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Dérapage de 8 milliards ??? Macron était ministre de l’Economie de François Hollande du 24/08/2014 au 30/08/2016 !!!

par Collectif Bellaciao

Publie le vendredi 30 juin 2017 par Collectif Bellaciao - Open-Publishing
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Richard Ferrand, à gauche, avec Emmanuel Macron, ministre de l’économie et Emmanuel Lacresse, un des ses conseillers.

Sans oublier Richard Ferrand, le rapporteur général de la loi Macron nommé le 17 février 2015 par Bruno Le Roux.

http://www.lemonde.fr/politique/article/2015/02/17/richard-ferrand-l-ambassadeur-de-la-loi-macron_4578086_823448.html

26 août 2014. A la surprise quasi générale, Emmanuel Macron est nommé ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique. A 36 ans, il n’a jamais détenu le moindre mandat électif.

27 août 2014. Dans un entretien au Point réalisé juste avant sa nomination à Bercy, Emmanuel Macron estimait que, sur les 35 heures, « nous pourrions autoriser les entreprises et les branches, dans le cadre d’accords majoritaires, à déroger aux règles du temps de travail et de rémunérations ». L’entrée en matière a fait grincer jusqu’à Marisol Touraine, ministre de la Santé, qui l’a mal accueilli.

Novembre 2014. A l’Assemblée, l’ancien banquier d’affaires regrette que la réduction du temps de travail ait pu faire croire, notamment aux investisseurs étrangers, « que les Français ne voulaient plus travailler ».

Janvier 2015. « Il faut des jeunes qui aient envie de devenir milliardaires », assure-t-il dans un entretien aux Echos.

7 août 2015. Après 412 heures de discussions à l’Assemblée et au Sénat, des heures de mobilisation dans la rue, notamment des notaires, et le recours à l’article 49.3 à deux reprises, la loi Macron pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques est définitivement adoptée. Mais le texte, qui devait dynamiter les corporatismes et lever les blocages, a eu peu d’effets : selon les économistes, le bénéfice représenterait à peine 0,05% de croissance. Sur les 10 000 emplois attendus du fait de l’ouverture du transport en car, 1500 ont été créés.

30 août 2015. « La gauche n’est pas exempte de critiques particulières. Elle a pu croire à un moment, il y a longtemps, que la politique se faisait contre les entreprises, ou au moins sans, qu’il suffisait de décréter et légiférer pour que les choses changent. Qu’il n’était pas nécessaire de connaître le monde de l’entreprise pour prétendre le régenter. Elle a cru que la France pourrait aller mieux en travaillant moins. C’étaient de fausses idées », lance le ministre devant un parterre de patrons à l’université d’été du Medef, l’avant-veille de l’université d’été du PS.

Septembre 2015. Devant le groupe de réflexion En Temps réel, Macron affirme que le statut de fonctionnaires employés à vie n’est « plus justifiable dans le monde tel qu’il va ». « Nous allons progressivement entrer dans une zone – on y est déjà, d’ailleurs – où la justification d’avoir un emploi à vie garanti sur des missions qui ne le justifient plus sera de moins en moins défendable ».

6 avril 2016. Emmanuel Macron lance « En Marche ! » un mouvement politique qu’il ne veut « ni de droite ni de gauche ».

9 avril. En visite officielle à Alger, Manuel Valls appelle Emmanuel Macron à jouer collectif. « Chacun est dans son rôle pour élargir et a le devoir de rassembler pour le président de la République », affirme-t-il.

14 avril. En déplacement à Londres, Emmanuel Macron regrette les confidences de sa femme Brigitte Trogneux à Paris Match. La communication à l’ancienne du ministre est moquée, les jeux de mots sur « en marche...arrière » fleurissent. « Mon couple, ce n’est pas une stratégie de l’exposer, c’est sans doute une maladresse », expliquera-t-il ensuite.

16 avril. A un an du premier tour de l’élection présidentielle, un sondage Odoxa-Dentsu pour notre journal montre que 34% des Français souhaitent la candidature du ministre de l’Économie, bien loin devant Manuel Valls (15%) et François Hollande (5%). A gauche, ils ne sont que 11% à le propulser candidat, derrière Aubry (19%), Valls, Hollande et Mélenchon.

12 juillet. Macron tient son premier grand meeting à Paris.

Juillet 2016. « L’honnêteté m’oblige à vous dire que je ne suis pas socialiste », lance-t-il au cours d’une iconoclaste visite « ministérielle » à Philippe de Villiers au Puy-du-Fou. Il précise faire partie d’un « gouvernement de gauche » et voulant « servir l’intérêt général », comme tout « ministre de la République. »

11 août 2016. Nouvelle « une » de Paris Match. Au côté de sa femme en maillot de bain, Emmanuel Macron porte le regard au loin. Tout le monde retiendra la présence d’un nudiste sur une double page centrale.

30 août 2016. Emmanuel Macron remet sa démission à François Hollande.

http://www.leparisien.fr/elections/presidentielle/chronologie-emmanuel-macron-un-parcours-fulgurant-ponctue-de-provocations-16-11-2016-6335247.php

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  • Et, sans doute sa candidature à la Présidence ne fut pas étrangère à celle déjà aperçue avant lui de Jean-Luc Mélenchon ! L’agressivité médiatique lancée contre lui en faisant flèches de tous bois, ont démontré la peur bleue de la bourgeoisie à ce qu’il soit prit enfin dans leurs poches . La grande artillerie fut lancée dont la dernière trouvaille fut M. Hulot ! Il ne dit mot sur les mutations écologiques d’urgence à faire argan du fait qu’il faut qu’il étudie durant quelques mois, problème par problème, car bien sûr il ne savait pas avant, même qu’il se faisait passé pour un Expert de l’écologie !