Accueil > Berlusconi, la calomnie et le pouvoir
Berlusconi ne veut pas quitter le pouvoir politique qui a fait de lui le quatrième homme le plus riche du monde.
Il a lancè une campagne dénigratoire et de diffamation jamais vue contre l’opposition,en utilisant ses médias, la TV publique.
Puisque l’opposition était gagnante sur lui de 8-10 points, il a essayé aussi la calomnie judiciaire en accusant devant les juges les chefs de l’opposition.Seulement que les témoins qu’il a cités l’ont démenti devant les juges.
Mais selon l’Unità et d’autres journaux libres,il utilise le services secrets devoyés ,dont il est le chef,pour agresser l’opposition et l’inculper de crimes inventés par des écoutes manipulées.
En plus,l’intervention de la Cia dans cette campagne de diffamation est constatée par la presse libre qui n’est pas à son service.
La stratégie de la calomnie harcelante lui aurait été conseillée par Bush,aussi bien que le scrutin électronique.
Il veut reporter la dissolution des chambres,fixée pour fin janvier,pour déferler et occuper par sa présence fixe la Rai et les médias publics et privés et aussi pour faire approuver la loi Pecorella(du nom de son avocat qui l’a proposée)
Cette loi Pecorella a été rejetée par le Président de la Rèpublique ,parce qu’ inconstitutionnelle.
Elle n’a aucun interet public,mais elle est indispensable au Premier et à ses compères Dell’Utri et Previti,déjà condamnés.
Par cette loi,refusée par Ciampi il y a quelques jours et que berlu veut faire approuver quand meme,les ministères publics ne pourraient pas faire appel en cas d’acquittement d’un accusé en premier degré de jugement.
Il n’a plus le temps pour faire approuver cette loi,alors il veut à tout prix prolonger les termes d’échéance du Parlement pour le faire.
Sur l’incroyable comportement de Berlu,qui fait recours à la calomnie meme devant les tribunaux(lui qui ne s’est jamais présenté devant les juges pour ses 21 procès a charge,reglés souvent par ses lois) un éclaircissement dans La Repubblica.