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Le pistolet sur la tempe des Banques Centrales

Publie le mardi 1er décembre 2009 par Open-Publishing
2 commentaires

La demande d’audit de la FED US,en examen au Congres US, risquant d’aboutir prochainement, les operations de rachat des”actifs pourris”des Banques s’accelerent.

Bernanke inquiet des attaques du Congrès contre la Fed

http://www.dedefensa.org/article-bernanke_inquiet_des_attaques_du_congres_contre_la_fed_01_12_2009.html

L’episode sanglant de l’attentat et du meurtre du banquier central russe mort dans l’express pour Moscou il y a quelques jours a t il declanché la crise panique en cours ?

11:54 GMT, Nov 28, 2009

Matviyenko confirms deaths of two high-ranking federal officials intrain crash

ST. PETERSBURG. Nov 28 (Interfax) - St. Petersburg Governor
Valentina Matviyenko officially confirmed that Sergei Tarasov, the board
chairman of the Russian Federal Road Agency (Rosavtodor) and a former
Federation Council member representing St. Petersburg, and Russian
Federal Reserve Agency (Rosreserve) chief Boris Yevstratikov were killed
in the crash of the Nevsky Express train on the evening of November 27.

"Sergei Borisovich [Tarasov] was killed on the spot, and his body
was found later.

In addition, the death of Rosreserve chief Boris
Yevstratikov has also been confirmed," Matviyenko told journalists.

Matviyenko expressed her condolences to Tarasov’s and
Yevstratikov’s relatives and beloved ones. "This is our common pain and
common loss," she said

http://www.interfax.com/3/533033/news.aspx

Apres le geste de la Banque Centrale du Japon,La FED :

AIG réduit sa dette de 25 mds USD en cédant des actifs à la Fed de New York

NEW YORK, 1 déc 2009

L’assureur américain AIG, nationalisé fin 2008, a annoncé mardi avoir réduit de 25 milliards de dollars sa dette envers la Fed de New York en lui cédant en échange une part de ses filiales ALICO (assurance-vie aux Etats-Unis) et AIA (assurance-vie à l’international).

AIG a en outre précisé qu’il accélérait le processus de séparation de ces deux branches en les plaçant dans des structures indépendantes, afin de préparer soit leur entrée en Bourse, soit leur cession à des tiers.

L’assureur ramène ainsi sa dette envers la Fed de New York à 35 milliards de dollars au lieu de 60 milliards.

Ce n’est qu’une partie de son endettement vis-à-vis des pouvoirs publics : fin septembre AIG devait encore rembourser près de 121 milliards de dollars sur les 182 milliards apportés par les pouvoirs publics pour le sauver de la faillite.

Dans l’opération AIG avait été nationalisé à hauteur de 80%.

Depuis, pour commencer à rembourser ses dettes, AIG a vendu plusieurs actifs et retiré 5,6 milliards de ces cessions entre janvier et octobre 2009.

En juillet, il avait regroupé sous sa marque ALICO ses activités d’assurance-vie et indiqué qu’il privilégiait la voie d’une introduction en Bourse de cette branche, sans écarter d’autres options.

AIG a précisé que la Fed de New York avait reçu pour 16 milliards de dollars de parts d’AIA et pour 9 milliards de parts d’ALICO, sans dévoiler le pourcentage du capital correspondant.

http://www.agefi.com/Quotidien_en_ligne/News/index.php?newsID=233769&PHPSESSID=a2fe51d2d0c3ab509cbe377698770053

Messages

  • Ce que Obama ne dira pas dans son discours de ce soir :

    November 26, 2009

    Obama Orders 1 Million US Troops To “Prepare For Civil War”

    By : Sorcha Faal, and as reported to her Western Subscribers

    http://www.whatdoesitmean.com/index1302.htm

    Obama ordonne l’augmentation du nombre des troupes aux USA à un million en préparation à « une guerre civile. » !

    Les analystes de l’armée russe annoncent au Premier Ministre Putin que le Président Barack Obama a recommandé à l’attention du chef de son commandement supérieur au nord des États-Unis (USNORTHCOM), le général des forces aériennes, Gene Renuart, « de commencer immédiatement à accroître » ses forces armées jusqu’à un million de troupes d’ici le 30 janvier 2010. Ces rapports mettent en garde contre le déclenchement d’une guerre civile aux États-Unis avant la fin de l’hiver.

    Si Obama renonce à notre souveraineté et à notre liberté et fait intervenir des troupes étrangères pour supprimer notre liberté, serez vous prêt à combattre ?

    D’après ces rapports, Obama a tenu de « nombreuses » réunions ces dernières semaines avec son conseil de guerre pour trouver des moyens les plus fiables de gérer l’imminente implosion du système bancaire de son pays, essayant en même temps de gérer l’hégémonie militaire des États-Unis à travers le monde dans ce que nomme les analystes de l’armée russe une « tactique désespérée » dont le succès est « loin d’être certain ».

    Aux « tactiques désespérées » d’Obama, ces rapports ajoutent qu’il prononcera un discours à l’attention de tout le peuple américain la semaine prochaine. Il fera part de son action qui vise accroître le nombre de ses forces armées, en Afghanistan à des dizaines de milliers de troupes. Il entreprend au même moment de se servir de ces soldats déployés comme un prétexte pour renvoyer aux États-Unis plus de 200 000 soldats repartis dans le monde sur plus de 800 bases situées dans plus de 39 pays. Ceci ramène le nombre de ces forces américaines à un million de personnes, soit un nombre qui pourrait, pense l’armée américaine, contenir « l’implosion de violence » qui perturbera ces personnes lorsqu’elles apprendront que leur économie a fait faillite.

    Ces rapports montrent par la suite qu’au moment où Obama essaiera de mettre sa nation hors de désintégration violente, des dizaines de milliers de troupes additionnelles envoyées en Afghanistan devraient être affectées au Kandahar. Dans cette région, les américains et leurs alliés de l’OTAN commenceront leur dernière intervention en faveur de la sécurisation de leur oléoduc TAPI (Turkménistan, Afghanistan, Pakistan et l’Inde). Sans cette intervention, les pays occidentaux, du fait de la pénurie de ressources énergétiques diverses, et de leur incapacité à accéder aux importantes fournitures en provenance de l’Asie centrale (tellement prisé par la Russie et la Chine), pourraient totalement se ruiner.

    Les résultats recueillis auprès de l’Agence internationale d’énergie rend la situation des Etats-Unis (et par extension celle de l’occident) plus compliquée. D’après cette agence, « sous la pression » du gouvernement américain, ils ont eu à « minimiser délibérément » l’imminente pénurie mondiale de peur de susciter la panique et de provoquer la crainte de la fin de la suprématie pétrolière américaine car cette situation mettrait en danger notre puissance sur le reste des ressources pétrolières mondiales.

    Les manœuvres les plus effrayantes de la « fin de la partie » effectuées par Obama dans sa tentative de protection de l’hégémonie mondiale américaine, est sa démarche stupéfiante en vue d’empêcher que les États-Unis encaissent davantage une autre dette de 3,5 billions de dollars. Cette somme pourrait accroître la somme totale des dettes américaines, envers ses citoyens et le monde entier, à la somme inédite de plus de 106 billions de dollars.

    Les démarches d’Obama se sont avérées si infructueuses (surtout qu’elles sont imitées par toutes les puissances occidentales) que le directeur général du Fonds monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Khan, a mis en garde la semaine dernière contre « les motivations » de l’occident qui sont (à priori ne constitue rien d’autre que l’impression des billets sans aucune mesure de sauvegarde), devenus à présent une « menace pour la démocratie ». Il faut retenir que des millions de personnes devraient désormais se révolter contre les gouvernements à cause du vol de leur argent et de leur avenir.

    Malheureusement pour les américains, les mises en garde du FMI n’ont pas été entendues aux États-Unis avec le président de la Federal Reserve Bank de St Louis, James Bullard, qui déclarait cette semaine que les États-Unis continueront leurs « motivations » car elles « donneront plus de flexibilité aux décideurs américains ». Il s’agit là de la déclaration la plus absurde, qui surgit au moment où les règlements de la dette jusqu’ici inconnus menacent l’économie américaine et qui sont incapables de payer quoi que ce soit.

    En ce qui concerne la capacité des plus grandes banques occidentales à sauvegarder les économies de leurs pays, des informations plus déconcertantes selon lesquelles le géant Standards & Poors, la plus grande agence de notation demande à ce que « toutes les banques du Japon, des États- Unis, de l’Allemagne, d’Espagne, et d’Italie, et celle inclues dans la liste des 45 prêteurs mondiaux de S & P, demeurent vulnérables ». Une mise en garde qui influence la Société générale dans l’avertissement de ses clients contre une « chute économique mondiale totale ».

    Alors qu’Obama craint le déclenchement d’une guerre civile aux États-Unis une fois que le pillage et la violence faite à ces personnes par leurs banques et gouvernements leur parviendrait, de nombreuses preuves expliquent la probabilité que cette situation arrive plus tôt que prévue, surtout dans les nouveaux sondages qui démontrent que la cote d’Obama chez les blanc américains a chuté de 39%. Un nombre devenu très important lorsqu’on constate que la population blanche des États-Unis est constituée de 74% de ses 398 millions de citoyens, ou comme le prouve de façon inquiétante ces rapports : « plus de 220 millions d’américains armés jusqu’aux dents et prêts à exploser ».

    Apeurée. C’est ainsi qu’est devenue la population blanche américaine. De par l’élection d’Obama à la présidence, il a été nommé « le vendeur d’armes de l’année » par Outdoor Wire, la plus grande entreprise d’actualité électronique quotidienne des États-Unis en ce qui concerne les entreprises étrangères qui « craignent l’achat » d’armes et de munitions par des personnes qui ont peur de la destruction de leur pays par l’homme qu’elles disent ne pas être un citoyen américain, et qu’elles ont été obligées d’accepter du fait du vote effectué par leurs élites cherchant à leur rendre esclaves.

    Malgré l’ignorance de l’imminente guerre civile qui s’annonce aux États-Unis par les propagandes médiatiques, il n’en demeure pas pour autant en ce qui concerne la Russie, où le principal politologue russe, le Professeur Igor Panarin a longtemps annoncé que les turbulences économiques aux États-Unis ont confirmé ses opinions sur une chute imminente qui déclenchera une séparation.

    Le Professeur Igor Panarin ajoute par ailleurs que « le dollar américain est très vulnérable. Les dettes étrangères du pays ont augmenté comme une avalanche, bien qu’au début des années 1980 il n’existait pas de dette. A partir de 1998, lors de mes premières prévisions, elles ont excédé 2 billions de dollars. A présent, elle s’élève à plus de 11 billions. C’est une pyramide qui ne peut que s’effondrer ».

    Il reste à savoir, et ces rapports ne s’attardent point à ce sujet, si les citoyens soldats des États-Unis mettraient le feu et tueraient leurs compatriotes au cours du prochain conflit, mais si nous suivons le cours de l’histoire, tel sera le cas si la puissante nation américaine continue son plongeon dans l’histoire.

    Que Dieu ait pitié d’eux tous.