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Anticipation fiscale : Pour un nouveau contrat social Radi-Care

Publie le mardi 8 juin 2010 par Open-Publishing

Sans attendre des nouveaux Roosevelt ou Churchill, dont et selon François Ewald *

Nous indique qu’une partie de leur doctrine exprimée en 1940 et 41, aurait inspiré le CNR (Conseil National de la Résistance et création de la sécurité sociale, je ne suis pas sur que tous partagent cette idée !)...serait d’instaurer de toute urgence une sécurité sociale internationale financée par les trusts.

Pour ce faire, osons la radicalité des méthodes, la crise n’est-elle pas là pour nous en donner les moyens de s’en défaire catégoriquement d’un discours trop souvent consensuel et dont le résultat qui nous consume, devrait nous dicter : Mais que reste-t-il d’autre à faire ?

Tout d’abord, l’urgence devrait nous imposer de mettre au pas certains endroits, en premier lieu de détricoter ce qui apparait encore de la « légalité » des paradis fiscaux, une revendication à rappeler sans cesse, jusqu’à et s’il le fallait à terme, l’annexion de ces paradis fiscaux.

 Un geste fort pour marquer le commencement de la plus urgente que nécessaire révolution fiscale, la régulation n’étant pour l’instant qu’un choix de mot incapable de traiter les maux. Ne plus attendre à faire d’abord le ménage chez nous, c’est-à-dire de commencer, non sans avoir au préalable rétablit ici le juste droit à tous avec la remise au pot pour toutes nos niches fiscales (1/3 de la dette de l’’État Français est détenue par des « investisseurs » français- les 2/3 restant sont plus gênants car internationaux – Ailleurs des secteurs stratégiques ou Le Qatar sera au capital d’AREVA cela dans très bientôt !), et de faire le nécessaire pour en finir avec ces anomalies géopolitiques européennes que sont les :

 City à Londres,
 Luxembourg,
 Andorre,
 les Iles Anglo-Normandes (Bretonnes jusqu’au X émesiècle),
 Monaco,
 la Suisse, Et ...cetera, puis ...

Par la suite cette transformation radicale ne resterai plus circonscrite à nos seules contrées et pays, cette idée inévitablement se diffusera. Comme il en a été à une époque pas ancienne, pourtant tous ces Grands sont si souvent à glorifier, de la Révolution Française 1789 à la République Française. Tout comme l’est aussi et d’une certaine manière le libéralisme adossé au dogme de la croissance à l’infini et malheureusement.

L’infinie croissance, cette utopie inabordable….Mais alors ou sont-ils les rêveurs ?

Un entretien vidéo sur Rue 89 de François Ewald, à l’origine de ces mots.

http://www.dailymotion.com/video/xd...

Et les suites…


Entracte Sportif : Une après midi de Gouren à Berrien , haut lieu de résistance pendant la dernière guerre 39/45. Trédudon (en Berrien), a été classé premier village résistant de France, et va ce WE du 13.6.2010 recevoir une manifestation "pique-nique" militante, pour fédérer ceux qui attachent encore de l’importance aux résolutions du CNR et de la création de la sécurité sociale.(entre autre)

http://www.dailymotion.com/video/xd...

Des gamins a s’éclater à la lutte sportive dans le vrai sens du terme, c’est sympa....

Ce qui suit ci-dessous…est à prendre avec de légèreté…., un flot d’idées en divagation, des lettres qui ne sont pas encore imposées, mais cela ne tardera plus, qui sait ?

C’est pourquoi j’en profite avant toutes choses utiles. Merci : ;°].


Une nouvelle administration fiscale en fiction :

Une sécurité sociale internationale ? Avec quelles ressources ?

 En résumé le TAR est garantit par voies optiques et chargées de PESAC, ces ressources qui elles sont collectées par le SEC². (Le TAR n’annule pas ni ne remplace la fiscalité standard)

- Une sécurité sociale mondiale au financement qui serait réalisée par Ponctions Électroniques Systématiques Automatisées et Contrôlables ( l’unité de piratage monétaire le PESAC ), en quelques sortes des voies électroniques et de garages à diodes fiscales à destination des garanties sociales Des opérations simultanées sur les transferts de fonds monétaires numériques, un rééquilibrage des phasages et des flux sur les réseaux informatiques-optiques.

Des PESAC aux taux d’imposition variables et non inscrits définitivement et temporellement. C’est-à-dire, que nul n’en connait ni l’endroit de la ponction ni son taux au temps « T » qui n’est jamais nul et encore moins positif ( de 7 à 77%, Tonnerre de Brest), car aléatoire et organisé et référencé depuis le Système Eco Contrôle Citoyen.

 Des contraintes plus lourdes seraient envisagées quand il s’agirait de cibler tout particulièrement certains domaines de spéculation, des spéculations dites de Hautes Fréquences (des achats et ventes au millième de seconde près, cette partie fiscale sera abordée ultérieurement).

 Donc, imaginons un impôt sur la base d’une forme de taxe Tobin Aléatoire Réévaluée (TAR). Le but recherché non contraignant dans un premier temps, est en appliquant à l’échelle planétaire une forme de loterie inversée, un piquet menteur tournant en quelque sorte avec pour particularité d’être quasi imparable en paiement et incontestable également, sauf bien sur si il apparaissait des contradictions avec le droit civil, social et économique inscrit dans la constitution de la [ ?] éme République en cette année de grâce [ ?]

 Ce TAR en escapade ainsi ne nuirait pas aux ambitieuses ambitions des banquiers, c’est quasi nos joueurs, ni celles de certains entrepreneurs un peu trop entreprenants, ou plus généralement des décideurs tels que nous les connaissons. Cet impôt « loterie » obligerait néanmoins les gérants (pour les plus malins) des entités économiques à provisionner le cas échéant, et ainsi en très peu temps il subsisterait des réserves, et si elles ne sont pas d’Or, elles n’en seraient pas moins sonnantes et trébuchantes. Un réel sabot de fond monétaire à l’abri de tentation, et supposé répartit sur tous les territoires.

Bien évidemment, de ce résumé il serait nécessaire d’y apporter encore des gardes fous, voir imaginer des exceptions. Sans que cela ne gène en rien cette révolution « Radi-Care » rose fiscale et qui sait, peut être joyeusement efficace. Radi-Care : Des jeux et des affaires à PESAC !

Des recettes pour cet impôt mondial géré par un organisme contrôlé par des fonctionnaires eux tirés au sort. Une activité opérationnelle au centre SEC², un service citoyen fiscal pendant des périodes intervalles pour y réaliser une contribution civile de fonctionnaire, un devoir pour tous.

 Un renouvellement permanent pour ré oxygéner les rouages d’une mécanique devenue empirique et si lointaine à nos jours. Au préalable, chacun des tirés au sort seraient orientés vers des préparations aux divers métiers en relais formation. De plus , un mode de nomination aléatoire pour les postes de commandement serait également un des outils pour jugulé la création de réseaux surtout pour toutes les fonctions de commandements aux hautes autorités administratives et fiscales...Tiens-tiens !

Que le personnel politique soit encore élu par le suffrage universel est une indispensable nécessité pour la lisibilité et l’acceptation de la démocratie en général, ceci impose par contre et à mon sens d’y opposer un service publique de contrôle des résultats des politiques misent en œuvre, de leur réelle application, un service civique contrôle dénué de tout intérêt qui soit lié de près ou de loin aux groupes, multi-nationales, communautés ethniques ou religieuses, partis, syndicats, ou plus largement de toutes influences des lobbys.

Une règle « philosophale » de politique ?

 Il est urgent que les fonctionnaires qui mettent en application le choix des politiques des représentations, puis qui en contrôlent les travaux, les effets positifs et négatifs, qui en déduisent les correctifs, ce avec la collaboration et coordination de la représentation ; soient des personnels réellement indépendants des appareils et lobby en général. Pas les copains des copains, ça mange beaucoup trop de pain.

Le tirage au sort des jurés pour des procès d’Assises n’a jamais choqué personne, et pourtant les décisions prisent lors des délibérés sont loin d’être anodines, pourquoi dans ce cas en serait-il différent pour une organisation de la gestion de notre fiscalité ? Tirés au sort parmi un large public de citoyens non prédéterminé, permettrait à mon sens de modérer les liaisons dangereuses qui existent actuellement. Ceci vaut surtout et bien sur pour la haute fonction publique.

 Car combien de hauts fonctionnaires de Bercy et qui ont été formés à l’ENA, ont-ils fait fabriquer des lois fiscales, puis se sont "arrangés" au gré de leur carrière et à terme de contrer ces même lois pour le secteur privé ou groupes d’intérêts.... La nature humaine à ça de particulier, des billets et des bons points aux Conseils d’Administration, suffisent à détourner les bonnes intentions d’origine .

Il est temps de se défaire de Colbert et des Jacobins concentrationnaires. Toutes ces pratiques d’un autre âge et digne de la République corrompue de Venise, doivent immédiatement être condamnées et réformées.

Et surtout n’oublions pas que le fond du problème n’est pas tant le manque d’argent, si c’était le cas on le saurait déjà ! C’est surtout le mixage sans fin d’une élite au pouvoir complètement sclérosée et absorbée imbibée par les dogmes libéraux, dont ils ont vanter les mérites pendant plus de 20 ans, puis qui les critiquent aujourd’hui suite aux prémices de la crise actuelle ( nous n’en avons qu’un petit bout d’idée de la cata qui pointe) , sans pour autant remettre en cause leurs principaux "fondamentaux libéraux".

Ils manquent cruellement d’imagination, rien d’étonnant à force de tourner en rond, pour des ronds.

A mon sens, le partage sera, ou la fin et la faim mais ? ......Ceci dit, c’’est presque essénien !

Chronique Klapez


Note :

Du maoïsme au medef ....comme cela ressemble à la Chine !

Source Wikipédia :

* François Ewald, né le 29 avril 1946, est un intellectuel français. Philosophe de formation, il est docteur ès lettres. Ancien assistant de Michel Foucault, il est actuellement professeur au Conservatoire national des arts et métiers où ses travaux portent plus particulièrement sur la politique du risque.

Autrefois maoïste, il fut conseiller du MEDEF à l’époque d’Ernest-Antoine Seillière.