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Chers camarades de la LCR...

Publie le lundi 18 septembre 2006 par Open-Publishing
15 commentaires

Je crois que si les collectifs veulent développer leur crédibilité et représentativité, il
faut qu’ils rassemblent en leur sein uniquement des personnes partageant la démarche.

Le 10 Septembre dernier une démarche stratégique a été actée...

Alors pourquoi faudrait il encore accepter des "fouteurs de m." qui disent et redisent à longuer de réunion que Olivier Besancenot a raison, qu’ils ne sont pas d’accord etc....et qui empechent les collectifs d’avancer dans le travail d’élaboration d’un proijet politique et de choix d’une candidature ?

Les élections aprochent alors chers camarades qui par ailleurs faites la campagne de Besancenot, ok faites la campagne de Besancenot ...

Laissez nous travailler, militer et défendre la volonté stratégique des collectifs ...

En clair débarassez nous le plancher vu que nous n’estes pas d’accord avec la stratégie d’union à gauche des collectifs....

Tirez en les conclusions...Sinon vous aparaitrez de plus en plu scomme des fouteurs de m...

IlRosso

Messages

  • Attention, à parler ainsi, c’est peut-être vous qui risquez de torpiller le rassemblement à gauche.
    Alors, pas d’agressivité, mais de la tolérance, de l’ouverture, pour que les autres aient envie de passer la tête pour voir ce qui s’y passe à l’intérieur. Tout doux IlRosso.

  • C’EST ASSEZ VRAI !

    Je ne sais pas exactement qui çà vise, car je fais une différence entre les camarades (comme CHANIAL) qui bossent dur dans l’AU et des représentants désignés de la LCR qui sont à l’AU en observateurs et défendent sans compromis et avec le plus parfait sectarisme les orientations de leur direction contre les axes de réflexion développés dans l’AU.
    C’est à ces derniers que je dirais de dégager, puisqu’ils nbe partagent à peu près rien avec nous !

    Dans ma section, ni Bové, ni Atain ne sont appréciés... Quant à Braouzec, sa candidature à la candidature est si récente par rapport à mon assemblée de section (lundi il y a 8 jours !) que je ne sais pas... mais çà pm’étonnerait que çà soit très apprécié vu l’accord unanime avec MGB.
    Autre info : dans ma section on prépare en même temps les présidentielles, les législatives et les municipales.

    NOSE DE CHAMPAGNE

    • Et à propos d’élections municipales, qui a plombé l’unité de la gauche à Bordeaux ? C’est le PC qui s’est allié avec le PS, laissant tomber la gauche antilibérale, et la LCR (toutes tendances) qui participe à la liste unitaire !
      Voilà pourquoi nous demandons des clarifications, voilà pourquoi, parce que nous ne sommes pas sûrs de l’aboutissement du processus unitaire, nous nous donnons les moyens d’être présents au cas où : nous n’avons pas, grâce à un jeu d’alliances et d’allégeance au PS, 12 000 élus qui peuvent signer du jour au lendemain.

    • La stratégie des collectifs est d’unir la gauche antiliberale sans exclure le PS ...

      Si t es pas d’ac t as Besancenot pour faire la révolution sur les plateaux télés...ou avec Boiuyvard aux Grosses Tetes...

      En attendant, la LCR n’a pas voulu faire partie des collectifs mon cher..suels les minoritaires de la ligne Piquet..Les autres on n en a rien à battre et à bordeaux vous ferz 0.3%...

      Pour moi la gauche antilibérale ce sont les collectifs...La LCR de Besancenot c’est rien....qu’un produit marketing..

      Les électeurs trancheront sur cette stratégie suicidaire de la ligue...

      IlRosso

    • T’AS RAISON L’ANONYME !

      Le PCF fait allégeance au PS avec "son réseau de 12000 élus" ... et vous LCR vous le faites directement en pleurnichant et en jouant supplétif pour les 500 signatures !!!
      Vous vous rendez compte de l’absurdité ?

      NOSE

    • La stratégie des collectifs est d’unir la gauche antiliberale sans exclure le PS ...

      Réunir une gauche antilibéral c’est bien, il se trouve que qu’au PS il y a deux tendances, et pour l’instant il n’est pas question pour la favorite de parlé d’antilibéralisme, de plus il me semble que la tendance antilibéral se soi désavoué en changent tout simplement de camps rejoignent le oui.

      Comment faire confiance a c’est gens dans de telle condition d’irrespect des citoyen et militent ?

      Je suis pas a la LCR, je constate de la par des autre tendance un refus de dialogue sur les aspect conflictuel des organisation différente du PS PC.

      Rebelle

    • [La stratégie des collectifs est d’unir la gauche antiliberale sans exclure le PS ...]

      Merci Ilrosso, tu viens de tout lâcher. Cette stratégie est celle du PCF, pas celle des collectifs qui est d’unir les antilibéraux contre tout programme libéral y compris celui des socialistes quand ils seront au pouvoir avec peut-être des ministres PCF. Parce tu ne le sais pas peut-être, le PS a un programme libéral. Lis les critiques de Filoche que qq’un a eu la bonne idée de placer sur Bellaciao. Pour cette raison unir la gauche PS compris est impossible sur un programme antilibéral. le PS ne fait pas partie de la gauche antilibérale donc il s’exclue de lui-même. Tout le reste est entourloupe. Il faut constituer à la gauche du PS un pôle politique antilibéral où tous ceux qui le veulent auront leur place le PCF y compris. Sauf si celui est engagé dans un accord de solidarité gouvernementale et parlementaire avec le PS comme dans quelques gouvernements précédents dits de gauche.

      Une candidature MG Buffet ne peut que dévoyer les objectif des collectifs vers le soutien à la stratégie d’accord du PCF avec le PS comme au temps triomphants de la gauche plurielle jusqu’à Jospin y compris. MG Buffet ne s’est d’ailleurs pas trop élevée contre les privatisations massivee du gouvernement auquel elle appartenait. Où alors je me trompe mais donnez moi des preuves.

      gl

    • Tout le monde s’accorde à dire que le programme du PS est libéral, tout comme ses dirigeant(e)s. Alors pourquoi vouloir négocier avec eux au sein du mouvement alternatif ? Certe l’aile gauche du PS semble rompre plus clairement avec le libéralisme, mais il me semble qu’ils ne sont pas télement écouté au sein même de leur parti.
      Le PC veut ratisser le plus large possible afin de rassembler le maximum de vois, ce qui est légitime. Mais pour ce faire, ne vaut-il pas mieux décider une rupture claire avec le PS afin que la LCR (et ses 4,5% en 2002) rejoingne pleinement et définitivement le mouvement ? Ainsi un parti ainti-libéral clairement établi sera construit avec tous les acteurs principaux. Quant aux sympatisants de l’aile gauche du PS, ce n’est pas parce qu’ils possédent une carte, qu’ils sont pieds et poings liés à leur parti. Une adhésion ça se résilie, et je pense que de nombreuses personnes suivront leurs convictions et quitteront le PS pour ce nouveaux mouvement.
      Alors arrêtons de chercher à garder des liens avec le PS, forçons le à venir en créer avec nous afin de déplacer les lignes sur la gauche...

      Thyl

  • Bin, ça i va les ("camarades")... Vous allez ressortir les "chewingum" ccomme dans les années 70 ???
    Yenamarre

  • Allez tiens, je remets !

    A propos de la direction de la LCR

    Puisque la direction de la LCR fait du blocage et veut rouler seule, pourquoi discuter avec elle ( la direction) ? Une dynamique est en train de se construire, ils ne veulent pas en jouer, c’est dommage mais ce n’est pas le plus important. Les electeurs, militants LCR veulent-ils se conforter dans le rôle de "purs et durs" et se réfugier comme LO dans une position sectaire ? Comprendront-ils qu’il est nécessaire de dépasser des clivages anciens qui n’ont plus lieu d’être face à une droite et extréme-droite néo-pétainiste ? Alors, amis et camarades, discutons, discutons toujours et encore avec les militants, sympathisants, electeurs ou anciens electeurs de gauche et d’extrème gauche pour construire, elargir cette dynamique qui est la seule vraie alternative de lutte face à l’arrogance du grand patronat et de ses valets. Et s’’il s’averait que la direction LCR maintenait malheureusement sa position actuelle, elle sera grandement responsable devant notre peuple et sera ensuite bien mal placée pour parler de révolution !

    Pablo

  • J’ai rendu ma carte d’électeur il y a plus de 10 ans et j’ai failli la reprendre lorsqu’a été évoqué pour la 1ère fois une candidature unitaire. J’ai même fait partie des premiers signataires tellement j’y croyais. Aujourd’hui je me sens trahi par le PC qui souhaite s’allier avec le PS. C’est une pure et simple escroquerie : le PS a un programme libéral et Ségolène ne se prive pas de le dire. C’est une trahison, il n’y a pas d’autre terme. Je n’ai plus de sympathie que ça pour la LCR, mais je suis 100% d’accord avec eux lorsqu’ils refusent de s’associer à un projet politique qui puisse inclure le PS. Le PC n’a aucun droit particulier sur ce projet. MGB pourrait être désignée, comme d’autres. Ni plus, ni moins. Une candidature unitaire où il ne se passe pas une semaine sans qu’un prétendant ne se déclare pourrait préter à sourire si le duel Sarko Le Pen ne se profilait pas...

  • CHERS CAMARADES DE PARTOUT !

    Raoul Marc JENNAR à lancé l’appel ci-dessous, et à sa lecture il est possible de se dire : ET POURQUOI PAS ?
    Le leader d’Une partie ne pouvant être en aucun cas celui du tout dans cette nébuleuse active des collectifs, rien qu’à voir les commentaires ci-dessus ( : ))) ) pourquoi pas...


    POUR YVES SALESSE

    Ce dimanche 10 septembre, lors de la réunion des 600 délégués de collectifs locaux pour une alternative antilibérale de gauche et des candidatures unitaires, plusieurs délégués ont souhaité qu’Yves Salesse présente sa candidature pour porter le "non" de gauche lors de l’élection présidentielle. Je m’en réjouis et je veux ajouter ma voix à celles qui se sont exprimées dimanche. En toute indépendance. Sans qu’il me l’ait demandé ; sans que je l’en ai informé.

    Voici une candidature qui n’est pas autoproclamée, qui n’est pas annoncée par voie de presse, qui vient spontanément de la base. Des gens, en toute indépendance, reconnaissent une personnalité qu’ils ont appris à connaître tout au long de la campagne référendaire et apportent son nom dans le débat, en dehors de toute pression d’appareil ou de toute valorisation médiatique.

    Pourquoi Yves, alors que j’ai du respect et de l’estime pour Marie George, une chaude sympathie pour Olivier et une vraie amitié pour José ? Parce que la seule préoccupation qui m’anime, c’est de répondre de la meilleure façon à la seule question qui compte à mes yeux : qui peut apporter sur son nom le plus grand nombre des voix qui ont formulé un "non" de gauche le 29 mai ?

    A cette question, il faut répondre en faisant abstraction de ses sentiments et de ses préférences. Dès lors qu’on est d’accord sur le contenu, les préférences pour une formation politique ou pour un courant de pensée ne sont pas des critères pertinents. Le débat n’est pas entre une candidature issue d’un parti ou pas. Nous avons été tous ensemble, militants de partis, de syndicats, d’associations et personnes non encartées pour battre le TCE. Et chacune de nos appartenances est éminemment respectable, y compris le fait d’assumer ses choix sans la protection d’une structure. Nous sommes tous des militants du 29 mai. Mais nous sommes piégés dans un système institutionnel et nous sommes obligés de l’appliquer si nous voulons être en mesure de le changer. Il nous faut donc faire un calcul froid pour répondre à la question : qui peut réunir le plus de voix ?

    Chacun des candidats connus depuis des semaines est affecté d’un handicap. Demandez à Jean-Luc Mélanchon ou à Francine Bavay si les électeurs socialistes ou écologistes qui ont voté "non" en 2005 sont prêts à voter pour Marie George ou pour Olivier. Demandez à des ouvriers, à des chômeurs, à des sans logement, à ceux, dans les banlieues, qui ne votaient plus et qui sont allés voter "non" le 29 mai s’ils sont prêts à voter pour José.

    Par contre, j’ai la conviction qu’Yves peut rassembler toutes ces voix.

    "Mais il n’est connu que des militants du 29 mai !" me direz-vous. C’est vrai. Mais s’il est choisi, l’évènement que constituera le choix d’un candidat commun à toute la gauche du "non" le fera connaître immédiatement. J’ajoute que nous refusons de céder à la media mania, que notre campagne, comme celle contre le TCE, se fera dans un dialogue direct avec les gens, par des milliers de rencontres, sans négliger les plateaux de télé, mais sans leur conférer l’exclusivité du débat.

    Plus que personne d’autre, Yves Salesse incarne le rassemblement antilibéral. C’est lui, qui au coeur de l’été 2004, a réuni toutes les sensibilités de gauche hostiles à l’Europe néolibérale pour écrire ce qui allait devenir l’Appel des 200. C’est lui qui fut à l’initiative des collectifs pour "un non de gauche au TCE". C’est lui qui impulsa leur transformation en collectifs du 29 mai. C’est lui qui rédigea la première mouture de ce qui allait devenir l’Appel du 11 mai pour un rassemblement antilibéral de gauche et des candidatures communes. Il fut de ceux qui ont nourri de leurs propositions la Charte antilibérale et les autres documents qui donnent du contenu à l’alternative que nous voulons.

    Chaque fois qu’il a été amené à débattre avec un contradicteur, chacun a pu apprécier sa maîtrise des dossiers et sa capacité à relever les arguments adverses. Il en est peu comme lui qui sont en mesure d’affronter les adversaires les plus solides sur les questions nationales, européennes et internationales, sur les matières financières, économiques et sociales, sur les problématiques environnementales.

    Sa compétence et le rôle central qu’il joue dans la démarche antilibérale de gauche depuis deux ans le désignent pour être le candidat du rassemblement, le candidat soutenu par toutes les sensibilités, par tous les électorats de gauche qui ont dit "non" au néolibéralisme.

    De plus, qui mieux que lui, sans cesse au contact avec toutes les composantes de la gauche du "non", pourra contribuer au succès du choix unitaire des candidatures pour les élections législatives ?

    Sans doute, à la différence de candidatures "people", Yves n’affiche pas toujours le sourire du marchand de dentifrice. Mais c’est avec la chaleur d’un Jaurès qu’il défend ses convictions. Et cette chaleur-là vaut mieux que tous les artifices.

    Parce qu’il peut le plus rassembler, parce qu’il dispose du savoir et du savoir faire, je souhaite qu’il réponde positivement à l’appel de celles et de ceux qui sont convaincus qu’Yves Salesse est le meilleur pour changer la donne à gauche.

    Raoul Marc JENNAR

    Militant du 29 mai

    12 septembre 2006

    • "Si t es pas d’ac t as Besancenot pour faire la révolution sur les plateaux télés...ou avec Boiuyvard aux Grosses Tetes...

      En attendant, la LCR n’a pas voulu faire partie des collectifs mon cher..suels les minoritaires de la ligne Piquet..Les autres on n en a rien à battre et à bordeaux vous ferz 0.3%...

      Pour moi la gauche antilibérale ce sont les collectifs...La LCR de Besancenot c’est rien....qu’un produit marketing.."

      Désolé de ne pas donner dans les illusions réformistes : oui la LCR est pour l’unité le plus possible sur un programme clair, de rupture avec le libéralisme et le capitalisme. D’ailleurs, elle est participante, que tu le veuilles ou non, aux collectifs pour une candidature unitaire. Porter un programme d’urgence sociale dans les élections est une bonne chose, car c’est la meilleure tribune possible.

      Mais le vrai changement se fera dans la rue, dans les entreprises, par la grève, comme en 1936 : 1 puis 2 millions d’ouvriers en grève, à qui le PC et la SFIO ont dit de retourner chez eux après s’être accordés avec le patronat. Mais ce ne sont pas les élus du Front populaire qui ont permis les acquis de 36 : ni les congés payés, ni les 40 heures, ni la hausse des salaires (par ailleurs rattrapée par l’inflation) n’étaient dans son programme.

      Or, quand les jeunes des banlieues populaires affrontent l’Etat, les mairies PC et PS appellent les flics et Sarkozy à la rescousse.
      Pendant le mouvement anti-CPE, ils soutiennent, mais ne disent pas que les jeunes ont élargis les revendications au-delà du CPE et ils n’appellent pas à la grève générale.
      Après le 29 mai, ils ne demandent pas la démission de Chirac et la dissolution de l’Assemblée. Ils n’appellent pas les travailleurs à la grève ou à la mobilisation... Ils disent d’attendre 2007, comme Buffet à la Fête de l’Huma qui dit aux travailleurs et aux étudiants de se mobiliser... Pour les élections ! Pas de luttes avant ?!

      Buffet and co ne sont pas des anticapitalistes conséquents, pour cause, contrairement à Besancenot qui est un vrai travailleur, Buffet ne travaille plus depuis 1977 ! C’est sûr qu’avec de tels avantages, ça n’incite pas à faire la révolution !

      Alors retrouvons nous dans les luttes, construisons des mobilisations démocratiques où la base décide et pas des intersyndicales qui tirent les mouvements en arrière, et alors on pourra voir qui est décidé à aller jusqu’au bout. En on verra que les traitres ne sont pas ceux qu’on croit !

    • Pourquoi il n’est pas demandé de démission de Chirac ? Mais tout simplement, parce qu’il ne se dégage pas d’homme ou de femme assez fort dans un tel contexte international, où le bordel général et l’anarchie économique et financière règnent en maîtres absolus, avec Bush à sa tête.

      Alors c’est bien une charte antilibérale et nationale, mais ne perdons pas de vue que nous sommes noyés dans cette masse informe, piquante, brûlante qui dépasse nos frontières. C’est pour cette raison que seul, un projet ne suffit pas, il faut aussi un candidat (e) à la carrure assez large et puissante, mais au grand coeur, pour faire entendre NOTRE voix dans un chaos pareil, qui nous promet une 3 è guerre mondiale.

      MGB a probablement raison, les échéances sont si proches maintenant. N’empêche qu’il règne en ce moment un calme étrange, ce calme qui précède la tempête. Il suffit de regarder les gens dans la rue, ils ont le visage fermé, crispé qui ne demandent qu’à laisser éclater leur colère face au mépris et à l’arrogance de la droite et du médef, qui détournent notre énergie à leur seul profit.