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Chirac nous prend vraiment pour des cons

Publie le vendredi 31 mars 2006 par Open-Publishing
9 commentaires

Cette loi devra être modifiée, mais je la promulgue.

Je dois sauver Villepin !

C’est ce qu’on peut retenir des ses propos.

Nous savons tous ce qui nous reste à faire.

Messages

  • mais quoi ??? que faire ?
    on sort de chez soi, là tout de suite ?

    • Sortir de chez soi, là tout de suite, ne peut pas faire de mal. Beaucoup de nos compatriotes y sont en ce moment même.

      Mais il sera très important d’être solidaires dans les jours qui viennent et avancer d’un même pas tous ensemble.

      Il me semble que le temps de la demi-mesure est passé. D’après les premières réactions (Juliard, Thibault, ...), c’est l’unamité : les propositions de Chirac sont inacceptables. On ne peut pas dire tout et son contraire : promulguer une merde et demander sa modification.

      Je n’ai pas encore entendu la réaction de Chérèque.

      On va voir ce que nous proposent, dès demain j’espère, les différentes organisations anti-CPE et syndicales. Si leurs propositions nous conviennent : tous en masse derrière. Si elles ne nous conviennent pas : organisons-nous et prenons les devants.

      Ce qui est d’ores et dèjà certain, c’est que la manifestation qui vient devra être, plus que jamais, massive. Beaucoup plus que la dernière fois.

      Nos enfants ne doivent plus êtres seuls dans la rue. On risque de les retrouver tous devants les tribunaux. On a bien compris la tactique du gouvernement ces derniers jours.

      Il faut cogner encore plus fort sur les crânes de ces ploucs pour qu’ils comprennent que l’on ne veut pas de leur saloperie.

      Durdo REIL

    • Sous le coup de la colère, j’ai écrit n’importe quoi, comme d’habitude.

      Je voulais dire : "Beaucoup de nos compatriotes sont dans la rue en ce moment même."

      Durdo REIL

  • SUS À TOUS LES DÉPUTÉS UMP dans chaque circonscription !

    SUS À TOUTES LES PERMANENCES UMP !

    Esteban

  • "Chirac nous prend vraiment pour des cons" et tu conclus par "nous savons tous ce qui nous reste à faire".

    Tu crois que les Thibault, Mailly et le jaune Chérèque vont appeler à la grève générale, moi pas.
    Après le 4 avril, ils nous proposeront un nouvelle journée de défilés, 15 jours plus tard.
    Et le jaune se couchera tôt ou tard.

    Par contre mes espoirs se portent sur les étudiants et les lycéens. Leurs moyens d’actions me plaisent. Bloquer les gares, les routes çà s’est autre chose.

    Ah, si les chefs syndicaux ordonnaient le blocage des transports, les coupures d’électricité et des télécom. Là je ne dirais pas non. Le Chirac et sa clique prendraient peur.

    • Tu as raison, c’est pourquoi j’ai rajouté :

      "On va voir ce que nous proposent, dès demain j’espère, les différentes organisations anti-CPE et syndicales. Si leurs propositions nous conviennent : tous en masse derrière. Si elles ne nous conviennent pas : organisons-nous et prenons les devants."

      ET j’ai dit aussi qu’il n’est plus question de laisser nos enfants seuls dans la lutte.

      Quant à Chérèque, je suis comme toi : impatient de connaître sa position !
      N’hésite pas à poster dès que tu as quelque chose le concernant.

      Durdo

  • Je viens d’entendre Chérèque sur France Infos.

    Il semble être en phases avec Thibault : "Chirac nous met dans la confsusion. C’et la première fois, en France, qu’on promulgue une loi et qu’on demande, dans le même temps, de ne pas l’appliquer. Il ne nous laisse pas d’autre choix que de lutter pour obtenir une autre loi. Il est plus que jamais nécessaire de se mobiliser mardi. Nous voulions le retrait du CPE."

    Il a fait remarquer aussi que Chirac propose d’avance les modfications à apporter à la loi et qu’on ne peut pas appeler cela négociation.

    Il demande à tout le monde de rester calme car ce n’est pas avec la violence que nous gagnerons.

    Pourvu que ça dure !

    A mon avis, cette fois-ci, Monsieur Chérèque n’a pas trop le choix. Because la base. Il ne peut plus s’offrir une crise, comme celle de 2003, à la CFDT.

    Durdo REIL