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NOS RETRAITES

Publie le samedi 19 décembre 2009 par Open-Publishing
8 commentaires

Il va tt de mme falloir "leur expliquer"que si ils envisagent de toucher à nos retraites, on pourrait bien se mettre en petard, je m’explique.
J’ai cotisé depuis l’age de 15 piges, comme larbin ds le Batiment , puis ensuite, comme employe de bur au chaud, chez Martini, puis encore, comme comptable, chez ces enc... d’alcatel, ou ils me firent la grace de me nommer cadre car je devais pas etre trop mauvais, et ils cotiserent, tt comme moi .
Depuis 1978, je cotise aux "cadres" de merde , vu le prix auquel j’ai acheté le point et le prix que vaut le point aujourd’hui, je me suis bien fait "mettre".
Cadre depuis 1978, bien cotisé, tt à fait bon connard, je totalise 35000 pts, au taux fixé par l’agirc, plus la co lementairede merde de l’arrco, et la secu, j’aurais juste : 2600 euros nets, une merde, alors que j’i eu des rem de plus 100000 euros/an qd je bossais, dont l’essentiel etait indexé sur mes commmissions, c’est une arnaque !!!!

L’arnaque est la suivante, le prix du point de cadre, à l’achat, est haut(salarie, plus employeur), et la valoisation du point quand on part, ne cesse de diminuer.
.
De ttes facons , les toliers ne veulent plus de cadres.
Voyez un peu, chez CAP GEMINI, BOITE francaise, creee en 69,
20000 salaries en france et 21000 en ....Inde, vive la vie.
Et qui dirige CAP GEMININI, l’ancien dircab de strauss-khan, ou est l’ennemi ?
L’ennemi, c’est le pognon , c’est leur Bourse,qui n’est pas notre probleme, qu’ils crevent de leur blé.
Salut, mes vieux potes.

Messages

  • Une pensée pour les jeunes salariés, chômeurs (et autres), qui ne sont même pas certains de bénéficier d’une propre retraite quand ils auront atteint l’âge.

    Au vu de la dette publique que nous devrons payer (des centaines de milliards d’euros) et dont le remboursement ne bénéficiera même pas à la nation, ne comptez pas sur nous autres pour pleurer sur votre sort.

    Où étaient-ils, tous ces vaillants travailleurs, quand le droit du travail se faisait régulièrement démanteler tout au long de ces années ? Où étaient-ils, ces chefs syndicaux trop occupés à défendre leur propre position, alors que les travailleurs perdent chaque avantages sociaux QUE VOS GRANDS-PARENTS, ARRIÈRES GRANDS-PARENTS ONT SI PÉNIBLEMENT ACQUIS POUR EUX ET LEURS DESCENDANTS !!!!

    Au prix du sang versé, je trouve que les travailleurs des temps anciens étaient d’une autre trempe que ceux d’aujourd’hui.

    Dernièrement, une partie de la RATP est en grève ; POURQUOI PERSONNE NE LES SUIT ?!! Vous avez tous plein d’occasions de faire avancer la lutte sociale... Et vous ne les saisissez même pas.

    Alors ne comptez pas sur nous pour gémir sur vos malheureux 2600 euros net.

    ... Après tout, la crise va s’achever par la mise en faillite du pays. *ton amer*

  • 2600 euros nets, c’est pas mal !

    moi je devrais plafonner à 1000 euros au mieux...

  • Ben merde !!! 2 600 euros nets... C’est loin d’être même le salaire (par exemple) d’un instit’ en toute fin de carrière (et encore en activité) qui a signé son contrat initial à l’âge de 15 ans en 1968 !!!

    • Effectivement , je suis prof des écoles en retraite(prof des écoles par liste d’aptitude)
      depuis juin 2007, et je touche aujourd’hui 1700 euros nets. Pas de quoi pavoiser.J’ajoute que j’ai validé 35 annuités.
      Voilà , à vous de juger

    • suite de mon message précèdent :
      J’ajoute que la reforme des retraites Fillon m’a fait perdre environ100 euros par mois.
      Que 2600 euros nets de retraite , mais si cela apparait confortable , ne me semble pas exorbitant.J’estime que les salaires en France sont trop bas du bas en haut de l’échelle et qu’une retraite minimale permettant de vivre devrait être au moins de 1700/1800 euros nets.Beaucoup de gens en sont très loin.Et pourtant l’argent existe en france pour amener les retraites à ce niveau.Des syndicats et partis politiques demandent le smic à 1600 euros. Le dèbat est ouvert.

    • Le débat est ouvert ?

      Pas tant que ça !

      Surtout, pas de débat sur ce sujet avant les élections régionales. Le seul débat qui vaille est celui de l’identité nationale. Au moins , on ne débat pas de la crise, des retraites, du chômage et des difficultés financières de la majorité de la population...

      Et puis, certains à "gôche" ne sont pas très clairs sur le sujet et préfèrent l’ignorer.

      Dans quelques mois, Chérèque et quelques syndicats réformistes, après un petit geste du gouvernement, se disputeront le stylo pour signer.

      Et la CGT que fait-elle ? Ou plutôt la direction de la CGT que fait-elle ?

      Pour le moment, pas grand chose. Les militants semblent décidés à ne pas se laisser avoir comme en 2003.

      Mais la direction ?

      Ben, la direction sait que le sujet des retraites va se jouer très très vite, après les élections régionales et avant l’été, de façon à casser tout mouvement social qui pourrait justement se réveiller sur le sujet.

      Sachant cela, que fait la direction ? Anticipe t-elle pour mettre au cœur du débat le sujet des retraites afin qu’il devienne incontournable dans les mois qui précèdent les régionales, afin que chaque formation politique soit obligée de se positionner ?

      Et bien, non. Même la direction de la CGT qui connaît parfaitement le calendrier à venir ne se saisit pas du dossier pour faire pression. Comme les autres, elle attend, et proposera surement quelques randonnées pédestres en avril puis juin. Et c’est tout.

      Parce qu’après, ce sera trop tard...

      C’est maintenant qu’il faut s’emparer de ce débat, pas dans quatre mois !

      J’espère que la base de la CGT saura "réveiller" la direction et tout l’appareil syndical avant qu’on nous rejoue la scène ultime de l’accompagnement syndical comme à Marseille, le 13 mai 2003 où B. Thibault avait mis un terme au mouvement social en décrétant qu’il n’y aurait pas de grève générale...

      Jak

  • Sage-femme, 40 annuités, ayant navigué du privé au public du public au privé ( pour suivre mon mari) à une époque où Mr Barre pronait la mobilité je me retrouve avec une retraite de 1500 euros/mois. Si j’avais fait toute ma carrière dans le public je toucherai 1950 euros/mois. J’ai également 3 enfants qui n’ont pas été pris en compte pour le calcul de ma retraite fonction publique hospitalière grace à mrs CHEREQUE et FILLON. Commes les sages-femmes le disaient en 2001
    c’est "niquée" par devant et par derrière. F.FURBY