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Emirats : les Bourses de Dubaï et d’Abou Dhabi ouvrent en baisse.

Publie le mardi 8 décembre 2009 par Open-Publishing
2 commentaires

La Bourse de Dubaï baissait de près de 5 % au cours des premiers échanges de la journée de mardi, et celle d’Abou Dhabi de 1,5 %, confirmant la tendance à la baisse de la veille.

L’indice DFM de la Bourse de Dubaï perdait 4,65 % à 1.663,79 points, une demi-heure après l’ouverture du marché, et celui d’Abou Dhabi, l’ADX, baissait de 1,51 % à 2.587,21 points.

Lundi 7 décembre, Dubaï avait clôturé en baisse de 5,84 %, avec un effondrement du titre du géant immobilier Emaar.

Emaar, la valeur vedette du marché, avait perdu jusqu’à 10 %, le maximum autorisé pendant une séance de cotation. Abou Dhabi, l’autre marché des Emirats arabes unis, avait limité les pertes avec une baisse de 1,73 % à 2.626,95 points.

Ces pertes faisaient suite à des commentaires sur la vente probable d’actifs par le conglomérat public Dubai World pour honorer sa dette, dont une partie vient à échéance lundi.

En début de semaine dernière Dubaï avait perdu 12,5 % de sa valeur en deux jours de réouverture, après l’annonce des difficultés financières de l’émirat. Abou Dhabi avait, pour sa part, reculé de 11,6 %.

http://www.agefi.com/Quotidien_en_ligne/News/index.php?newsID=234248

Messages

  • Les mega banques toujours gagneantes, a la baisse comme a la hausse ;

    L’actualité de la crise : le high frequency trading, expression de la modernité financière, par François Leclerc
    Publié par François Leclerc dans Economie, Monde financier

    Billet invité.

    LE HIGH FREQUENCY TRADING,EXPRESSION DE LA MODERNITE FINANCIERE

    Ces mois de crise qui n’en finissent pas, et ne sont pas prêts de le faire, auront déjà été l’occasion de multiples et étonnantes découvertes. Non pas en raison de l’attitude de ses principaux acteurs – sans surprise, la plupart d’entre eux restant rigoureusement dans leur rôle – mais à cause de l’inventaire en cours des petites merveilles que contient la boîte à outils de la finance, désormais que son couvercle est un peu ouvert.

    Il est devenu courant, parfois même dans les milieux bien-pensant, d’évoquer la partie fantôme du monde de la finance et de reconnaître qu’un secteur important de celle-ci échappe, faute d’être à ciel ouvert, à toute inventaire. De la même manière que l’on s’est mis à parler de l’économie réelle, comme si une partie d’entre elle ne l’était pas.

    Des esquisses de la finance fantôme peuvent commencer à être tracées, en s’appuyant sur de premiers repères : centres non coopératifs (paradis fiscaux), structured investment vehicles (structures de parking d’actifs), hedge funds (mercenaires de la finance), etc…

    On parvient à distinguer dans ces coulisses dépourvues de tout éclairage un petit monde assez mystérieux qui actionne toute une machinerie complexe aux rouages qui nous dépassent. Jouant de commodités semble-t-il d’autant plus décisives qu’elles restent dans l’ombre. On finit par pressentir que le monde visible de la finance a un double qui ne l’est pas, et qui joue pourtant un rôle fonctionnel. Etablissant le parallèle avec le double langage que les membres de sa confrérie pratiquent couramment, s’étant donné entre initiés des raisons d’être distinctes de celles qu’ils affichent pour la galerie (soutenir l’économie).

    Tout ceci n’est pas sans alimenter une abondante production fantasmatique. Ou alimenter une profonde méfiance, davantage justifiée. Imposant de garder résolument ses pieds sur terre !.........

    http://www.pauljorion.com/blog/?p=5574#more-5574

  • Et alors !!! Si on inventait autre chose que le capitalisme....A la limite les banques de Dubaï machin et compagnie on s’en fout si ce n’est qu’il faut détruire ce système car qu’il soit à la baisse ou à la hausse il est principalement néfaste pour le bien du simple citoyen. Parlons donc d’autres choses....