Alors Bush... savate bien ? ... ou l’art d’en prendre sur la poire est chose sûre !

Triste siècle que le nôtre, dans lequel le représentant d’une nation, la plus puissante... en armes... n’a que la considération d’une vulgaire chaussure ! Adieu les grands hommes qui utilisaient la leur pour faire trembler l’impérialo-fascio-nazio-sionisme ! Aujourd’hui, Mountadar Al Zaidi a montré que Bush ne valait même pas la corde pour le pendre !

Ce que nous pensions tous, souhaitions du fond du cœur, désirions avec ferveur... un journaliste irakien, Muntadar Al Zaidi, l’a réalisé !

En effet, lors d’une conférence de presse donnée comme une sorte de défi au pays qu’il a ravagé, l’Ignoble Assassin, le Terroriste confirmé, l’alcoolique invétéré, le Crétin sublime s’en est pris plein la poire en recevant sur sa pomme de sombre abruti, la paire de chaussures d’un homme exacerbé par les crimes perpétrés, dans son pays, par un envahisseur censé lui apporter la « démocratie ».

L’acte, insolite pour le moins, était d’un courage admirable, en ce sens que le héros a manqué de se faire tuer.

En outre, il était d’une grande humanité car l’agresseur aurait pu, à loisir, utiliser n’importe quoi et notamment une arme.

Il en avait la capacité, le pouvoir et la possibilité.

Et pourtant, il ne l’a pas fait, montrant à l’incroyable Crétin, qu’une vie humaine... ça se respecte, quoi qu’elle ait fait et que l’on puisse en dire !

Pour cette manière de voir les choses, l’homme devrait recevoir, en plus du prix du courage, le Nobel de la Paix !

Mais bon... quand on sait que la Reconnaissance internationale n’est ni le fruit de l’intelligence, ni celui du hasard et que Nobel n’était rien d’autre qu’un vulgaire aventurier marchand d’armes qui s’en est mis plein les poches en faisant mourir des hommes, on peut se dire que la chose n’est pas un honneur en soi.

Bref... Bush s’est fait mouché comme le malpropre qu’il est !

Mais, au-delà du geste, au-delà de l’insulte suprême, car elle est considérée comme telle dans les pays arabes, il y a là forcément un signe, un symbole visible, une parabole.

N’est-ce pas celle de la lapidation que nous rapporte le Nouveau Testament ?

Le Président des États-Unis serait-il la prostituée citée par les Évangiles ?

Je ne manquerais pas de l’affirmer quand je vois ce qu’a fait Bush à l’Irak, plus que ce qu’Hitler a fait à la Pologne, que son complice Truman a fait au Japon... sauf que cette fois-ci le Christ ne s’est pas interposé !

Et pour cause... car il en aurait eu honte !

Le Pays de l’Oncle Sam serait-il la Bête de l’Apocalypse de Saint Jean le Baptiste ?

Si l’on voulait tomber dans l’eschatologie évangélique, il suffirait de prendre un globe terrestre et d’y jeter un œil furtif sur les continents. On y verrait, alors, au niveau de l’américain du Nord, une bête, volante, prenant dans ses serres, l’Amérique du Sud et se dirigeant vers l’Europe !

Bien sûr... ce n’est qu’une image ! Mais en y voyant à deux fois... la Bête pourrait paraitre plus vraisemblable car elle a, comme dans l’Apocalypse, les corps de différents animaux et parle toutes les langues.

Mais, faits plus troublants, elle détruit tous ceux qui ne lui font pas allégeance ou n’utilisent pas son « chiffre », que l’on peut traduire en « monnaie » car, rappelons-nous ce qui est écrit : Apocalypse 13:18... C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre du nom de la bête, car c’est un nombre d’homme, et ce nombre est six cent soixante six. (666).

N’oublions pas ce qui est en train de se tramer dans le monde et notamment la secte des Bilderbergers http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article8740, dont le but est de créer in fine un gouvernement unique, à la botte, détruisant toutes les nations qui ne se soumettraient pas !

Et, la crise financière ne fera que précipiter le monde vers une monnaie... unique et universelle... afin de le mieux contrôler !

Osons dire que le geste du journaliste est, pour le moins héroïque ! Dommage que ce ne soit qu’une chaussure qui ait été lancée... de la bouse aurait encore eu plus d’effet contre le « chien ».

Comme un signe du ciel... le journaliste s’appelle « Al Mountadir » que mes amis arabes traduisent par, curieusement : « Celui qui est attendu ! ».

Vade retro, Bushas !