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Castro ne croit pas qu’Obama stopperait un conflit nucléaire avec l’Iran
Publie le lundi 19 juillet 2010 par Open-Publishing4 commentaires
L’ancien président cubain Fidel Castro ne croit pas que le président américain Barack Obama ait la capacité ou l’intention de stopper un conflit armé avec l’Iran qui déboucherait selon lui sur une catastrophe nucléaire.
"Malheureusement, dans tous les éléments de la réalité que je perçois je ne vois pas la moindre possibilité" que le sens commun prévale et qu’on évite la guerre, une réalité qu’ "Obama ne pourra pas modifier et n’a montré à aucun moment la décision de le faire", affirme le dirigeant cubain dans un article publié sur le site internet Digital Cubadebate.
Castro a consacré neuf articles à ce sujet, publiés depuis le 1er juin, et a abordé ces questions au cours de ses cinq apparitions publiques en dix jours.
"Je pense qu’il serait beaucoup plus réaliste que nos peuples se préparent à affronter cette réalité. C’est en cela que réside notre unique espoir".
L’article a été publié quelques heures après un message adressé à l’ancien président sud-africain Nelson Mandela, dans lequel il l’exhorte à maintenir l’Afrique du Sud à l’écart des bases militaires des Etats-Unis et de l’Otan.
Fidel Castro, qui a connu Nelson Mandela à La Havane après sa libération et qui lui a ensuite rendu visite en Afrique du Sud, l’avertit que "l’humanité est aujourd’hui menacée par le plus grand danger de toute l’histoire de notre espèce" et que "les amis d’hier de l’apartheid font aujourd’hui assaut de cynisme pour feindre l’amitié".
"Les peuples d’Afrique qui survivraient à la catastrophe nucléaire qui s’approche auront besoin plus que jamais des connaissances scientifiques et des avancées technologiques sud-africaines" souligne Fidel Castro.
Il estime toutefois que malgré les dangers, "l’Humanité peut encore se prémunir des coups destructeurs de la tragédie nucléaire qui s’approche et (de la tragédie) environnementale qui est déjà à l’œuvre".
http://www.almanar.com.lb/newssite/NewsDetails.aspx?id=146886&language=fr
Messages
1. Castro ne croit pas qu’Obama stopperait un conflit nucléaire avec l’Iran, 19 juillet 2010, 21:26, par RASPOUTINE
Les forces et moyens militaires aériens, terrestres,et maritimes américains se sont considérablement renforcés depuis un mois et demi dans la zone du golf Persique et dans l’Océan Indien.
Tout déclenchement d’hostilités par les USA sera une fuite en avant qui conduira le monde occidental à sa désintégration politique et instutitionnelle.
1. Castro ne croit pas qu’Obama stopperait un conflit nucléaire avec l’Iran, 21 juillet 2010, 09:03
la prochaine guerre commencera comme d’habitude au LIBAN/
Plusieurs instances internationales ont laissé entendre ces derniers mois que le Tribunal Spécial pour le Liban accusera des dirigeants du Hezbollah d’avoir participé à l’assassinat de l’ancien Premier ministre Rafic Hariri.
Selon le quotidien libanais As Safir, le chef d’accusation duTSL fait partie d’un scénario qui entrainerait le Hezbollah à la division interne, ce qui assènerait un coup à la légitimité des armes de la résistance et constituerait un prélude à une agression israélienne semblable à l’invasion de 1982.
Peu importe la crédibilité du tribunal spécial pour le Liban, surtout que les preuves qui seront présentées seront basées sur des témoignages (des faux-témoins) et des communications (gérées par des collaborateurs au profit d’Israël à ALFA). Mais l’essentiel pour les grandes puissances est de raviver le climat politique tendu au Liban, pour attiser les sentiments de doute, de la rancune et de l’inquiétude chez la population.
C’est ainsi que le piège de la "justice internationale" provoquerait bientôt l’explosion du pays ! Le Liban aurait-il les armes nécessaires pour se défendre ?
al manar
sur place ,nous le savons , nous ignorons juste le jour de notre prochain massacre
2. Castro ne croit pas qu’Obama stopperait un conflit nucléaire avec l’Iran, 22 juillet 2010, 00:33
Selon un hebdomadaire américain, Devins News, l’Allemagne a renoncé à sa participation au financement d’un sixième sous-marin nucléaire allemand porteur de tête nucléaire de type « Dolphin » destiné à la marine israélienne.
Sachant que Berlin a déjà financé à 80% l’achat de trois autres sous-marins auprès de sociétés allemandes et devait en dépit de l’accord contribuer à 30% du cout du sixième sous-marin. Sachant que la transactions comprend outre les sous-marins allemands, deux navires de guerre également de fabrication allemande, pour le prix total d’un milliard et demi de dollars.
Le journal affirme que les Israéliens ont fait pression sur l’Allemagne pour la dissuader de cette décision, mais en vain. « Les Allemands ont argué les difficultés économiques qu’ils traversent » a signalé au périodique le Directeur général du ministère de la sécurité israélienne Dani Chani.
Ce qui risque selon lui de pousser Israël à annuler la transaction avec les sociétés allemandes.
Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, l’Allemagne a du payer des compensations à Israël et aux victimes juives des Nazis, estimées à des dizaines de milliers de dollars. Selon le Haaretz, Berlin consacre chaque année la somme de 400 millions d’euros à l’organisme israélien « Rafat » chargé du suivi de ces compensations.
Le mois de mars dernier, elle a envoyé la somme de 77 millions d’euros. La majeure partie de cette somme ira aux Juifs issus de l’ex-Union soviétique, quoique Berlin ait toujours refusé de les classer parmi « les rescapés de la Shoah ».
Malgré sa crise économique, Berlin dont le sentiment de culpabilité à l’égard des Juifs est nourri à propulsion s’est également vue obligée d’élever de 85% sa cotisation à cet institut, après que celui-ci se fut plaint que ses caisses étaient devenues vides.
En conséquence, il faut s’attendre à ce que l’Allemagne finisse par plier sous les pressions israéliennes, et se résigne à payer de la caisse des contribuables allemands les sous-marins nucléaires fabriquées par ses sociétés et destinés à Israël.
Et comme de coutume, il est à prévoir que ses contribuables incombent les pertes de leur économie aux immigrés, en particulier les Musulmans, voués en bouc émissaire de l’Europe en perte de vitesse.
al manar
3. Castro ne croit pas qu’Obama stopperait un conflit nucléaire avec l’Iran, 5 août 2010, 19:04
Interrogé par le correspondant du bureau de l’Irna à Paris, , Jacques Vergès a souligné que les nouvelles sanctions adoptées par l’Union européenne « sont vaines et dangereuses (…) et qu’il s’agit « d’un crime contre les populations iraniennes ».
Sur la détermination de l’Iran à défendre son droit légitime à poursuivre son programme nucléaire pacifique, il a donné raison à l’Iran et s’adressant aux Iraniens, il a assuré : « en tant que Français, que les gouvernements français passent mais que le peuple français ne fera pas et ne fera jamais la guerre au peuple d’Iran ».
Réagissant à l’ampleur des sanctions adoptées par l’Union Européenne contre l’Iran et son secteur énergétique et au rôle joué par les États-Unis dans cette démarche, Jacques Vergès a dénoncé l’attitude de l’UE, qui selon lui « s’est comportée comme le caniche des États Unis ».
Interrogé sur la position du président Mahmoud Ahmadinejad qui a assuré que l’Iran reprendrait ce dialogue en septembre mais, à condition notamment de connaître la position des puissances occidentales sur "l’arsenal atomique du régime israélien" et de la présence de nouveaux pays comme la Turquie et le Brésil, l’avocat français a approuvé la position du président iranien soulignant qu’ « il ne saurait y avoir deux poids et deux mesures ».
A la question sur les menaces de certaines puissances occidentales qui n’exclut pas des frappes militaires sur les sites nucléaires iraniens, Jacques Vergès a qualifié ces menaces de « folie comparable à celle d’Hitler attaquant la Russie en 1941 » soulignant que non seulement « cela n’aurait pas d’impact sur le programme nucléaire iranien mais que par contre une attaque militaire mettrait en cause la stabilité non seulement de la région mais du monde ».