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Ça chie grave en Côte d’Ivoire.

Publie le dimanche 7 novembre 2004 par Open-Publishing
2 commentaires

A’ ma gauche (façon de parler) la France, pays des droits de l’homme dont on ne présente plus le récent passé colonialiste et la constante politique néo-colonialiste.

A’ ma droite les autorités ivoiriennes, de ridicules nazillons capables d’énoncer encore, au début du 21e siècle, un concept de pureté de race : l’ "ivoirité".

Quelque part, les rebelles. Probablement aussi cons.

Bonne chance à toi, peuple de la Côte-d’Ivoire...

Amicalement

Sirieix

Messages

  • Et la femme ivoirienne Siriex ?

    Lis cette missive, elle va t’intéresser

    http://www.abidjan.net/lettreouverte/lettre.asp?ID=6211

    L’émancipation n’est pas pour demain.

    Franca Maï

    • Chère Franca,

      je me suis permis d’inclure au sein du peuple ivoirien la femme ivoirienne.
      Il s’agit là d’un réflexe masculocentrique plurimillénaire que vous voudrez bien, je l’espère, me pardonner !
       ;)

      J’ai bien suivi le link abidjanais. Jusqu’au bout de mon dégoût.
      Et je dois effectivement admettre que si le peuple ivoirien est en passe d’en baver, il en est une bonne moitié qui, elle, est en passe (excusez ce tour de "passe-passe", pas très élégant vues les circonstances...) d’en baver double !

      Je résisterai cependant, et encore une fois, à la tentation de m’émasculer en signe ostentatoire de protestation/solidarité.
      Mes choses étant ce qu’elles sont, je les dissocie de tous ces violeurs black’n white casquant bleu, cash ou en baffes. Pour ses bons et libidineux services donc, j’accorde, à mon attirail d’homme foncièrement écoeuré des hommes, un ultérieur - ultime ? - sursis...
       :)

      En toute amitié et communion de vues

      Sirieix
      (avec trois "i", s.v.p...)