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Correctif mis à jour : députés communistes élus

Publie le lundi 18 juin 2007 par Open-Publishing
6 commentaires

Les candidats communistes et apparentés communistes élus sont au nombre de 19. Ces 19 députés siègeront ensemble à l’Assemblée Nationale.
Comme il faut au moins 20 députés pour constituer un groupe parlementaire, les 4 députés verts ainsi qu’un député MRC du Nord vont rejoindre le groupe communiste et républicain ce qui fera 24 députés.

Liste des 19 députés ci-dessous :

 Amiable Marie Hélène (Hauts de Seine)
 Asensi François (Seine Saint Denis)
 Bellot Huguette (La Réunion) (Parti Communiste Réunionais)
 Boquet Alain (Nord)
 Braouzec Patrick (Seine Saint Denis)
 Brard Jean-Pierre (Seine Saint Denis) (apparenté PCF)
 Buffet Marie Georges (Seine Saint Denis)
 Candelier Jean-Jacques (Nord)
 Chassaigne André (Puy de Dôme)
 Dessallangre Jacques (Aisne) (apparenté PCF)
 Fraysse Jacqueline (Hauts de seine)
 Gerin André (Rhône)
 Gosnat Pierre (Val de Marne)
 Gremetz Maxime (Somme) ("dissident" PCF)
 Lecoq Jean-Paul (Seine Maritime)
 Muzeau Roland (Hauts de Seine)
 Paul Daniel (Seine Maritime)
 Sandrier Jean-Claude (Cher)
 Vaxes Michel (Bouches du Rhône)

Messages

  • Ce soir on aurait un groupe parlementaire si les socialistes n’avaient pas présenter sur plusieurs circonscriptions des candidatures contre les députés sortants PCF.....

    Yoann, PCF 93

    • Ah, ça me donne une idée. Le prochain coup, on pourrait demander aux socialos de ne présenter aucun candidat... Et si ma tante en avait...

      Bon, quand est-ce qu’on redevient sérieux ?

      JMH

    • A tous ceux qui avançaient que le PC se faisait élire grâce aux accords passés avec le PS.

      Ce n’est pas une preuve mais cela laisse fortement supposer qu’il n’y a pas d’accords.

      KLOD 69

    • BRAVO POUR LA PLAISANTERIE...

      ... , il faut pouvoir rire de tout. Cependant, je ne voulais que rappeler que dans un certain nombre de circonscriptions (très restreint) où la droite menaçait sérieusement de l’emporter contre un député de gauche sortant, le PCF et d’autres, avait proposé au PS, dès le 1er tour, de ne pas présenter de concurrent contre le sortant. Le PS n’en a eu cure (Hollande ayant apprécié que "du PCF il ne reste que l’os"), et finalement c’est bien ce qui s’est passé : la droite l’a emporté, tel l’épisode de Marseille sur les quartiers Nord...
      "On sourira de nous d’avoir aimé la flamme" disait Aragon (Le Roman Inachevé)...
      Eh bien qu’on sourit !

      NOSE

    • Je signale que les 4 députés Verts ont réussi à se faire élire ou réélire parce qu’il n’y avait pas contre eux de candidats du PS.Ces candidatures étaient des candidatures communes Verts-PS les suppléants des candidats étant d’ailleurs socialistes.
      Il est clair que si les candidats Verts avaient eu contre eux, comme ça a été le cas des candidats du PCF,il n’y aurait aucun élu Vert.

      JY

    • Il est dit un peu de tout et n’importe quoi ci-dessus.

      Que les "ségolinistes" que certains, sans trembler osent appeler "socialistes" [cette terminologie a un sens précis et n’a rien à voir avec un "socialisme d’opérette" qui n’est qu’un tout petit bémol à la société conservatrice] aient eu le désir d’anéantir le P.C cela ne fait aucun doute. C’est une longue tradition dans ce cloaque de bourgeois, en quète d’une bonne conscience, que d’aspirer à l’éradication de la "peste rouge". Le prix d’excellence de l’anti-communisme, Mitterrand, tout auréolé de son passé de croix de feu et du prestige de sa francisque de collabo- pétainiste, avait fait, à Wien, en son temps, le serment d’enterrer le P.C et son kyste de résistance à la social-démocratie.

      Il n’aura pas vu à quel point, hélas, il aura réussi... au delà de toutes ses espérances.

      Son admiratrice a du connaître le plus violent "orgasme" de sa vie quand Marie-George a franchi la barre inférieure à 2 %.

      Ces opportunistes ont, après Villejuif et Guingamp il y a 5 ans, réussi leurs forfaitures à Montluçon, Marseille et Aubervilliers.

      Ils n’ont cure des cadeaux qui leur ont été faits, notamment en 1967 et 1968, où Georges Dayan, un anti-communiste notoire, valet de Mitterrand, ne pénétra au Palais Bourbon que par l’effacement du P.C à Nimes qui, cependant, l’avait devancé. A Limoges Louis Longequeue ne siégea au Conseil général de la H.V, en 1964, que par la mansuétude communiste qui, bien qu’en tête s’effaça.

      Les opportunistes "ségolinistes" n’ont su nous accorder que leur ingratitude... et pour ma part je préfère que nous ne leur devions rien !

      Pierre FABRE
      Sagelat