but d’une guerre ne peut en aucun cas être un cessez-le-feu. Il peut être la reconquête d’un territoire et il doit être la victoire sur l’ennemi, sa reddition et la destruction de toute possibilité adverse de nuire. L’ennemi doit subir une défaite telle que même l’imaginaire arabe ne puisse en faire une victoire. Si après la trêve, une seule roquette Kassam est encore tirée depuis Gaza, les terroristes verront la situation comme une victoire. Certes, on nous présentera un éventuel cessez-le-feu comme garantissant la sécurité des habitants du sud d’Israël et on nous affirmera encore une fois qu’au moindre missile, nos forces interviendront !

    Pour que notre victoire soit réelle et efficace, un sentiment de défaite et de désespoir doit submerger Gaza et tous ses habitants. Ils doivent ressentir la perte non seulement de leurs "martyrs" qui partent retrouver les vierges au paradis, mais la douleur de la vie quotidienne comme résultat de leur soutien au Hamas et de leur haine viscérale d’Israël.

    La guerre contre des barbares assoiffés de sang ne peut être soumise à des lois civilisées. Nous menons un match de boxe anglaise où nous respectons des règles strictes avec une main liée derrière le dos par le regard attentif d’un arbitre partial face à des équipes qui utilisent pieds, poings et armes. Ils tirent sur nos villes et nous ouvrons des passages "humanitaires" pour leur fournir de quoi s’alimenter et se soigner. Ils utilisent les ambulances, les écoles et les mosquées comme lieux de guerre et nous veillons à organiser des frappes "chirurgicales" précises.

    Nous devons stopper tout convoi "humanitaire" et n’autoriser exceptionnellement leur passage qu’en échange de Guilad Shalit vivant et en bonne santé. Que la population de Gaza meure de faim et sache que c’est par la faute du Hamas si ce dernier ne veut pas libérer notre prisonnier.

    Il est certain qu’une victoire ne s’obtient que par l’entrée de forces terrestres sur l’espace tenu par l’ennemi. Il est pourtant regrettable de voir nos soldats risquer leurs vies pour conquérir des bâtiments et les fouiller. Que l’aviation et les bulldozers rasent des agglomérations serait préférable et que nos journalistes cessent de parler de victimes innocentes gazaouies. Ils ont voté Hamas, défendu le Hamas, participé aux manifestations de haine, ont lancé des cris de joie pour chaque attentat criminel réussi. Ils ne sont pas plus civils et certainement pas plus innocents que les habitants d’Hiroshima ou de Dresde.

    Nous devons également clairement déclarer que ceux qui font moult moulinets et s’agitent au Proche Orient pour établir un cessez-le-feu font un acte parfaitement inamical. Certains personnages politiques ne le comprennent pas encore en Europe. S’il faut attendre qu’un Kassam ou une Katioucha soit tiré de Barbes ou de Seine Saint Denis sur l’Opéra ou le Trocadéro à Paris pour qu’ils comprennent, prenons patience. Il n’y a pas longtemps à attendre !

    Si le Hamastan persiste après la guerre, ce sera un exemple suivi par les terroristes arabes dits "modérés" de Judée Samarie. Ce sera surtout un encouragement à la cinquième colonne arabe en Israël qui possède la nationalité israélienne. Il est impensable de continuer à permettre à des étudiants arabes parvenus dans nos universités à Jérusalem et Haiffa grâce à la discrimination positive, de manifester en faveur du Hamas. La preuve est faite que ces ennemis de l’intérieur qui prennent la place des enfants d’Israël, qui bénéficient de tout ce que notre société démocratique et parfois masochiste leur accorde, ne deviennent pas des adeptes de la coexistence comme le pensaient nos doux rêveurs. Ils deviennent nos pires adversaires car, nous connaissant parfaitement, ils exploitent notre amour de la liberté contre nous. Ces étudiants et ces manifestants arabes contre notre armée doivent être traités sans ménagement et expulsés du pays.

    Toute autre attitude que celle d’une absolue fermeté sur tous les fronts est interprétée par les arabes comme des signes de faiblesse et attise leur espoir de pouvoir nous détruire. Si nous sommes partis du Gouch Katif et avons détruit toute présence juive sioniste, si nous avons crée une zone d’Israël "judenrein", pourquoi ne quitterions nous pas Sderot, Ashkelon ou Ashdod ? Notre prochain gouvernement devra proclamer que le temps des concessions est définitivement révolu et alors, peut être aurons nous la possibilité d’un avenir de sécurité.

    Israël et le peuple Juif se retrouvent une fois de plus aux avant-postes de la guerre contre la barbarie et le terrorisme. Israël et le peuple juif doivent vaincre.

    C’est pourquoi Gaza doit pleurer. Pas faire semblant pour les télévisions étrangères mais réellement. Gaza doit pleurer des larmes de sang.

    Jacques Kupfer

    et encore, dans ce communiqué, rien de moins que l’extermination des Palestiniens de Gaza !

    http://www.likoud.fr/index.php?option=com_contenttask=viewid=51

    Hier c’étaient les villes du Nord d’Israël qui étaient la cible des fusées du Hezbollah démontrant l’incompétence d’un gouvernement inepte qui a réduit à néant notre force de dissuasion.

    Désormais c’est dans le Sud que notre pays est attaqué. Une pluie de centaines de Kassams s’abat sur Sderot et les environs de la bande de Gaza. Pourtant pour le trio Olmert-Livni-Peretz sans parler du fauteur d’Oslo, seule la région de Sderot est déclarée "zone de conflit", nous ne sommes pas en guerre puisqu’on peut sereinement se baigner à Ramat Aviv et Herzlia. Les criminels ne sont que les "extrémistes" du Hamas et du Djihad Islamique. La population arabe de Gaza vit aussi paisiblement que d’habitude. Elle est constituée de civils à qui nous devons continuer notre assistance en eau, électricité et en travail !

    Nos spécialistes militaires nous expliquent qu’une opération terrestre coûterait de nombreuses vies, qu’une opération aérienne ne suffirait pas à arrêter les tirs. Nous payons ainsi le prix du sang pour nos erreurs depuis Oslo, pour notre honteuse fuite du Liban et pour notre criminelle destruction du Gouch Katif.

    Le problème essentiel dans une guerre est de définir l’ennemi et de déclarer l’état de guerre. Ces roquettes sont tirées par l’ennemi "palestinien" (puisque c’est ainsi que nos gauchistes l’ont inventé et dénommé et qu’il se qualifie lui-même).

    Il n’y a pas de civils innocents dans la bande de Gaza mais seulement des terroristes qui ont voté Hamas. Ce vote signifie une volonté claire de détruire l’Etat d’Israël et de massacrer les Juifs. Le bulletin de vote Hamas est une agression délibérée contre Israël. Le vote Fatah ne vaut guère mieux à notre encontre (et les hordes du chef de l’Autorité palestinienne tournent les armes que nous leur avons fournies contre nous dès qu’ils en ont la possibilité) mais au moins celui du Hamas est une volonté affichée de ne pas jouer la mascarade hypocrite des négociations. Le message envoyé par les arabes de Gaza est donc évident : des Kassams sur Israël, une préparation de guérilla sur le modèle réussi du Hezbollah et la volonté de toucher demain Ashdod, Ashkelon…

    Il est vrai qu’à force de considérer comme une bagatelle routinière le miracle incessant de tirs qui tombent dans le Néguev "sans dommage", on ne pouvait que les inciter à ajuster leurs tirs. Car en fait, le premier obus arabe tombé dans le désert aurait dû nous faire réagir immédiatement. Il y a dommage, dommage à la Terre d’Israël et dommage à l’honneur de notre Etat. Il s’agit d’un mot qui n’existe pas au singulier dans les couloirs de ce gouvernement mais uniquement au pluriel. Et en ce qui concerne "les honneurs", la bande Olmert est spécialiste.

    Les arabes de Gaza ne comprennent pas la langue hébraïque qui s’orne des mots "retenue", "civils innocents", "tirs ciblés", "destruction d’infrastructures uniquement terroristes"…Tous ces termes en arabe se traduisent par faiblesse et soumission.

    Le moment est donc venu de leur parler en arabe. Il faut en informer le monde entier. Après tout, une vie juive vaut bien quelques complications diplomatiques.

    Parler arabe signifierait par exemple que si nous vivons sous le feu des fusées arabes, les arabes vivront sous le feu de nos fusées. Nos civils sont touchés et en conséquence, nous considérons qu’il n’y a plus de civils chez nos ennemis.

    De la même manière, pour chaque Kassam tiré contre notre territoire ou même tiré vers notre territoire, Tsahal envoie dix fusées sur Gaza et Djebalya. Le monde hurlera et les assassins du Hamas tireront de nouvelles salves de Kassam. Pour chaque Kassam, Israël ripostera en tirant vingt fusées sur Khan Younes, Gaza … Dans un bref laps de temps, les arabes auront compris ce langage et lapideront tout terroriste qui provoquera autant de dégâts chez eux. Apres avoir enterré leurs pertes, ils supplieront d’obtenir un cessez le feu et la leçon sera profitable pour l’avenir de nos relations. C’est ce qui s’appelle parler arabe…

    En fait, pour mettre un terme au conflit, il faudrait peut être imiter les Alliés durant le seconde guerre mondiale. Les allemands de Dresde étaient des civils. Les Japonais de Hiroshima et de Nagasaki étaient "innocents", bien plus que les arabes de Gaza. Les bombes alliées les ont réduit à néant à juste titre et mis ainsi fin au conflit.

    Et si nous leur parlions en arabe !

    • Les Israéliens sont atteints d’autisme. Ils ne voient pas que c’en est fini de l’invincibilité de leur armée, ils ne voient pas les objecteurs de conscience et les jeunes recrues qui sortent détruites des opérations militaires. Ils ne veulent pas voir que la haute technologie militaire ne leur est d’aucune utilité puisqu’ils auront à combattre les ennemis du sionisme jusqu’à la fin des temps. Quel est ce pays perpétuellement en guerre où les jeunes sont régulièrement convoqués pour faire les couillons sous l’uniforme, un pays dont la moitié nord doit se terrer dès qu’une katioucha est tirée du sud Liban, et dont la moitié sud vit constamment dans les abris puisqu’il tombe encore deux roquettes par jour sur les villes du sud ?
      Nous avions suivi l’OLP lorsqu’elle a reconnu Israël. Mais maintenant, nous savons que l’Etat sioniste n’est pas viable sans ennemi extérieur et que la fin des dégénérés est inéluctable grâce à la convergence du combat des Israéliens de l’intérieur et des 2 milliards d’êtres humains qui ne tolèreront jamais que l’actu de cette région du monde soit faite par les dégénérés et leurs chefs.

    • et on voir que la france apruvent cette gouvernement,et les geste barbare quel honte ,la france don un apoui incondetionnel a cette gouvernement, les francaise doit se reveiller