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Certains syndicats ou certaines branches de syndicats jaunissent.
Publie le lundi 5 avril 2010 par Open-PublishingCertains syndicats ou certaines branches de syndicats jaunissent.
Le vent va souffler très fort sur les beaux châteaux des nouveaux châtelains.
Vie de château et train de vie.
Trains privatisés et travailleurs vampyrisés.
Cézame, ouvre toi !
Cézame, Cézame, ouvre toi !
Voilà la caverne d’Ali Baba !!!
En fête et en musique.
C’est tout tristounet chez vous !
Qu’est-ce que vous avez ?
Avez-vous vu les valets voler en vitesse
L’argent qu’on leur avait volé ?
Tu parles trop Charles !
Ils sont tous et toutes cloués
Cloués devant des paradis en boîte.
Pas des ravio, dis, ni des raves, dis !
Saint Pierre garde une porte toute dorée.
Dorée et adorée, chérie même.
Mais ce n’est pas toujours de leur faute
Car les nouveaux esprits qui s’emparent
Des nouveaux appareils n’ont pas été formés.
De la manière rêvée.
Ils ont reçu le biberon capitaliste aigre.
Tant pis pour ceux qui meurent de faim ou de froid
ici, en France ou dans certains pays étrangers.
Ce qu’il faut c’est rendre plus propre
Ce qui n’est pas trop propre.
Tout doit briller. Tout doit être aseptisé.
Devenir zen et riche en paradis capitaliste.
Les riches, les bien placés, les non anxieux sont loin d’être des fonctionnaires.
Ils ne travaillent pas pour les autres eux.
Eux, ils travaillent pour eux.
C’est à dire pour rien. Ils ne sont rien à part rien.
Terres noire et riches et hiver rigoureux.
Qu’il est bon, un peu, de se geler les moyeux.
La neige protège grâce à ses propriétés physiques.
Hic. Il y a un os dans la bouilloire !
Bien le bonjour les bouillons et autres troullons.
Le vent brûlera les fesses de certains.
Ils prennent toutes les couvertures pour eux.