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Affaire / UIMM : Le MEDEF finance 600 millions d’euros pour tricher

Publie le vendredi 19 octobre 2007 par Open-Publishing
3 commentaires

Le journal le Parisien, révèle ce matin, que la caisse noire de l’IUMM,
la plus puissante fédération du MEDEF, s’élève à 600 millions d’euros.
Le patronat dispose donc à sa discrétion personnelle d’une somme
extorquée aux salariés de la métallurgie qui représente 600.000 SMIC
pour « fluidifier » selon ses propre termes le « dialogue sociale ».
Nous sommes face à un gigantesque scandale qui atteint désormais des
proportions complètement hallucinantes.

L’implication du MEDEF, dans cette probable affaire de corruption,
 Laurence Parisot parle même « d’affaire de famille »-, est un des plus
gros scandale que la France ait connu, du même niveau que celui de
l’Affaire Urba qui concernait à l’époque le financement politique.

A l’heure ou le patronat avec l’aide du gouvernement s’acharne à
détruire méticuleusement les droits sociaux des salariés en s’attaquant
à ce qui fonde le modèle sociale français, il est temps que la lumière
soit faite sur les tenants et aboutissants de toute cette affaire. Lors
de son université d’été du MEDEF, Laurence Parisot avait invité son
organisation à « jouer le jeu ». On sait désormais qu’il sagit d’un jeu
truqué quand on dispose pour miser de plus de 600 millions d’euros !

Parti communiste français

Paris, le 18 octobre 2007.

Messages

  • Nous avions été habitués par le passé et dans des cas similaires de financements douteux ; a la demande , a la création et mise en place de commission parlementaire, demande en général émanant de l’opposition du moment. Dans le cas présent il est assoudisant le silence radio de la part des partis (pris ou non pris !) en opposition. Le silence de tout ce staff n’en est que plus inquiétant. Depuis plus d’une semaine que le sujet fait les unes quotidiennes, chut silence on tourne ! ou on y retourne ? Trés troublant tout ce binsche ?

    Skapad

  • POUR MEMOIRE :

    IUMM FLUIDES OU FUITES !
    16 octobre 2007 - 19h05 - Posté par 86.***.227.***

    IL FALLAIT LIRE UIMM, pas un d’entre vous n’avait vu l’inversion ! plus préoccupé a taper sur la cfdt, ici je l’écris en tout petit vous avez remarquer, dans peu de temps peut etre que je ne l’écrirais plus du tout ! va savoir, ça peux devenir dangereux d’etre inscrit chez ces achetés ? Non.

    IUMM, Institut des Uluberlus Machiavelliques et Mafieux.

    Sacré nous, va ! Ce disputer pour des « cocos »* pareils, c’est pas très malin, ça c’est a cause de Chérèque et sa bande de métèques. Salut les poteaux

    * n’y voyez aucune allusion malveillante, sinon on repart pour une engueulade électronique.

    Skapad

    IUMM FLUIDES OU FUITES !
    16 octobre 2007 - 19h35 - Posté par 86.***.36.***

    POUR RELIRE UN PEU DE VERITE ECRITE ET CRITIQUE !

    « cette usure du syndicalisme français, n’est en rien de la responsabilité des dirigeants ou encore moins des militants syndicalistes, cette usure et ce discrédit est de la responsabilité de tous les citoyens, qui réclament de la participartion démocratique six mois avant les élections et depuis qu’es qui ce passe »

    voilà ce qu’il a écrit par lacheté ou l’acheté ? Skapad

  • IUMM FLUIDES OU FUITES !
    17 octobre 2007 - 14h27 - Posté par 86.***.227.***
    Source : Le Canard Enchainé N° 4538 17/10/2007 Page 1

    Article : La mécanique des fluides -extrait-

    …/… Les syndicats, évidemment suspectés eux aussi d’être les bénéficiaires du « fluide » à apaiser les relations sociales du bon docteur Gauthier-Sauvagnac, ne se montrent pas d’une virulence excessive sur le sujet. Des millions d’euros en liquide dans des valises chez les descendants du comité de Forges, voilà pourtant de l’obole et du symbole qui au temps de Zola auraient vite enflammé les défenseurs du prolétariat. Elles ne suscitent pour l’instant dans les centrales que quelques évocations d’une discussion de réforme du financement des syndicats qui viendrait après celle de leur représentativité. Rien ne presse, surtout la semaine ou a lieu la première grande confrontation sociale avec le gouvernement.

    Une confrontation que Sarko, pas mécontent que cette affaire soit de nature à affaiblir des syndicats qui ne sont déjà pas en position de force, prétend voir d’un œil assez serein. Même si la grève dans les transports est très suivie, il veut croire et répète qu’elle n’aura pas de suites. Peut être, mais si les ennuis ne viennent pas, pour l’immédiat, des régimes spéciaux, ils pourraient arriver sans tarder avec le pouvoir d’achat. Car sur ce plan …..

    …/… ………………………………………………………………………………………

    Pour agrémenter votre réflexion. Merci à tous. Et bonne lecture.

    Skapad 17/10/2007 14h21 mn.